Les résidents et leur famille présents à l’après-midi bistrot ont inauguré le baby-Foot en avant-première des discours.
M le maire Thomas VINCENT, présent à cette réception l’a testé, et salue le travail des bénévoles qui tout au long de l’année œuvrent pour le bien-être des résidents.
Le baby-Foot a été financé par l’association « Rayon de Soleil », avec une participation de la Mairie.
Ce Baby-foot, à en juger l’enjouement des premiers utilisateurs, ne restera pas inactif.
Le club de Scrabble a été créé en 2004 sous l’impulsion de de quelques passionnés de la langue française.
Actuellement le club compte une bonne trentaine d’adhérentes et d’adhérents dont la présidente est Annick Bongeot.
Ils se réunissent à l’Espace culturel le mardi après-midi et le vendredi en soirée, ils participent à des tournois en cours d’année.
Dimanche 11mai par une météo estivale, sous la présidence de Daniel Thirion, représentant du comité lorrain et responsable du département des Vosges, une trentaine de passionnés avaient rendez-vous dans une salle des Épinettes pour participer à un tournoi de Scrabble en formule rapide, organisé dans le cadre des parties en en simultané mondial
Ce format particulier impose un rythme soutenu : chaque coup doit être réfléchi et joué en seulement deux minutes. Un véritable défi intellectuel pour les joueurs, qui conjuguent vitesse, vocabulaire et stratégie sur trois parties disputées dans la journée.
À l’issue du tournoi, les meilleurs se sont distingués. Jean-Marc Collin, du club de Le Bouscat, en Gironde, a décroché la première place (série 2). Il est suivi de Christian Amet (série 1) et de Michèle Amet (série 3), tous deux membres du club de Sainte-Marguerite.
Les membres du club Ajolais, ont obtenu des scores très honorables.
Une belle performance de la part de ces athlètes de la langue pour qui chaque lettre compte.
La célèbre salle de concerts « Chez Narcisse » habituée à recevoir des groupes de « punk, rock ou du métal », a invité Hervé VILARD chanteur de variétés françaises à venir dans la cité Ajolaise, dont la population a gardé la nostalgie des années 60/80.
L’année passée c’était le vosgien Claude VANONY qui était descendu des hauts de Gérardmer en sabots au Val-d’Ajol.
Les spectateurs approuvent cette initiative, et espèrent qu’elle deviendra pérenne.
Les organisateurs commenceraient-ils à se bonifier comme les grands crus !!!!!
La braderie a lieu deux fois par an, une au printemps, l’autre à l’automne.
C’est l’occasion de trouver des habits de seconde main à des prix très bas, de toutes tailles, ainsi que des chaussures, jouets, livres, vêtements pour enfants, layette, etc.
Les bénéfices de ces opérations servent à venir en aide aux familles défavorisées.
Les bénévoles assurent une permanence deux fois par mois, les 2e et 4e lundis, de 14 h à 16 h 30, dans leur local situé au 15 place de l’Église, à l’entrée du square du Moulin.
Troc aux plantes
Tous les ans au printemps les membres de l’association du secours catholique, organisent un troc aux graines et plantes, vivaces et annuelles, dans le jardin du presbytère.
Cette année bien que la date ait été décalée, les jardiniers amateurs étaient au rendez-vous.
Tout au long de la matinée, ce fût un va-et-vient continuel de personnes chargées du surplus de leurs plantations, et acquéreuses de nouvelles variées.
Plusieurs personnes de bonne volonté sont venues étoffer l’équipe en place pour entretenir le jardin. La surface cultivée s’est agrandie, et la récolte semble prometteuse, vu la météo clémente du printemps, les saints de glace, n’ont pas sorti leur drapé de gelée.
Au fil des ans, les jardiniers amateurs apprécient cette initiative, mise en place voici plus de 13 ans par le service fleurissement de la commune et la collaboration de l’association familiale. Actuellement c’est l’association du secours Catholique qui a pris le relais.
Les organisateurs remercient tous les personnes présentes, et vous donnent rendez-vous le dimanche matin au stand solidaire, où ils proposent à la vente fruits et légumes issus du potager de la cure, et, pour déposer vos surplus de productions jusqu’au mois d’octobre.
Les recettes sont reversées à des œuvres caritatives en fin de saison, et elles assurent le au bon fonctionnement de l’association.
récolte prometteuse double proctection ou pas d’insectes dans mon assietteSerre pour les tomates
L’assemblée générale a eu lieu le 9 mai aux Épinettes sous la présidence de M Gérard HENRY qui a été élu, suite au décès de M André (Dédé) PETITJEAN l’année passée.
Etaient présents, M le Maire Thomas VINCENT, Oswald CALEGARI Président départemental, Philippe BIETTE adjoint aux associations.
Les statuts de l’association ont été remis à jour avec l’aide de Sarah employée à « France Service », ils ont été validés par l’ensemble de l’assistance.
Le bureau se compose ainsi : Président Gérard HENRY, Secrétaire et Vice-Président René LAMBERT, Trésorière Cécile PIERRE.
Membres du bureau : Milou HOUILLON, Joseph REMY, Gérard LEUVREY, Pascal TISSERAND, Guy LYONNET.
Lors d’une cérémonie patriotique à la Chapelle aux Bois, M Oswald CALEGARI, président des anciens combattants des Vosges a été décoré de la légion d’Honneur par Hervé Longuet pour son engagement envers son pays et ses citoyens, et précieuse cheville ouvrière de l’UNC-AFN se dévouant sans compter pour ses camarades de combat et leurs familles.
Ému et fier de cette distinction, Oswald CALEGARI a ajouté : « Cette Légion d’honneur appartient à vous tous qui, depuis soixante ans, m’accompagnez par vos encouragements et vos soutiens. »
Inauguration du square Guy LARRIÈRE
Le 25 octobre prochain, devant la stèle des soldats morts pour la France en Algérie, située Rue de Plombières, une cérémonie rendra hommage à Guy LARRIÈRE, Ajolais enlevé en 1955 en Algérie, torturé et abattu par des rebelles. Son corps n’a jamais été retrouvé, mais sa plaque d’identité militaire a été découverte en 1959 dans un charnier. La municipalité, représentée par le maire Thomas VINCENT et son adjoint Philippe BIETTE, a annoncé avoir établi un contact avec des membres de la famille LARRIÈRE résidant en Bretagne et qui ont confirmé leur présence à la commémoration d’octobre.
La population sera invitée à l’inauguration du square pour lui rendre hommage.
Stéle des AFN 2024Porte-drapeaux 2024levée des couleurs 2024remise de la Légion d’Honneur à Oswald. La Chapelle aux Bois
Pour rendre hommage aux personnes disparues durant le conflit de la seconde guerre mondiale, une messe a été célébrée en l’église paroissiale, à la demande des associations patriotiques de la commune.
Après l’office religieux le cortège s’est dirigé place du monument aux Morts.
Dépôt de gerbe avec les enfants du CMJ, M le Maire et le Président des AFN.
Dépôt de gerbe par M BONNARD, représentant de l’association des écoles publiques.
M le Maire Thomas VINCENT a pris la parole pour rappeler qu’il y a 80 ans, la France célébrait la fin du conflit qui a meurtri le Monde, et lire le message officiel de la secrétaire d’État aux armées, dont voici quelques extraits.
Le 8 mai 1945, quand la nouvelle de la Victoire parvint à Paris, le général de Gaulle qui incarnait la voix de la France libre et combattante adressa ces mots à la Nation : « Tandis que les rayons de la Gloire font une fois de plus resplendir nos drapeaux, la patrie porte sa pensée et son amour d’abord vers ceux qui sont morts pour elle, ensuite vers ceux qui ont, pour son service, tant combattu et tant souffert ! Pas un effort de ses soldats, de ses marins, de ses aviateurs, pas un acte de courage ou d’abnégation de ses fils et de ses filles, pas une souffrance de ses hommes et de ses femmes prisonniers, pas un deuil, pas un sacrifice, pas une larme, n’auront donc été perdus ! »
Dans l’effervescence de la Victoire et pour faire écho aux immenses sacrifices consentis pendant les années de guerre, les Françaises et les Français reprenaient confiance en eux-mêmes. Ils choisissaient de redonner au pays son indépendance, sa puissance et sa prospérité dans un monde où tous les équilibres se redessinaient autour de deux grandes puissances.
Cette ambition a permis de construire un modèle français qui fait notre grandeur et notre fierté dans les domaines militaires, sociaux, scientifiques, industriels, économiques et culturels. Aujourd’hui, nous jouissons encore de cet héritage de la Libération, des choix courageux de nos grands anciens. Par-delà les clivages, ils ont su porter le pays vers le meilleur de lui-même.
Alors que le cycle des commémorations du 80ème anniversaire de la Libération se termine, dans un monde où les menaces se multiplient, où des menaces anciennes planent à nouveau sur le pays. Alors que les rapports de force internationaux se reconfigurent, souvenons-nous des sacrifices qu’une génération entière de Françaises et de Français a acceptés pour libérer le pays, pour le reconstruire et pour nous donner les moyens de notre souveraineté.
L’association des parents d’élèves de l’école Ste Marie, organise plusieurs fois en cours l’année scolaire, quelques manifestations, dont les bénéfices servent à l’achat de matériel pédagogique, et sorties culturelles, ainsi que quelques travaux d’entretien.
Les parents, amis, anciens élèves, et les amis de mes amis sont venus nombreux, les bénévoles ont assuré le service, au menu friture de sandre et frites suivi d’un dessert, le tout cuisiné par un professionnel dont le poisson est sa spécialité.
L’orchestre « Délit Mineur » a assuré l’ambiance de cette soirée.
C’était aussi l’occasion pour les parents de tisser des liens amicaux avec les copines et copains de leurs enfants. Les parents qui ont fréquenté l’établissement, ont rencontré leurs anciens profs et camarades de classe, et les anecdotes du temps passé leur ont rappelé des souvenirs de jeunesse.
Organisation parfaite, friture de sandre très appréciée par les consommateurs.
Les exposants du vide-grenier du 1er Mai, organisé par le comité des Fêtes a fait carton plein pour la restauration, et des cartons vides de leur contenu pour les 59 exposants du jour.
La météo estivale a favorisé les vendeurs de bric à brac très nombreux venus dans la cité Ajolaise, pour satisfaire les chineurs d’objets anciens et même d’actualité, quand ils ne sont plus utilisés. C’est l’occasion de discuter, marchander, avant de l’acquérir.
Quelques marchands de muguet des bois proposaient de beaux bouquets de cette fleur printanière porte-bonheur, cueillie dans les sous-bois de la Franche-Comté.
Le marchand de glace avec son » Fooo Truck », a été très sollicité tout au long de la journée, par les enfants, les parents, enfin tous les amateurs d’un succulent rafraîchissement.
Portr-bonheur du jourPortr-bonheur du jourLes cuistotsLes cuistotsLes cuistotsles caissièresles caissièresLes cuistotsun peu de reposun peu de reposles barmannsles barmannsles barmannsles barmannsbientôt plus de fritesattention….les dernières fritesle plongeurle plongeur et sa secondepose casse-croûte méritéela file s’allonge…une bonne glaceune succulente glace
Les animations rythment la vie des pensionnaires de la Résidence Val de Joye.
A l’initiative des encadrants du service animation, il a été procédé voici quelques jours, et, pour la première fois, à l’élection de Miss et Mister Val de Joye.
Devant un public composé des résidents et quelques proches, une douzaine de candidats se sont présentés à l’élection, sept dames et cinq messieurs.
Un jury composé de cinq pensionnaires devait évaluer l’applaudimètre pour le classement général, après passage des candidats présenté par Henri l’animateur de la cérémonie.
Avant de passer sur scène les prétendants au titre ont été massés, coiffés maquillés et boostés par Jennifer, Mariette et Frédérique.
Suite au passage devant un public enthousiasmé, voici le classement :
Dames : A été élue Miss Val de Joye, Mme Huguette BRASI.
A été élue 1 Dauphine, Mme Thérèse LAINE.
A été élue 2 Dauphine, Mme Jeanine LARD.
Messieurs : A été élu Mister Val de Joye, M Martial VIRY.
A été élu Dauphin, M Éric BRASI.
Un sympathique goûter a clôturé la cérémonie, qui sera reconduite l’année prochaine.
La Journée nationale du souvenir des victimes de la déportation honore la mémoire de tous les déportés sans distinction et rend hommage à leur sacrifice. Cette journée a pour vocation de rappeler à tous ce drame historique majeur, les leçons qui s’en dégagent, pour que de tels faits ne se reproduisent plus.
M Philippe BIETTE adjoint au Maire,, et M Gérard HENRY président de l’association des AFN, ont déposé une gerbe de fleurs au pied du monument, en souvenir à tous les déportés.
L’harmonie Jeanne-d’Arc était présente pour rendre hommage à ces personnes disparues tragiquement.
M Philippe BIETTE a lu le Message de Patricia Miralles, ministre déléguée auprès du ministre des Armées, chargée de la Mémoire et des Anciens Combattants
Chaque année, le dernier dimanche d’avril, la République se recueille. Elle se recueille pour nommer les absents, pour rendre justice aux visages effacés, pour transmettre aux vivants ce que la mémoire seule peut sauver de l’oubli.
Aujourd’hui, nous commémorons une blessure qui a failli emporter le Vieux Continent. Une blessure infligée à l’humanité tout entière, au cœur même de l’Europe. Elle nous rappelle que sur nos terres, dans ce siècle encore très proche, l’homme a pu devenir le bourreau, l’assassin, le visage répugnant de la barbarie déchainée.
Ils furent des millions, arrachés à leurs vies, à leurs maisons, à leurs familles. Juifs, résistants, opposants politiques, otages, homosexuels, Tsiganes, témoins de Jéhovah, handicapés, réfractaires. Tous furent broyés dans les rouages d’un système organisé pour déshumaniser, avilir, faire disparaître.
Aujourd’hui, beaucoup de nos concitoyens ont en mémoire l’étoile jaune cousue sur la poitrine des Juifs. Chez eux, dans la rue, jusqu’au fond des camps, ils n’ont pu s’en débarrasser.
Mais gardons aussi en mémoire : • Le triangle rouge pour les prisonniers politiques • Le triangle noir pour les asociaux • Le triangle marron pour les tziganes • Le triangle rose pour les homosexuels • Le triangle bleu pour les émigrés
Gardons en mémoire ces triangles et étoiles de la haine qui accompagnaient des numéros qui écrasaient l’humanité des déportés. Dans cette mécanique de l’horreur, la France connut son lot de douleurs. Elle connut aussi son sursaut.
Parmi les déportés français, ils furent des milliers à être arrêtés pour avoir dit non. Non à la tyrannie. Non à l’abandon. Non à la barbarie. Ces femmes et ces hommes, parfois très jeunes, portaient dans leurs gestes la flamme d’une République qu’on croyait éteinte. Ils furent les héros de la liberté que d’autres voulaient supprimer.
Celles et ceux qui ont survécu aux camps, miraculés d’un voyage par-delà l’horreur, la souffrance et la mort, sont revenus avec la conscience ébranlée, mais résolue. Conscients du rôle qu’ils auraient à jouer, de la valeur morale et politique de leurs témoignages et de l’importance de préserver leur mémoire de l’oubli comme du mensonge, ils se sont regroupés dans un foisonnant mouvement associatif qui allait influencer les choix de la Nation.
Henri Manhès, Marcel Paul et le père Riquet ont fondé dès 1945 une fédération afin de faire vivre les valeurs de résistance qui furent les leurs. Leur héritage vit encore aujourd’hui et il est important de la préserver.
Aujourd’hui, dans nos écoles, dans nos mairies, dans nos préfectures, leur mémoire nous parle encore. Elle nous dit que la déportation n’est pas une histoire lointaine, figée sur le papier glacé des livres d’histoire. Elle est un avertissement, et même une exigence. Elle est le socle d’un engagement sans cesse renouvelé pour les droits humains, pour la dignité, pour la paix.
Il ne s’agit pas seulement de se souvenir. Il s’agit de transmettre. De dire aux jeunes que ces crimes ont été rendus possibles par le silence, l’indifférence, l’habitude. Et qu’ils peuvent renaître, dès lors que nous cessons d’être vigilants.
C’est pourquoi la République ne transige pas avec la mémoire. Elle la fait vivre, en l’enseignant, en l’honorant, en la défendant.
Aujourd’hui, la France pense aux disparus, à ceux qui ne sont jamais revenus. Elle pense aux survivants, dont les paroles, longtemps étouffées, ont ensuite éclairé le monde.
Elle pense aux enfants et aux petits-enfants de déportés, porteurs d’un héritage douloureux, mais nécessaire.
Qu’ils sachent que la Nation ne les oublie pas. Que leur histoire est aussi la nôtre. Et que nous sommes, ensemble, les gardiens de cette vérité vertigineuse.
Aujourd’hui, alors que l’histoire s’accélère et que les certitudes semblent vaciller chez certains, soyons dignes de l’héritage que nous ont transmis les déportés. Un héritage d’humanité, de justice et de grandeur. Une rectitude morale qui nous élève.
Souvenir, reconnaissance, transmission : telle est la promesse que la République renouvelle en ce jour.
1er avril : Monsieur Louis LECLERC, à l’âge de 80 ans, marié à Gisèle TISSERAND, 4 enfants demeurant au Petit Moulin section du Val-d’Ajol.
06 avril : Madame Lucienne THIÉRY née DESCHASEAUX, à l’âge de 94 ans, mariée à André THIERY décédé, 1 enfant, demeurant à Faymont section du Val-d’Ajol.
07 avril : Madame Geneviève PIERRE, à l’aube de ses 91 ans, célibataire, demeurant au Val-d’Ajol.
16 avril : Madame Claire CLAUDE, à l’âge de 91 ans, mariée à André CLAUDE décédé fin 2023, 2 enfants, demeurant au Val-d’Ajol.
C’était l’occasion pour les parents ayant inscrit leurs enfants à l’école pour la prochaine rentrée scolaire de visiter l’établissement, accompagné de la directrice Audrey MATHIEU.
Découvrir le lieu où les enfants vivent une partie de leur vie, de la maternelle jusqu’au CM2. Tel était le but de la matinée, « Portes ouvertes à l’école du Centre », organisée par les enseignants.
Les parents ont découvert le lieu de vie de leurs enfants durant les heures de cours de l’apprentissage du « vivre ensemble » malgré nos différences, et notre adaptation à apprendre la lecture, les maths et autres matières.
L’école du Centre se compose de : 8 classes, 1 cantine, 1 salle d’informatique 1 bibliothèque.
Le groupe est dirigé Mme Audrey MATHIEU entourée de 10 professeurs des écoles, 3 ATSEM ou (Agent territorial spécialisé des écoles maternelles, 2 AESH pour les enfants avec un handicap, 157 élèves, 2 cours de récréation, 1 jardin.
Une garde périscolaire accueille les enfants à l’espace Dorothée.
L’association des parents d’élèves participe au financement de livres, de jeux pédagogiques, et d’aide aux sorties culturelles, cadeaux à Noël, en organisant des manifestations tout au long de l’année, (randonnées pédestres et VTT, vide grenier avec repas campagnard, les repas à emporter remplace la soirée dansante durant les travaux à la salle des fêtes), défilé et restauration à la foire aux andouilles, ETC .
Voici quelques jours l’association a financé tout un ensemble de tapis de jeu, et de matériel adapté pour les enfants de la maternelle, l’accueil périscolaire quant à lui a bénéficié de nouvelles tables et chaises.
Du 30 avril au 11 juin, aidons nos cailloux à former un magnifique arc-en-ciel à Commune de Le Val d’Ajol !
L’association Love on the Rocks et la Ludothèque un Air de Jeux s’unissent pour un projet collaboratif et coloré : un arc-en-ciel géant en cailloux peints, symbole d’espoir et de solidarité !
🎨 Comment participer ?
📍 Où ?
L’arc-en-ciel sera installé dans la cour de l’espace arts et culture, un lieu accessible et visible de tous.
🖌 Peindre des cailloux
Nous vous donnons rendez-vous à la Ludothèque Un Air de Jeux du Val d’Ajol pour peindre les cailloux selon ce planning :
✅ Mercredi 30 avril : Vert et jaune
✅ Mercredi 14 mai : Bleu et rouge
✅ Mercredi 28 mai : Orange et violet
* Un diplôme sera remis à chaque petit artiste !
📸 Suivre l’évolution du projet
Nous publierons régulièrement des photos sur l’avancée du projet.
🎉 Finalisation et célébration
📅 Le 11 juin à 15h30, dans la cour de l’espace Arts et Culture, nous espérons vous voir nombreux pour une photo finale et un grand moment de partage !
🌟 Et après ?
Fidèle à l’esprit de l’association Love on the Rocks, chaque personne présente le 11 juin pourra repartir avec des cailloux qu’elle devra cacher à son tour, pour faire voyager l’arc-en-ciel !
🥤 Un goûter sera offert à tous les participants pour clôturer cette belle aventure.
💡 Infos pratiques
📍 Où ? Ludothèque Un air de Jeux du Val d’Ajol
🕑 Quand ? Les mardis 30 avril, 14 mai et 28 mai, de 14h à 18h
👩🎨 Qui ? Patricia (Love on the Rocks) et Maryse vous accueilleront et fourniront tout le matériel nécessaire : cailloux, feutres et vernis.
🌈 Rejoignez-nous pour donner des couleurs au Val d’Ajol !
📢 Partagez cette publication et invitez vos proches pour qu’ensemble, nous réalisions le plus grand arc-en-ciel de cailloux !
Le samedi 26 avril toute au long de la journée, la Maison de la randonnée a accueilli, un public de tout âge, pratiquant la marche sous toute ses formes.
C’est un sport accessible à toutes les personnes désirant sortir par beau temps de préférence, aimant marcher, flâner, randonner, seul, à deux ou plus, ou intégrer une association de randonnée, qui propose plusieurs niveaux de marche suivant ses capacités.
Randonner est le plaisir de découvrir la nature en toute saison, de voir et écouter le chant des oiseaux, le clapotis du ruisseau, le renouveau de la nature au printemps, la fraîcheur des sous-bois en été, le crissement des feuilles tombées en automne, et le silence blanc du manteau de neige recouvrant la nature en hiver.
Programme de la journée :
Le matin, conférence débat « Mieux accueillir – Mieux préserver », menée par Robert JACQUOT (Président de la Section du club Vosgien de Remiremont) et Max Souillié, ancien agent de L’ONF, responsable de la commission environnement au sein du club Vosgien.
L’après-midi 3 randonnées thématiques sur le circuit des Feuillées :
Pour l’histoire voici celle de » la Feuillée Nouvelle » :
Une Feuillée Nouvelle qui vous dit tout sur son âge.
Éditeur: Daniel GURY
Il existe en effet sur la commune deux feuillées très connues qui se font face : la Feuillée Nouvelle et la Feuillée Dorothée.
Si la logique porte à croire que la Feuillée Nouvelle est la petite sœur de l’autre, l’examen des archives démontre que c’est exactement le contraire.
En effet, la Feuillée Nouvelle existait déjà bien avant la révolution au cœur d’une forêt qui appartenait alors à la noblesse comme le reste du Chanot. C’est à l’occasion du tracé d’une nouvelle route devant conduire à Plombières, en 1835, que cette feuillée déjà très fréquentée par les baigneurs va faire une cure de jouvence. Car le préfet des Vosges qui a son hôtel particulier au cœur de la station a sous le coude une enveloppe de 5.000 F qui le démange car elle doit impérativement être utilisée dans les moindres délais sans quoi elle sera perdue. C’est en effet un reliquat d’une dotation particulière attribuée par l’État en faveur du thermalisme mais les projets manquent à l’appel. Dans le même temps, il existe à Plombières un organisme constitué de notables et de commerçants qui se réjouit de la mise en chantier de cette nouvelle route et qui admettrait volontiers que l’ancienne Feuillée qui n’est alors qu’une simple clairière offrant un point de vue magnifique sur la vallée de la Combeauté et ses champs de cerisiers puisse disposer d’un confort amélioré.
Une buvette pourrait avantageusement y être installée. Ces crédits de l’État sont alors une bénédiction. La distraction des baigneurs peut en effet être considérée comme une amélioration du thermalisme. C’est donc avec l’insistance du préfet que les notables de Plombières vont demander un réaménagement du site. D’où l’appellation « Feuillée Nouvelle » ou encore « Feuillée Communale ». Formules qui seront de suite adoptées par l’arpenteur Tocquaine mandaté par les Eaux et Forêts de Remiremont. M. Tocquaine dans son plan daté du 28/1/1840 nous donne un aperçu très explicite du site avec des parcelles que la commune met en vente par adjudication. Le percepteur de l’époque, François Fleurot, toujours en quête d’une bonne affaire, fait une offre pour acheter l’une de ces parcelles, la plus proche du site. Elle est actuellement occupée par le Chalet des Amis de la Nature. C’est alors une friche marécageuse de peu de valeur mais l’astucieux percepteur promet d’en faire un Eden avec une buvette naturellement. Enfin une autre parcelle située en aval sera également mise en vente car il est prévu de la déboiser toute la partie aval du site. Le percepteur quant à lui devra se désister car il doit rendre des comptes sur une gestion douteuse des finances de la commune alors dirigée par son cousin et il sera muté à Corcieux.
D’autres parcelles seront encore vendues par la commune du Val-d’Ajol vu qu’il lui fallait trouver l’argent nécessaire au financement de ces coûteux travaux de voirie. A rappeler que jusque 1840 environ, le chemin principal conduisant à Plombières et qui partait de la Croix passait par le Grépiné et les Charrières. Plus connu sous l’appellation de « Chemin des Morts », bordé de profonds ravins, l’agent voyer mandaté par le département le trouva en effet trop dangereux car étroit et trop pentu pour être conservé. Sans doute le chemin de Plombières avait-il acquis une triste réputation suite aux accidents mortels dont il fut trop souvent la cause.
Evidemment pour désaltérer les nombreux visiteurs ainsi que les attelages, il fut jugé nécessaire d’aménager sur le site de la nouvelle Feuillée pas moins de trois fontaines. Hélas, la seule source disponible étant située à une altitude peu convenable et par la force des choses la pente étant trop faible pour amener le précieux liquide dans ces trois fontaines, l’approvisionnement en eau de cette Feuillée fut un casse-tête qui ne fut jamais résolu. Les premiers tuyaux en bois vont en effet rapidement se détériorer car ne supportant les desséchements répétitifs de chaque été. Pas moins de 30 sapins avaient tout de même été sacrifiés pour percer les tuyaux nécessaires. Le remplacement par des tuyaux en grés ne fut pas davantage concluant. Seule la fontaine inférieure dite « Fontaine Siméon » put au final être conservée. L’hôtel qui fut construit en 1904 eut à souffrir des mêmes ennuis. Il fallut l’équiper d’une pompe qui souvent tombait en panne.
Une loge en dur fut rapidement aménagée pour recevoir les visiteurs, leur offrir boissons et produits du terroir. Et surprise, parmi les premiers gérants, apparaît alors le nom d’Amé Lambert. C’est un nom que d’ordinaire nous associons à la Feuillée concurrente. Car il s’agit bien du même homme qui vient de faire l’acquisition de la ferme que Dorothée fut obligée de vendre pour payer ses dettes. Mais contrairement à la légende, le bien acquis par Lambert n’est pas encore un vrai site touristique. Ce n’est qu’une modeste ferme avec vaches et cochons que Dorothée tient en indivision avec ses deux frères et sœurs, tous célibataires, sauf que sa terrasse offre un splendide panorama qui reste cependant à aménager. Lambert qui a sans doute des idées derrière la tête va donc faire ses classes dans la réputée feuillée communale située en face. A la belle saison, il s’y rend chaque jour à cheval pour accomplir son devoir de gérant et il ne tardera pas à demander que la commune lui construise un abri pour son précieux attelage. Mais Lambert se lasse vite de son statut peu reluisant de simple locataire. Son bail court du 1er mai 1891 au 30 avril 1894 mais il va y renoncer par courrier du 30/10/1893. C’est alors une femme, Constance Cholley, qui lui succédera de 1894 à 1897. Elle établira à ses frais un orchestre (sorte de gloriette) qui deviendra propriété communale à la fin de son bail. Se succéderont sur le site d’autres exploitants locataires tous de Laître comme le restaurateur Albert Parisot, puis le cafetier Albert Grosjean. Ce dernier construira l’hôtel qui fut démoli voici quelles années. Il y passera une grande partie de sa vie. Car Grosjean contrairement aux locataires qui l’ont précédé a obtenu le bénéfice d’un bail commercial appelé 3-6-9. Une vie toutefois parsemée d’embûche comme sa mobilisation pour la grande guerre. Son épouse qui se retrouve seule avec de jeunes enfants à charge rame pour honorer le contrat passé avec la commune. Son commerce qui vit essentiellement du tourisme est alors touché de plein fouet.
D’un naturel curieux, Napoléon III se rendra bien sûr aux deux feuillées qui surplombent la vallée lors de ses séjours à Plombières. Mais la presse de ces époques témoigne surtout des grands dîners qu’il organisera plusieurs fois toujours à la Feuillé Nouvelle entouré d’une dizaine de notables avec leurs épouses comme le 1/8/1865. Après tout, c’est bel et bien grâce à l’argent de l’État que cette feuillée est devenue un site remarquable. Il en est un peu le propriétaire. Souvent le retour sur Plombières devra se faire à la lumière des chandelles et des torches.
Hôtel de la Feuillée NouvelleConstruit en 2015 1er groupe1er groupe1er groupe1er groupe1er groupe2ème groupe2ème groupe2ème groupe2ème groupe2ème groupe2ème groupe2ème groupe2ème groupe3ème groupeChalet des Amis de la Nature
Depuis le début du mois d’avril, le marché dominical reprend vie, les stands occupent une bonne partie de la place du Sô, les étals sont divers, et avec la remontée des températures, les jardiniers sont impatients de semer et repiquer légumes et fleurs .
L’animation musicale gérée par le conseil municipal a repris du service,
Des élus volontaires se relaient à tour de rôle pour la faire fonctionner. La mise en route se fait via une clé USB avec une playlist variée entre chansons françaises actuelles mais aussi des morceaux anglophones.
La sono fonctionnera tout au long de l’été le dimanche de 9h à 12h et lors de diverses manifestations.
Redynamiser la commune est l’objectif du conseil municipal en place.
Pendant longtemps, très longtemps, elle avait coulé à hauteur d’un sentier où les chèvres qui, au couchant, venaient s’abreuver avant de descendre à la ferme en sautillant entre les roches vers le vallon d’Hérival, à quelques pas du prieuré éponyme et avant de confier leur bon lait à la fermière.
Et puis un jour, elle disparut, victime sans doute de mouvements de terrains, de failles naissantes qui l’avaient enfouie sous la roche où elle s’était perdue à tout jamais, pensait-on alors à la veillée, avec mille regrets.
Certaines mauvaises langues de la vallée répandaient même la rumeur que c’était une punition de Dieu à l’adresse des moines de l’abbaye dont les règles s’étaient considérablement relâchées en l’absence de l’abbé Wichard.
Au printemps de l’an 17, une sécheresse comme on n’en avait jamais vu s’installa durablement. La source de Germandre ne coulait plus. Dès le mois d’avril, les étangs d’Hérival étaient déjà à sec et carpes et brochets morts gisaient dans la vase rougeâtre et que corbeaux et pies se disputaient à coups d’ailes et de cris sonores que l’écho de la vallée amplifiait.
Et puis la famine suivit.
Dans les fermes du vallon, le pauvre Chello (chalot) avait déjà livré ses dernières victuailles.
Les alous étaient vides. Plus aucun jambon ne pendait sous la poutre maîtresse et sur les étagères ne restait qu’un voile poussiéreux où les araignées filaient leur plus belle toile. Le légendaire coffre-fort des fermiers avait été pillé jusqu’au dernier grain. Les paysans sacrifiaient poules et canards pour se nourrir. Les plus vieux moutons et les cochons suivirent le sort de la volaille. Les maigres légumes dans les jardins au pied du Chello (chalot) avaient séché depuis des jours et des jours.
La peur s’installait dans les chaumières.
Jacquet, le cadet de Eudebert le bûcheron se rendit un soir à l’abbaye pour y retrouver son ami le moine Engibalde et l’implorer par ses prières de faire venir la pluie. Engibalde, qui avait dès les premières années de Jacquet remarqué sa vivacité, son intelligence et sa bonté, le prit sous sa protection.
« Viens avec moi, dit-il, nous allons redonner vie à la vallée ». Sans avertir le prieur, Engibalde quitta discrètement l’église toute proche où se déroulait l’office du soir, et, accompagné de son petit ami, tous deux grimpèrent jusqu’à l’ancienne source de Germandre que les genêts avaient recouverte.
Les chants du monastère leur parvenaient encore jusqu’à la source pourtant fort éloignée. Engibalde le moine fit s’asseoir Jacquet sur un rocher et lui dit :
« Ecoute moi bien Jacquet, tu es mon ami et je vais te confier un secret que je suis seul à connaître. Germandre n’est pas seulement la source que tu connais mais c’est aussi la fée de la vallée, mon amie que je rencontrais chaque nuit autrefois en secret, mon amie oui, mon amante peut-être. Nous nous baignions dans ses eaux généreuses jusqu’à l’heure de la première messe à l’aurore et elle me confiait ses secrets et ceux de la vallée. Nous allons l’implorer pour nous rendre ses eaux et la vie. »
Engibalde s’éloigna un peu et sortit de sa poche quelques herbes qui avaient poussé contre le dos du Chello (chalot) du prieuré et dont il détenait le secret, les glissa dans un anneau d’or que lui avait confié la fée et qu’il portait sur son cœur puis déposa son bouquet à l’endroit de la source en priant Germandre de rendre la vie au vallon par des gestes et incantations que Jacquet ne pouvait comprendre.
La source de Germandre réapparut au matin après une nuit d’orage dont on se souvint longtemps. Ses eaux bouillonnantes jaillissaient de la roche en formant un cône tel un volcan qui crache le feu et répand ses cendres alentour et certains paysans crurent même entendre une voix féminine sortir de terre et murmurer. Ses eaux tumultueuses rejoignaient dans le vallon les étangs du prieuré en folles cascades et elles les remplirent comme avant.
On prétendit même que la Pierre Nicole, gros bloc de granite abandonné là-haut par le glacier des temps anciens sur le plateau du Pré Carré, s’était déplacée de quelques mètres pour jeter un regard vers la vallée et assister au spectacle de cette renaissance.
Le lendemain soir, Engibalde et Jacquet se rendirent avec discrétion au Chello (chalot) monastique encore bien garni, lieu de rendez-vous fixé par le moine et, dans l’obscurité inquiétante, rencontrèrent la fée Germandre dans son habit blanc qui confia au gamin un autre secret.
« Entre dans la mine voisine au-dessus du monastère qu’ont abandonnée honteusement les mineurs et au fond, tout au fond, tu y trouveras les victuailles qui ont tant manqué dans vos maisons et Chellos (chalots). Demande à la chauve – souris gardienne des lieux de t’y conduire et garnis à nouveau tous ces petits Chellos désespérément vides.
SI tu gardes le secret de la source à tout jamais, je te ferai prieur de l’abbaye et tu feras connaître ce lieu à toutes les générations qui te suivront en l’agrandissant, en accueillant les pèlerins vers Rome dans un bâtiment digne de tes visiteurs que tu appelleras la Maison des Hôtes. Tu y planteras une croix à son entrée, la plus haute du vallon et tu feras creuser un nouvel étang avec un moulin pour vous nourrir. Va et garde ton amitié à Engibalde. »
Le jour suivant, pendant que les parents étaient aux champs, Jacquet se rendit à la mine avec son cheval Marot et, guidé par la chauve-souris dès l’entrée, il s’enfonça courageusement dans la galerie dans l’obscurité la plus totale où, tout au fond, il découvrit les victuailles promises par la fée blanche. Il redescendit dans la vallée et à sa grande surprise les grosses serrures des Chellots (chalots) grinçaient et les portes s’ouvraient miraculeusement accueillant à nouveau blé, orge, seigle, miches de pain, légumes frais, du miel, le jambon et le sel.
Dans les chaumières on accueillit l’enfant du pays comme le sauveur.
Engibalde, le moine ami, lui enseigna dès lors l’écriture et la lecture et quelques rudiments de mathématiques et de morale. Germandre veilla à alimenter la source que l’on peut admirer aujourd’hui encore dans son écrin de mousse, de genêts fleuris et de fougères géantes.
Ami (e) randonneur (se), si ta balade te conduit au-dessus du prieuré dans l’admirable vallon d’Hérival, rends visite à la source généreuse et peut-être entendras-tu aussi le doux murmure de la bonne fée Germandre se confondre avec le clapotis de ses eaux.
Peut-être te confiera-t-elle un secret aussi ?. Celui de l’art de dresser tout en bois assemblé cet admirable petit chalet que nos braves paysans d’autrefois appelaient dans leur patois chello ou chalot et qui a traversé les siècles pour nous raconter ses belles histoires.
La Croisette d’HérivalLe Prieuré d’HérivalChello des ancêtresLes alous du chelloChelloLe Val-dAjol
Les gouttes d’eau tombées en ce lundi de Pâques n’ont pas freiné les enfants venus nombreux pour la récolte des œufs. Parents et enfants ont parcouru les trois parcs du centre-ville où les cloches, aidées par les membres du comité des fêtes, avaient dispersé des œufs factices pour des raisons sanitaires. Trois œufs en or bien cachés devaient être trouvés pour recevoir un cadeau supplémentaire !!,
De retour de leur chasse fructueuse, tous les enfants ont reçu un sachet rempli d’œufs divers en chocolat.
Nina, Charlie et Jonas ont trouvé le fameux sésame d’or, ils l’ont troqué pour un gros œuf en chocolat.
Vu la météo maussade la chasse a été rapidement terminée, les 60 enfants inscrits ont récolté en un temps record les trois ou quatre cents œufs disséminés dans les massifs des parcs d’agrément de la commune.
La photo souvenir de cette chasse 2025 n’a pas entamé le moral de l’équipe du Comité des fêtes, qui organisera le 1er Mai « Le vide grenier » au centre du Val-d’Ajol, avec buvette et restauration tout au long de la journée.
Top départ !!.Sous la table !!L’oeuf en orLes trois gagnantsLes trois gagnantsPhoto souvenir 2025Photo souvenir 2025
Ce samedi, sous un soleil éclatant, la forêt du Chanot, près de l’Hôtel Enfoncé, a accueilli une vingtaine d’enfants pour une chasse aux cailloux de Pâques pleine de magie, organisée sur inscription par l’association Love on the Rock.
Patricia et Raphaël, membres actifs de l’association, avaient préparé cette animation avec la complicité d’Angélique et ses filles, venues prêter main forte pour l’installation, et de Nathalie, qui avait aidé en amont à peindre les cailloux. Ensemble, ils avaient imaginé un parcours semé de petites merveilles colorées, spécialement conçues pour ravir les enfants.
Les jeunes participants ont été accompagnés par le malicieux lapin Galipette, alias Raphaël, pour explorer les sentiers à la recherche des cailloux cachés. Chaque enfant a ensuite reçu un sachet de chocolats offert par « Au Fournil Ajolais »
Mais les surprises ne s’arrêtaient pas là : grâce à la générosité de l’association Love On The Rocks, chaque petit chasseur s’est vu remettre une médaille, offerte avec le sourire par le lapin Galipette, ainsi qu’un livre à colorier, distribué par Patricia.
L’après-midi s’est poursuivi avec des jeux extérieurs – puissance 4 géant, croquet, entre autres – avant de se conclure par un goûter offert, dans une ambiance conviviale et chaleureuse.
L’Association Love on the Rock, et tout particulièrement Patricia et Raphaël, remercient toutes les familles présentes pour leur gentillesse, leurs retours enthousiastes et leur belle générosité. Un clin d’œil tout spécial à Karine, fidèle complice !
Une belle réussite, placée sous le signe du partage, de la nature et de la bonne humeur Ajolaise !
Prochaine animation « Défi Arc-en-ciel » Mercredi 11 juin de 14h à 18h à la ludothèque
Chasse aux cailloux de Pâques : une joyeuse aventure en forêt !
Ce samedi, sous un soleil éclatant, la forêt du Chanot, près de l’Hôtel Enfoncé, a accueilli une vingtaine d’enfants pour une chasse aux cailloux de Pâques pleine de magie, organisée sur inscription par l’association Love on the Rock.
Patricia et Raphaël, membres actifs de l’association, avaient préparé cette animation avec la complicité d’Angélique et ses filles, venues prêter main forte pour l’installation, et de Nathalie, qui avait aidé en amont à peindre les cailloux. Ensemble, ils avaient imaginé un parcours semé de petites merveilles colorées, spécialement conçues pour ravir les enfants.
Les jeunes participants ont été accompagnés par le malicieux lapin Galipette, alias Raphaël, pour explorer les sentiers à la recherche des cailloux cachés. Chaque enfant a ensuite reçu un sachet de chocolats offert par « Au Fournil Ajolais »
Mais les surprises ne s’arrêtaient pas là : grâce à la générosité de l’association Love On The Rocks, chaque petit chasseur s’est vu remettre une médaille, offerte avec le sourire par le lapin Galipette, ainsi qu’un livre à colorier, distribué par Patricia.
L’après-midi s’est poursuivi avec des jeux extérieurs – puissance 4 géant, croquet, entre autres – avant de se conclure par un goûter offert, dans une ambiance conviviale et chaleureuse.
L’Association Love on the Rock, et tout particulièrement Patricia et Raphaël, remercient toutes les familles présentes pour leur gentillesse, leurs retours enthousiastes et leur belle générosité. Un clin d’œil tout spécial à Karine, fidèle complice !
Une belle réussite, placée sous le signe du partage, de la nature et de la bonne humeur Ajolaise !
Prochaine animation « Défi Arc-en-ciel » Mercredi 11 juin de 14h à 18h à la ludothèque
A 20h30 le samedi 12 avril à la Salle des Fêtes au Val d’Ajol, l’association ADMR du Girmont et du Val d’Ajol a eu le plaisir d’accueillir la troupe « les Théâtains » de Fougerolles (70), dans une comédie de Régis LE GUIGOT : C’est pas gagné !
L’intrigue pourrait être une histoire vraie, qui serait moins hilarante dans la réalité.
La salle était comble, pour cette comédie à multiples rebondissements, et jouée d’une façon remarquable, par la troupe des « Théâtains » de Fougeroles qui clôturait leur tournée de l’année au Val-d’Ajol.
Depuis six ans, Jean-Pierre et Sarah jouent au loto avec leurs cinq meilleurs amis.
Depuis six ans, la même grille, les mêmes numéros que Sarah va consciencieusement valider pour la bande de copains : Claire au RSA, Jeff et Laurence qui n’en peuvent plus de leur travail, Thierry et Babeth dont le rêve est de devenir propriétaire. Et ce vendredi 13, l’invraisemblable se réalise. Jean-Pierre et Sarah ont peine à y croire en découvrant les numéros gagnants. Mais oui, c’est bien eux que la cagnotte a choisi. 13 millions d’euros. Le pactole. Un vrai conte de fée qui coule à flot. Et qui va vite se transformer en cauchemar quand Jean-Pierre et Sarah se rendent compte que le conte de fée n’a pas été validé. Et les autres qui vont débarquer avec champagne et confettis pour fêter ce jour inoubliable…
Balade organisée par la Vosgienne, une société de gymnastique d’Épinal, article rédigé par un membre de l’association, publié dans le journal « Mémorial des Vosges » du 7 juillet 1893.
Un gymnaste a bien voulu nous adresser ce compte rendu de l’excursion faite, dimanche, par notre vaillante société de gymnastique.
Favorisée par la belle journée de dimanche dernier, la société de gymnastique « la Vosgienne » d’Épinal au nombre de quinze, nous prenons le train de 4 h 50 du matin qui nous conduit à Remiremont, nous traversons la Vallée des Roches et visitons la Cascade du Géhard où nous arrivons à 8 h ½. Chacun de nous se cherche alors une petite place à travers les roches et s’apprête à déjeuner. A 9 heures, après nous être réconfortés, nous reprenons notre chemin par la forêt d’Hérival et arrivons à la Cascade de Faymont vers 10 heures. Malheureusement, la cascade n’a rien d’attrayant pour le moment car par suite de la sécheresse il n’y a presque point d’eau. Nous arrivons ensuite au Val-d’Ajol à 11 heures. Par une chaleur tropicale nous montons à la Feuillée Dorothée.
Le restaurateur de la Feuillée Dorothée a été très aimable pour nous et nous a autorisés de manger dans ses loges les vivres apportées dans nos sacs.
Tout en dînant nous avons pu jouir d’un magnifique panorama : le Val-d’Ajol est à nos pieds et la vue s’étend depuis Aillevillers jusqu’à Faymont.
A midi, bien à regret, nous prenons le chemin de Plombières où nous arrivons à 1 heure. Là encore, grâce à la complaisance de M. Leduc, receveur des thermes, qui met un de ses employés à notre disposition, nous visitons les bains Stanislas, l’Enfer, etc, etc. Que M. Leduc reçoive encore ici nos meilleurs remerciements.
A 3 h ½ nous quittons Plombières pour gagner Xertigny où nous devons reprendre le train de 6 h 29 qui nous conduit à Épinal à 7 h 15.
En somme très belle journée, mais un peu trop chaude pour la marche. Malgré tout, le trajet qui ne comprend pas moins de 40 kilomètres, en pays de montagnes, s’est effectué dans les meilleurs conditions, surtout avec beaucoup d’entrain et de courage, par nos jeunes gymnastes dont quelques uns ne dépassent pas 16 ans.
Signé : un Gymnaste
Un bel exemple sur l’attrait de notre commune dans le domaine touristique de l’époque. D’autres sociétés sportives de divers lieux y compris parfois de Nancy viennent au Val par le train et repartent le soir même ou même le lendemain, soit en gare du Val, de Plombières ou de Remiremont. C’est l’arrivée du chemin de fer dans la vallée en 1882 qui va donner le top départ du tourisme au Val-d’Ajol. La commune qui comprenait alors des dizaines de bistrots et de cabarets va alors se doter de plusieurs hôtels et restaurants.
Toutefois l’actuelle Résidence de la famille Daval/Bongeot n’existe pas encore. Son histoire est peu connue. Mais elle est tout de même liée à l’arrivée du train. Les patrons de la filature des Mousses vexés que la ligne se termine à Faymont et non pas à Hamanxard comme ils l’avaient demandé, vont entreprendre la construction d’un hôtel à proximité de la gare centrale pour recevoir dans un confort encore peu commun leurs visiteurs, qu’ils soient fournisseurs ou acheteurs. Mais pour des raisons qui restent à déterminer, le chantier sera laissé à l’abandon durant 10 ans jusqu’à ce que le gérant de la brasserie, Amé Fleurot, s’y intéresse pour y vivre une retraite de vieux célibataire.
La feuillée DorothéePlace des écolesCascade du GéhardCascade du GéhardCascade de FaymontVallée des rochesLe Val-d’AjolPlombières les Bains
Voici deux ans après quelques péripéties, une recyclerie dépendant de l’association de réinsertion « l’Abri » basé à St Étienne-lès-Remiremont, est installée dans la Grande Rue, anciennement un magasin de vente d’appareils électriques de l’entreprise de Michel Tissserand ayant repris la suite de M Valentin.
Redonner une seconde vie aux articles de sport, et de défi que l’Abri s’est donné, en organisant une journée « Sport Récup’ » à la salle des fêtes le 29 mars.
Dès l’ouverture les clients étaient présents, pour trouver l’article désiré à un prix défiant toute concurrence.
Depuis quelque temps la tendance à la seconde main s’accentue. Dans les recycleries les articles revendus ont été donnés ou récupérés dans les débarras de maisons lors d’un départ, ou d’un changement de propriétaires. Ils sont révisés, nettoyés en atelier avant de revivre une seconde vie, et faire des heureux…
L’association ballast basée à Cornimont a initié des visiteurs à deux ou trois astuces de réparations rapides de vélo. En 2024 l’association a vendu plus de 250 vélos remis en service dans leur atelier, et qui ont échappé à la benne.
Les enfants ont pu tester vélos et trottinettes sur un parcours tracé à l’extérieur du bâtiment, et parfaire leurs connaissances du code de la route pour cyclistes.
En juillet, l’Abri prévoit une animation autour des jeux et des jeux de société.
Une sympathique réunion s’est tenue aux Épinettes, début avril.
Chaque année en hiver le club organise des sorties skis pour les enfants désirant apprendre à skier ou tout simplement s’adonner au plaisir du ski. Durant quelques semaines le dimanche départ dès huit heures du Val, en bus, pour rejoindre les pistes du grand ballon des Vosges, pour un retour en fin d’après-midi.
Suivant leur niveau les enfants intègrent un groupe sous la houlette d’un moniteur agrée. A la fin de la saison, après une épreuve de qualification, la remise de récompenses à lieu au printemps.
Les membres du bureau du CAPS avaient invité les parents et les enfants pour la remise de diplôme et des « Flocons », suivi du verre de l’amitié
M le Maire Thomas VINCENT a félicité les récipiendaires, ainsi que les personnes encadrant les enfants.
Le groupe de skieursDistribution des dossardsLes débutantsLe petit LangenbergSoleil sur les pistes, brouillard dans la valléeLes Ajolais font du skiLes Ajolais font du skiLes Ajolais font du skiLes Ajolais font du skiLes Ajolais font du skiLes Ajolais font du skiLes Ajolais font du skiLes Ajolais font du skiLes Ajolais font du skiLes Ajolais font du skiréception, remise des « Flocons ».réception, remise des « Flocons ».réception, remise des « Flocons ».réception, remise des « Flocons ».réception, remise des « Flocons »réception, remise des « Flocons »
L’office : Espace de travail partagé est installé depuis 2023, au 19 de la rue de Plombières, en remplacement de l’office de tourisme qui a déménagé à côté de la Mairie à l’angle de la grande rue et la rue du Pont Cherreau.
L’office met à disposition des usagers un local aménagé dont : 8 postes de travail, deux salles de réunion et une kitchenette pour accueillir les co-workers (collègues de travail).
Des formules sur-mesure sont proposées aux utilisateurs :
La mise à disposition d’un poste avec internet et accès à l’imprimante, aux salles de réunion et à la cuisine est proposée à la demi-journée, à la journée ou à temps plein.
A ce jour une douzaine de personnes, fréquentent ce lieu, ils présentent des profils variés : agente immobilier, informaticien, diagnostiqueuse, traductrice, consultant en logistique, coach familial et secrétaire indépendante.
Ils apprécient l’ambiance studieuse et profitent de ce temps en dehors de leur foyer pour réaliser les tâches qui nécessitent de la concentration ou organiser des réunions avec leurs partenaires.
Si vous désirez bénéficier d’un environnement de travail calme et convivial, et partager votre quotidien, cet endroit est à votre disposition.
S’adresser à l’accueil de la Mairie pour prendre rendez-vous avec la responsable de l’Office.
Avec le rattachement de Saint Valbert à Fougerolles, la commune se trouve dépendre de deux cantons : Saint-Loup sur Semouse et Luxeuil. Mais sans doute que beaucoup de ces administrés ignorent que la commune de Fougerolles fut, de par son importance en superficie et en population, désignée à la Révolution comme chef lieu de canton durant quelques années mais le remue ménage qui suit a été rapidement sanctionné.
La famille Peureux du Sarcenot est sensée à priori, se trouver au centre de l’affaire.
Dans ce dossier des particuliers de Fougerolles dénoncent des chefs de famille suspectés d’aider ou d’héberger des religieux réfractaires suivant procès verbaux des 20, 25 et 27 octobre.
Cette affaire sera présentée le 27 brumaire au Comité de surveillance du département.
Dans un dossier trouvé aux archives départementales par mon mari Daniel Gury il y a de cela une vingtaine d’années, suit une grande liste des personnes de Fougerolles qui ont été mises aux arrêts :
François Tisserand de Semozel frère de Jean Nicolas Tisserand ci-devant chanoine régulier, pour avoir entretenu avec lui une correspondance alors qu’il n’a pas voulu signer le traité constitutionnel et qu’il a pris la fuite ;
Joseph Peureux soupçonné d’avoir passé du numéraire aux émigrés et n’ayant aucune fréquentation qu’avec les gens suspects ;
Nicolas Ougier pour avoir entretenu et autorisé Claude Deile Grosjean réputé émigré dans sa suspicion, même lui donner retraite en son domicile et lui tenir des propos contre la constitution ;
Les deux filles Perney pour s’être absentées de la commune une longue espace de temps pour prêcher l’aristocratie et le fanatisme dans les paroisses voisines ;
Jean Claude Aubry pour s’être également transporté dans les communes du voisinage à l’effet de faire avertir les prêtres réfractaires qui pourroient s’y rencontrer de se retirer parce que l’on vouloit en faire la recherche ;
Jean Claude Desvoilles pour avoir fait fréquemment les commissions de tous les partisans de l’aristocratie de la commune avec ceux du voisinage ;
François Desvoilles, frère de ce dernier, et oncle des Peureux émigrés, pour avoir dit hautement que les citoyens patriotes étaient une race le loup et d’avoir prêché le fanatisme en disant que……. ;
Claude Jechoux dit le « Prêché » pour avoir pareillement prêché, retenu des rassemblements de gens suspects en son domicile, se faisant gloire d’être du nombre et d’avoir le caractère d’aristocrate ;
François Hory accusé d’avoir coopéré à arracher le premier arbre de la liberté planté à Fougerolles dans lequel on l’y commit des ordures et de s’être flatté d’avoir enterré le bonnet dudit arbre de la liberté ;
Anne Marie Simon pour avoir prêché le fanatisme dans plusieurs cantons composant cette commune avec manières contre révolutionnaires, pleurant de dépit de ce qu’elle ne pouvoit gagner personne de son coté ;
Jeanne Marie Duchesne pour avoir favorisé l’émigrations des trois frères Peureux en leur procurant du numéraire, et d’avoir prêché continuellement le fanatisme, d’avoir enfin tenté plusieurs fois d’obtenir un prêtre réfractaire auquel elle avoit fait une partie de l’avance pour lui procurer une chapelle ;
Claude Joseph olivier pour s’être associé dans des attroupements dans le bois avec des gens reconnus suspects ;
Marie et Françoise Peureux sœurs des émigrés pour n’avoir, depuis la révolution, montré aucun caractère de civisme ;
Marie Cholley femme de François Gabriel Peureux l’un des émigrés pour s’être constamment montrée d’un caractère incivique ;
Jacques Aubry convaincu d’avoir avalé des assignats nationaux disant « c’est ainsi que je place la monnaie de la République » ;
Sylvestre Desvoilles reconnu d’avoir prêché le fanatisme continuellement faisant tous ses efforts pour attirer les gens dans l’aristocratie en disant que les lois attaquoient la religion ;
Hubert et Jean François Dumartinot, fréres, se disant être aristocrates et vouloir l’être toute leur vie ;
Jacques Aubry dit Jacquotte ambassadeur du fanatisme et porteur de livres inconstitutionnels ;
Nicolas Barret pour avoir attaqué et vouloir maltraiter un citoyen qui chantait une chanson civique, et d’avoir dit « oui, je suis aristocrate« , d’avoir par une autre fois insulté les citoyens chantant des chansons de civisme, et ce nuitamment ;
Silvestre Barret beau-frère des Peureux émigrés, pour correspondance avec eux par les lettres qu’il a dit en recevoir.
Il s’avère que les trois frères Peureux qui sont activement recherchés ne sont pas vraiment du Sarcenot. Ils habitent le centre de Fougerolles (église) mais sont natifs de Corbenay. Leur père Claude François est pourtant du Sarcenot, fils de François Gabriel et de Anne Antoine.
François Gabriel, donc le père, semble avoir exercé la profession de recteur d’école à Fougerolles Église. Il a sans doute pris la suite de Joseph Girard après avoir été son aide. Joseph Girard a occupé la place de 1742 à 1778 environ. Et lorsqu’il renouvelle son contrat en 1772, nous avons un aperçu très détaillé de sa fonction qui comprend en plus de l’enseignement général, une assistance quasi permanente des prêtres et curés dans l’exercice de leur ministère. Il assure la sonnerie des cloches, l’entretien de l’église, l’allumage des cierges… Il doit fournir un assistant à ses frais. Il est logé.
Dans de telles conditions, on comprend facilement que toute cette famille de bons chrétiens se soit liguée contre les révolutionnaires d’autant plus que le curé, après avoir fait mine de se soumettre, a finalement pris l’offensive.
Gabriel le fils sera lui aussi l’instituteur, du moins jusqu’à la révolution. Tandis que sa sœur mariée à Jean Sylvestre Barret sera une des principales sages femmes de cette période et plus tard encore. Ce sont donc des gens très impliquées dans le fonctionnement de la communauté.
Par respect pour le côté historique, l’orthographie du moment a parfois été conservée.
C’est accompagné de leurs enseignantes, Mmes DEMANGE et SIMON que le jeudi 3 avril, les élèves des classes de CE et CM de l’école Sainte Marie se sont glissés, le temps d’une journée, « dans la peau d’un archéologue » à l’Ecclesia de Luxeuil les Bains.
Ils y ont découvert les outils de l’archéologue, les étapes de la fouille et les métiers de l’archéologie et se sont émerveillés devant les vestiges de l’ancienne basilique et ses 180 sarcophages de pierre.
Le projet de réunir les habitants pour définir des quartiers prend forme.
Sur les 17 prévus, des réunions ont permis de définir les lieux-dits concernés pour chaque zone compte tenus de l’étendue de la commune.
Des personnes connaissant leur secteur se sont proposées pour être référent, un minimum de deux est conseillé voire plus si demande de candidature. Leur mission sera de faire le lien avec la Mairie, d’organiser des réunions, d’être à l’écoute de toutes les doléances et idées d’amélioration des espaces publics et autres suggestions.
Une trentaine de personnes étaient présentes à chaque réunion organisée volontairement par des résidents de quartier. Pour les premiers contacts, des élus étaient présents, dont le Maire (suivant son emploi du temps), deux adjoints et des conseillers.
Les doléances les plus récurrentes sont : la vitesse, les chiens non tenus en laisse, les déjections canines, les stationnements gênants, la signalisation à améliorer, les décibels de certaines cylindrées qui dépassent largement la réglementation autorisée. L’entretien des forêts (arbres en péril de chute) et des chemins encombrés.
Quartier de FaymontQuartier de FaymontQuartier de FaymontQuartier de FaymontQuartier de FaymontQuartier de FaymontQuartier de FaymontQuartier de Faymont, Magasin de l’usineQuartier de Faymont, château De BuyerQuartier de Faymont, L’école de CouruptQuartier de Faymont, La ChapelleQuartier de Faymont, cascadeQuartier de Faymont, cascadeQuartier de Faymont, HérivalQuartier de Faymont, cascade du GéhardQuartier de Faymont, cascade du GéhardQuartier HLMQuartier HLMQuartier HLM, étang de la Drague
L’assemblée Générale de l’association Rayon de Soleil s’est déroulée le vendredi 4 avril, sous la présidence de Monique Durupt, dans la salle d’animation de l’EHPAD Val de Joye, du Val-d’Ajol.
Étaient présents M le Maire Thomas VINCENT, Mme Nicole FERRANDO remplaçante de Mme la Maire de Plombières.
Excusés: le directeur de l’établissement, M le Maire du Girmont Patrick Vincent, et les grands Élus du département.
Petit retour sur les animations, évènements marquants au cours de l’année :
Les sorties au restaurant sont très appréciées des résidents, elles sont offertes par l’association.
Les activités proposées sont variées, et chaque résident y participe suivant sa préférence. Jeux : loto, belote, triomino, scrabble…
Atelier créatif et tricot : pour l’exposition des artistes de la Combeauté, le marché de Noël et la décoration des endroits de vie en commun. L’atelier vannerie a ses adeptes du tressage de l’osier. Les après-midi chants.
Quelques sorties aux alentours : zoo, carnaval vénitien, marché du Girmont, Pique-nique, rencontres amicales dans d’autres EHPAD.
La piscine du Val-d’Ajol étant fermée, quelques résidents sont emmenés à la piscine de Remiremont.
Salle comble pour les deux après-midi loto des familles.
Projet en cours : l’achat d’un baby-foot pour animer les après-midi bistro, où les familles sont invitées.
Toutes les animations seront reconduites.
Depuis 21 ans, les 24 bénévoles de l’association et le service animation de l’établissement travaillent en symbiose, pour le bien-être de tous les résidents et les différents services. L’ambiance est chaleureuse et amicale.
Les comptes sont approuvés à l’unanimité, la présidente remercie toutes les personnes qui les accompagnent par leur soutien, leurs dons, en particulier la Mairie pour la subvention allouée et l’aide apportée par les services techniques lors des manifestations.
Fin de la restauration de la croix Lambert ou croix Souris à Olichamp.
Félix PIERRÉ-LECOMTE accompagné d’une stagiaire, a terminé en tant que bénévole, la restauration de cet très ancien calvaire du XVII.
Maintenant les inscriptions sont lisibles, grâce à la dextérité du sculpteur. Sur le fût on peut lire « AVE MARIA et sur le socle « JEAN ANDRE ».
En recherche d’une reconversion Élodie hésitait entre le travail du bois et de la pierre, avec le souhait de travailler dans le domaine de l’art et de la restauration. Elle décide de réaliser plusieurs stages en entreprises.
Le dernier se passe chez Félix, notre Ajolais sculpteur au sein de son atelier à Julienrupt. Après ces quelques jours à apprendre la gravure et la taille de la pierre et encouragé par son maître de stage pour rejoindre le lycée Camille-Claudel où lui-même a été formé, qu’elle décide de se diriger vers un CAP taille de pierre.
Félix est conseiller municipal au Val-d’Ajol, il a intégré l’atelier de Daniel Petitgenêt, dont il a repris la suite en 2016.