Une journée placée sous le signe de la convivialité.  

L’équipe du comité des fêtes de la commune était à pied d’œuvre, dès le grand matin, pour recevoir le public au complexe sportif rue des Œuvres, pour les festivités du 14 juillet.

L’Harmonie Jeanne-d’Arc a ouvert les réjouissances avec un apéro concert, après à la cérémonie de la remise de galons et médailles aux sapeurs-pompiers au monument aux Morts.

Un repas champêtre était proposé pour les personnes désirant se restaurer sur place. L’après-midi, les adeptes de la pétanque se sont confrontés lors d’un tournoi, « alors tu la vises ou tu la manques ?? » avec l’accent marseillais de circonstance vu que le soleil était de la partie.

D’autres jeux étaient proposés, comme Le jeu de Mölkky qui a aussi ses adeptes, depuis quelques années en France. La MJC avait mis à disposition ses jeux d’adresse, pour petits et grands enfants.

Vers 18h l’orchestre « Délit Mineure » a animé la fin d’après- midi, pour le plus grand plaisir de son fan club.

Tout au long de la journée le comité des fêtes n’a pas baissé la garde, chacun à son poste pour satisfaire, une envie de boisson rafraichissante, ou une flammekueche, préparée Magali, et cuite au four par Camille. (Un délice).

A la nuit noire, tous les résidents de la vallée de la Combeauté ont pu admirer le superbe feu d’artifice tiré sur le terrain de foot « Paul Deschamps ».

La soirée s’est terminée par le bal populaire animé par Quentin Animation …

Commémoration et remise de médailles

Le 14 juillet nous célébrons la France et ses valeurs.

La liberté, l’égalité et la fraternité.

C’est Thomas Vincent, Maire et conseiller départemental, accompagné du député Christophe Naegelen, du conseil municipal des jeunes, et des élus, qui a eu l’honneur de passer en revue le corps des sapeurs-pompiers de la commune, lors de la cérémonie du 14 juillet au Monument aux Morts.

Le président des Anciens combattants et AFN a remis la médaille de la bravoure à Hervé TISSERAND, nouveau porte-drapeau de la section.

Deux sapeurs-pompiers ont accédé à un grade supérieur :

Caporal-Chef Christopher AMELON est nommé au grade de sergent ;

Remise de fourragère à Louis BOUCLET après un an d’ancienneté et de formation.

Après la revue du matériel exposé sur la place, l’Harmonie Jeanne-d’Arc a emmené le cortège jusqu’au complexe sportif en musique, où le Comité des fêtes les attendait pour l’apéro-concert suivit des festivités du traditionnel 14 juillet.

Que s’est-il passé le 14 juillet 1789 ?

Source : GEO : Google News

En 1789, la France connaît une période de crise majeure. Les récoltes ont été mauvaises et le prix du pain atteint des sommets. Le travail se fait plus rare, le pouvoir d’achat des plus pauvres dégringole et ces derniers sont confrontés à plusieurs épisodes de famine et la révolte gronde.

Quand de vives tensions agitent le royaume de France, Louis XVI mise sur la tenue des États Généraux au mois de mai pour apaiser les esprits. La tentative de réunir les représentants des trois ordres (la noblesse, le clergé et le tiers-état) ne réponds pas aux attentes du tiers-état et se solde par un échec en demi-teinte. Les députés qui représentent le peuple s’unissent lors du serment du Jeu de Paume pour rédiger une constitution pour mettre un terme à la monarchie absolue.

Inquiet, le roi use de sa puissance militaire pour dissoudre cette assemblée. Les députés du tiers-état appellent tous leurs partisans à les rejoindre dans cette lutte.

Le 13 juillet, les barricades et les tranchées fleurissent dans les rues de Paris. Les Gardes Françaises n’obéissent plus à Louis XVI et se mettent à la disposition des parisiens. Le 14 juillet 1789, des centaines de parisiens se rendent aux Invalides pour s’armer, puis envisagent de se procurer plus d’armes en investissant la prison royale de la Bastille. Mais l’accès leur est refusé, et la situation dégénère : une bataille s’engage et la prison est assiégée. Après des échanges de tirs de canon et de fusil, le gouverneur De Launay baisse les armes vers 17h et baisse le pont-levis de la forteresse royale. La prison est alors pillée, ses défenseurs sont massacrés et les quelques prisonniers s’y trouvant alors sont libérés.

La prise de la Bastille marque le début du soulèvement populaire qui s’est propagé dans toute la France. Très vite, le peuple se soulève dans tout le pays, soutenu par les artisans et la bourgeoisie.

Le 14 juillet a été déclaré comme jour férié pour célébrer la fête nationale le 6 juillet 1880 lors de l’institution de la loi Raspail. Le texte fait partie d’un ensemble de mesures visant à commémorer la prise de la Bastille qui symbolise la fin de la monarchie absolue et l’union de la Nation. Par cette loi, les communards parisiens bénéficient de l’amnistie et les communards déportés ou exilés peuvent ainsi revenir en France et « La Marseillaise » devient l’hymne national officiel de la France.

Une journée rando avec Rando Découverte…

Deuxième édition pour le club « Rando Découverte du Pays d’Hérival », trois randonnées étaient proposées aux marcheurs aguerris ou non à la pratique, avec un kilométrage différent suivant leurs capacités physiques.

La météo pluvieuse des derniers jours avait contraint les organisateurs à modifier certaines portions des tracés prévus, mais la pluie ne s’est invitée ce 7 juillet, et les impers sont restés au fond du sac à dos.

Plus de trois cent cinquante personnes se sont inscrits, venus d’ici ou d’ailleurs pour découvrir ou redécouvrir la campagne Ajolaise dotée d’une multitude de lieux-dits.

Le parcours des vingt Km a emmené les marcheurs sur les hauteurs de la commune, en descendant vers Larrière, Le Champ de Fougerolles, (1er contrôle) agrémenté de quelques gourmandises, direction le bois du Chanot, (2ème contrôle), la Ville, Le moulin Taqueré, L’Hôtel Enfoncé, la Feuillée Nouvelle (3ème contrôle), la Battelieule, et retour au point de départ ou l’on pouvait se restaurer et se désaltérer entre amis, et se donner rendez-vous pour la prochaine édition.

Le club de randonnée crée au Val-d’Ajol en 1995 fêtera son trentième anniversaire l’année prochaine.

Une Feuillée Nouvelle qui vous dit tout sur son âge. 

Texte de Daniel GURY.

Il existe en effet sur la commune deux feuillées très connues qui se font face : la Feuillée Nouvelle et la Feuillée Dorothée.

Si la logique porte à croire que la Feuillée Nouvelle est la petite sœur de l’autre, l’examen des archives démontre que c’est exactement le contraire.

En effet, la Feuillée Nouvelle existait déjà bien avant la révolution au cœur d’une forêt qui appartenait alors à la noblesse comme le reste du Chanot. C’est à l’occasion du tracé d’une nouvelle route devant conduire à Plombières, en 1835, que cette feuillée déjà très fréquentée par les baigneurs va faire une cure de jouvence. Car le préfet des Vosges qui a son hôtel particulier au cœur de la station a sous le coude une enveloppe de 5.000 F qui le démange car elle doit impérativement être utilisée dans les moindres délais sans quoi elle sera perdue. C’est en effet un reliquat d’une dotation particulière attribuée par l’État en faveur du thermalisme mais les projets manquent à l’appel. Dans le même temps, il existe à Plombières un organisme constitué de notables et de commerçants qui se réjouit de la mise en chantier de cette nouvelle route et qui admettrait volontiers que l’ancienne Feuillée qui n’est alors qu’une simple clairière offrant un point de vue magnifique sur la vallée de la Combeauté et ses champs de cerisiers puisse disposer d’un confort amélioré.

Une buvette pourrait avantageusement y être installée.  Ces crédits de l’État sont alors une bénédiction.  La distraction des baigneurs peut en effet être considérée comme une amélioration du thermalisme. C’est donc avec l’insistance du préfet que les notables de Plombières vont demander un réaménagement du site. D’où l’appellation « Feuillée Nouvelle » ou encore « Feuillée Communale ». Formules qui seront de suite adoptées par l’arpenteur Tocquaine mandaté par les Eaux et Forêts de Remiremont. M. Tocquaine dans son plan daté du 28/1/1840 nous donne un aperçu très explicite du site avec des parcelles que la commune met en vente par adjudication. Le percepteur de l’époque, François Fleurot, toujours en quête d’une bonne affaire, fait une offre pour acheter l’une de ces parcelles, la plus proche du site. Elle est actuellement occupée par le Chalet des Amis de la Nature. C’est alors une friche marécageuse de peu de valeur mais l’astucieux percepteur promet d’en faire un Eden avec une buvette naturellement. Enfin une autre parcelle située en aval sera également mise en vente car il est prévu de déboiser toute la partie aval du site. Le percepteur quant à lui devra se désister car il doit rendre des comptes sur une gestion douteuse des finances de la commune alors dirigée par son cousin et il sera muté à Corcieux.

D’autres parcelles seront encore vendues par la commune du Val-d’Ajol vu qu’il lui fallait trouver l’argent nécessaire au financement de ces coûteux travaux de voirie. A rappeler que jusque 1840 environ, le chemin principal conduisant à Plombières et qui partait de la Croix passait par le Grépiné et les Charrières.  Plus connu sous l’appellation de « Chemin des Morts », bordé de profonds ravins, l’agent voyer mandaté par le département le trouva en effet trop dangereux car étroit et trop pentu pour être conservé. Sans doute le chemin de Plombières avait-il acquis une triste réputation suite aux accidents mortels dont il fut trop souvent la cause.

Evidemment pour désaltérer les nombreux visiteurs ainsi que les attelages, il fut jugé nécessaire d’aménager sur le site de la nouvelle Feuillée pas moins de trois fontaines. Hélas, la seule source disponible étant située à une altitude peu convenable et par la force des choses la pente étant trop faible pour amener le précieux liquide dans ces trois fontaines, l’approvisionnement en eau de cette Feuillée fut un casse-tête qui ne fut jamais résolu. Les premiers tuyaux en bois vont en effet rapidement se détériorer car ne supportant les desséchements répétitifs de chaque été. Pas moins de 30 sapins avaient tout de même été sacrifiés pour percer les tuyaux nécessaires. Le remplacement par des tuyaux en grés ne fut pas davantage concluant. Seule la fontaine inférieure dite « Fontaine Siméon » put au final être conservée. L’hôtel qui fut construit en 1904 eut à souffrir des mêmes ennuis. Il fallut l’équiper d’une pompe qui souvent tombait en panne.

Une loge en dur fut rapidement aménagée pour recevoir les visiteurs, leur offrir boissons et produits du terroir. Et surprise, parmi les premiers gérants, apparaît alors le nom d’Amé Lambert. C’est un nom que d’ordinaire nous associons à la Feuillée concurrente. Car il s’agit bien du même homme qui vient de faire l’acquisition de la ferme que Dorothée fut obligée de vendre pour payer ses dettes. Mais contrairement à la légende, le bien acquis par Lambert n’est pas encore un vrai site touristique. Ce n’est qu’une modeste ferme avec vaches et cochons que Dorothée tient en indivision avec ses deux frères et sœurs, tous célibataires, sauf que sa terrasse offre un splendide panorama qui reste cependant à aménager. Lambert qui a sans doute des idées derrière la tête va donc faire ses classes dans la réputée feuillée communale située en face. A la belle saison, il s’y rend chaque jour à cheval pour accomplir son devoir de gérant et il ne tardera pas à demander que la commune lui construise un abri pour son précieux attelage. Mais Lambert se lasse vite de son statut peu reluisant de simple locataire. Son bail court du 1er mai 1891 au 30 avril 1894 mais il va y renoncer par courrier du 30/10/1893. C’est alors une femme, Constance Cholley, qui lui succédera de 1894 à 1897. Elle établira à ses frais un orchestre (sorte de gloriette) qui deviendra propriété communale à la fin de son bail.  Se succéderont sur le site d’autres exploitants locataires tous de Laître comme le restaurateur Albert Parisot, puis le cafetier Albert Grosjean. Ce dernier construira l’hôtel qui fut démoli voici quelles années.  Il y passera une grande partie de sa vie. Car Grosjean contrairement aux locataires qui l’ont précédé a obtenu le bénéfice d’un bail commercial appelé 3-6-9.  Une vie toutefois parsemée d’embûche comme sa mobilisation pour la grande guerre. Son épouse qui se retrouve seule avec de jeunes enfants à charge rame pour honorer le contrat passé avec la commune. Son commerce qui vit essentiellement du tourisme est alors touché de plein fouet.

D’un naturel curieux, Napoléon III se rendra bien sûr aux deux feuillées qui surplombent la vallée lors de ses séjours à Plombières. Mais la presse de ces époques témoigne surtout des grands dîners qu’il organisera plusieurs fois toujours à la Feuillé Nouvelle entouré d’une dizaine de notables avec leurs épouses comme le 1/8/1865.  Après tout, c’est bel et bien grâce à l’argent de l’État que cette feuillée est devenue un site remarquable. Il en est un peu le propriétaire.  Souvent le retour sur Plombières devra se faire à la lumière des chandelles et des torches.

Retraites : des départs à l’école du Centre

C’est une surprise pour personne, un moment d’émotion pour tous, mais un jour ou l’autre, c’est l’heure de la retraite qui sonne…

Nathalie et Rémi, ont remercié leurs collègues actuels et anciens et dirigeants en cette fin d’année scolaire à une réception amicale, ou l’émotion s’était invitée.

30 années pour Nathalie, et 25 pour Rémi, au service de vos chers bambins. Mais je vous laisse regarder la vidéo pour partager avec vous cette amicale soirée.

Vive les vacances

Une semaine avant les vacances, tous les écoliers et leurs familles se retrouvent dans la cour de l’école pour fêter la fin de l’année scolaire.

Chaque année les professeurs proposent un spectacle joué par les enfants, de la maternelle au primaire. Poésies chansons, danses, scènes théâtrales, étaient présentées aux parents venus nombreux pour les applaudir.

Divers stands étaient installés dans la cour, où chacun pouvait participer aux différents ateliers, ou s’initier aux jeux d’adresse tenu par les professeurs, les parents, et bénévoles de l’association des parents d’élèves.

Une restauration rapide permettait aux parents et amis de se reposer, et se rafraichir en se remémorant leurs souvenirs d’écolier…et d’autres sujets d’actualités.

Quelques photos et vidéos en souvenirs de cette journée.

Mariages du mois de Juin

mariage val d'ajol

Sarah MAGRON, bouchère et Victor REMY Boucher, le couple est domicilié à Arches

Marine GUSTIN, assistante maternelle, et Florian MARCOU employé de l’administration pénitentiaire, en présence de leurs enfants, Lia et Milo.

Décès du mois de Juin

27 juin : M BOBY Alain âgé de 78 ans demeurant au Val-d’Ajol.

30 juin : M André GÉGOUT âgé de 94 ans, Marié à Thérèse MOUGEL DCD en 2004, 4 enfants résident à l’EHPAD du Val-d’Ajol.

Fête de la musique

La météo étant capricieuse en cette année 2024, l’orchestre d’Harmonie Jeanne-d’Arc a opté pour une solution de repli pour l’apéro concert de la fête de la musique.

C’est à la salle des Fêtes, après le gala de la MJC, que les musiciens ont donné l’aubade en soirée, accompagné de la section Jazz de l’école de musique « Le Cube ».

L’Harmonie a inauguré en musique le premier marché nocturne de l’année 2024, du Girmont-Val-d’Ajol avec l’association « l’Épinette des Vosges ». 

Kermesse de l’école Ste Marie

Météo clémente pour la kermesse de l’école qui s’est déroulée dans la cour de l’établissement.

Le public est toujours assidu au spectacle de fin d’année qui clôture l’année scolaire. Le thème de cette année était choisi en fonction des jeux olympiques qui vont se dérouler en France cette année.

De l’Australie à la Chine, de l’Amérique à l’Afrique sans oublier de rester en Europe, les spectateurs ont fait le tour du monde en deux heures sans quitter la France.

Félicitations au corps enseignant, à l’association des parents d’élèves pour l’organisation de la manifestation et aux services municipaux de la commune pour mise à disposition du matériel.

Le club de Volley a fêté ses trente ans

Créé en 1994 par Hervé LE NET et Emmanuel GANCE le club de volley vient de fêter ses 30 ans.

Le président actuel Benjamin AIZIER et les adhérents, ont voulu fêter dignement cet évènement.

Des tournois amicaux ont eu lieu toute la journée à la salle de sports Jean Gallaire, un village des artisans se tenait à l’extérieur, des jeux pour enfants, pétanque, et l’on pouvait se désaltérer et se restaurer toute au long de la journée.

Cette journée festive s’est terminée par un barbecue et une soirée dansante.

Le club compte une trentaine d’adhérents qui s’entrainent le mercredi à 20h30, et le vendredi à 21h30.

Pour marquer l’événement un nouveau logo a été réalisé par Mathieu Rumebe.

Commémoration de l’appel du 18 juin

Un public nombreux a répondu à l’invitation du Maire Thomas VINCENT pour commémorer le 84ème anniversaire de l’appel du 18 juin, lancé sur les ondes depuis Londres par du Général de Gaulle.

 Accompagné de Christophe NAEGELEN député, d’un élu du conseil municipal des jeunes, de Gérard HENRY Président des anciens combattants AFN, que M le Maire a déposé une gerbe de fleurs au monument aux morts.

M le Maire a lu le message lancé par le Général de Gaulle, pour que les générations à venir se souviennent de cette partie de l’histoire de France.

Un message a été également transmis par Patricia MIRALLÈS secrétaire d’État auprès du ministère des armées.

On notait la présence d’un nouveau porte-drapeaux, Hervé TISSERAND ayant effectué plusieurs missions militaires dans les pays étrangers.

Le verre de l’amitié offert par la Mairie clôturait la cérémonie.

Gala de la MJC

Le public présent a assisté à un spectacle digne des danseurs professionnels de chorégraphies de danses hip-hop et modernes.

En entrée le club de « Country » du Val-d’Ajol a chauffé la salle avec une démonstration de cette pratique. Les origines de la danse country se trouvent dans les montagnes Apalaches, au cours du 18ème siècle. La rencontre de la musique locale, plutôt nostalgique avec ses rythmes syncopés, avec les folklores irlandais et écossais des colons, vont donner naissance aux premiers rythmes « country ».

Danse Hip Hop : Plus qu’une danse, le hip-hop se veut un mouvement, une attitude, un état d’esprit. « Etre Hip-hop » dans les années 70 à New York, c’est : s’habiller, chanter, danser selon des codes popularisés par le mouvement Zulu Nation, animé par le leader pacifiste, chanteur et musicien Afrika Bambaataa. L’idée consiste à canaliser la violence urbaine des quartiers du Bronx pour commencer à l’amener vers la compétition artistique. Le mouvement voulait inciter les jeunes à se défier dans la musique et la danse plutôt que dans des combats de rues.

Danse moderne : La danse moderne est un courant issu de la danse de ballet apparu, quasi simultanément, en Allemagne et aux États-Unis, aux alentours de 1920. C’est une forme de danse de scène créée par des artistes voulant se libérer du cadre rigide de la danse classique. La danse moderne a engendré, après la Seconde Guerre mondiale, ce qu’on nomme la danse contemporaine.

La danse moderne mise beaucoup sur le rapport unique de l’être humain à l’égard de son corps. De plus, la relation entre le corps et l’univers terrestre qui l’entoure est très exploitée. Les chorégraphes font souvent l’éloge de la beauté des corps et les utilisent afin d’exprimer des sentiments profonds. La compréhension d’une chorégraphie moderne repose presque entièrement sur les ressentis du spectateur. Au lieu de montrer une technique et une esthétique parfaites, la danse moderne montre le réalisme de la vie et de tout ce qui la rend unique. D’un point de vue technique, la danse moderne est une danse dite « dans le sol », c’est-à-dire qu’elle inclut des séquences de mouvements sur jambes pliées, par opposition à la danse classique, laquelle pourrait être qualifiée « d’aérienne ». Elle est caractérisée également par l’utilisation de positions de pieds et de bras parallèles.

Articles : Sources internet et Wikipédia

Visite de Colmar pour Val Gym Douce

Pour clôturer l’année, les adhérentes du club Val Gym Douce ont rendu visite à nos voisins Alsaciens, pour une journée de détente.

Direction Colmar avec Séverine comme chauffeuse guide. Séverine est bien connue des Ajolais étant chauffeuse de bus pour les transports scolaires et le tourisme au sein de l’entreprise « VANÇON VOYAGES » depuis quelques décennies.

Le temps n’était pas au grand beau, l’imper et le parapluie était aussi de sortie.

Après le passage par Gérardmer (la perle des Vosges) petite grimpette du col de Schlucht, et une descente vers la plaine d’Alsace.

Visite du musée du chocolat de Colmar, très instructif.  Pour les gourmands, le musée du chocolat de Colmar est un passage à faire et en plus du musée, il y a une boutique et même une activité. 

Le musée du chocolat de Colmar propose un parcours complet sur les 5000 ans d’histoire du chocolat. la possibilité de déguster différentes sortes de cacao et chocolat pour tester nos capacités de connaisseurs. des chocolatiers sont présents et répondent à toutes les questions, avant d’aller admirer des œuvres incroyable, comme une statue de la liberté simplement énorme ! en chocolat….

Pour les gourmands, il était possible de boire un véritable chocolat chaud (blanc, lait ou noir)

Déjeuner : dans un restaurant situé dans le centre historique de ville.

Voyage en petit train, avec visite commentée de l’ancien Colmar sans oublier de repérer les nids de cigognes perchés sur les toits.

Promenade libre dans les ruelles typiques de la ville.

Retour en terre Vosgienne en soirée, sous la pluie.