Une journée de cuisine en fête

Malgré une météo plus que maussade en début de matinée, la manifestation Cuisines en fête s’est déroulée avec la participation des fidèles chefs cuisiniers et producteurs de la région.

Cédric BONGEOT de La Résidence ouvrait les démonstrations avec un Cassoulet revisité, andouille et Paimpol, épices et crème, suivi de :

Laurent GRANDGIRARD de La Vigotte qui concoctait un petit chou (pâte à chou) farci, céleri, andouille et carpaccio de cèpes.

Cédric KARCHER de La Cocotte a réalisé des cordons bleus munster et gandoyau et pour finir,

Sophie L’ETANG, professeur de cuisine au Lycée Camille Claudel réalisait une panna cotta au munster et caramel de bière du Val d Ajol.

Les bénévoles de l’association des parents d’élèves tenaient le stand des Beignets aux pommes et la Confrérie gérait la buvette et la restauration. L’après-midi, le Fumoir Vosgien montrait les étapes de fabrication d’un pied de porc farci, désossage…. Et Hervé NURDIN du Fournil Ajolais pétrissait et cuisait des miches, et des pains de poires dit « Réma » dans certains villages.

Seule trouble-fête de la journée, une météo un peu capricieuse.

Des Cailloux… du Bonheur

Une nouvelle association voit le jour

Rédactrice : Patricia LAMBERT

Née officiellement le 30 août dernier, la toute jeune association « Des Cailloux… Du Bonheur » a pour mission de répandre de la joie à travers une activité simple et créative : peindre et cacher des cailloux.

L’idée ? Créer de petits morceaux de bonheur à découvrir au détour d’un chemin, d’un parc ou d’un marché, et partager ainsi des sourires avec les promeneurs.

Cette petite association familiale, présidée par Patricia, est animée par l’envie de faire vivre son village. Déjà très présente dans la vie locale du Val d’Ajol, Patricia n’est pas une novice : auparavant secrétaire dans une association du même genre, mais située bien plus loin, elle a souhaité créer sa propre structure au Val d’Ajol afin d’offrir aux Ajolais et habitants des environs des moments créatifs et conviviaux.

Basée au Val d’Ajol, l’association prévoit d’organiser régulièrement des ateliers et événements créatifs ouverts à tous.

En plus des ateliers de peinture, des ateliers de créations variées autour des cailloux seront également proposés, pour laisser libre cours à l’imagination de chacun, petits et grands.

Un premier projet est déjà en route en partenariat avec la MJC et la Ludothèque du Val d’Ajol : retrouvez-nous lors de ces ateliers pour découvrir et participer à cette aventure créative !

L’équipe envisage, pourquoi pas, d’élargir son terrain de jeu au fil du temps.

👉 Appel aux amoureux de la nature et de la créativité :

Que vous soyez peintre en herbe, bricoleur d’idées, marcheur curieux ou simple amateur de petits bonheurs, rejoignez l’aventure !

Pour ne rien manquer, il suffit de suivre la page Facebook de l’association pour les actualités, et de s’inscrire sur le groupe dédié afin de participer activement aux chasses aux cailloux et ateliers.

📍 Contact et infos :

Groupe facebook Des Cailloux… Du Bonheur : https://www.facebook.com/groups/1317071626750774/?ref=share

Page Facebook de l’Association Des Cailloux Du Bonheur  » : https://www.facebook.com/share/1ZEvBuCAUv/

✨ Des cailloux peints, des sourires partagés, et déjà de belles rencontres en perspective… L’association Des Cailloux du Bonheur n’attend plus que vous pour écrire la suite de cette belle aventure au Val d’Ajol ! ✨

ADMR, deux départs de bénévoles

Départ à la retraite après 40 ans au service des autres de Christiane et Éliane.

Lors du traditionnel pique-nique de l’ADMR, les membres de l’ADMR ont remercié deux membres de l’association qui ont fait valoir leur départ à la « retraite du bénévolat ».

Eliane DAVAL est entré à l’ADMR avec son mari J Pierre le 11 mai 1983.

Toujours très active au sein de l’association, en tant que trésorière puis trésorière adjointe, elle a pris sa retraite de bénévole le  3 septembre 2024.

Christiane PETITJEAN a été sollicitée pour assurer un remplacement d’aide-ménagère au Girmont en janvier 84.

Après avoir pris sa retraite en 1999, elle a rejoint l’équipe des bénévoles. Son talent de diplomate et sa connaissance parfaite du terrain et du travail ont été très précieux pour l’association.

Elle a pris sa retraite de bénévole le 20 mai dernier.

Elles ont été vivement remercié en recevant un petit cadeau et une composition florale.

Des activités pour tous

Depuis quelques décennies la MJC propose un large panel d’activités pour tous. De l’enfant dès la maternelle jusqu’aux séniors.

Le samedi 6 septembre une porte ouverte permettait au public de visiter les lieux, se renseigner sur les différents ateliers, adhérer, et s’inscrire dans un groupe suivant ses affinités, au sport à la culture, la ludothèque, etc…

Un large choix d’activités pour les enfants et les adolescents : danse moderne, breakdance, hip-hop, scrabble, ateliers d’éveil corporel.

Pour les adultes : yoga, Qi Gong, (en plusieurs déclinaisons) Zumba, etc.

Des cours de français et d’anglais, et d’autres langues en projet.

Des ateliers de décorations, et travail manuels.

Des après-midi et soirées jeux à la ludothèque pour tous.

Un café tricot, le mardi après-midi, débutantes acceptées.

Des sorties nature, à thèmes, randonnées historiques commentées, des conférences autour de sujets variés.

Le programme 2025-2026 est disponible à la MJC, la Mairie.

Marche en direction des Feuillées

Comme à l’accoutumée le départ de la marche de l’association Rayon de Soleil démarrait à l’entrée de l’établissement « Val de Joye ».

La pluie du matin, ne présageait rien de bon, mais en début d’après-midi les timides rayons de soleil ont décidé les adeptes de la randonnée à sortir, mais en prévoyant l’imper ou le parapluie…

Pour le parcours des 5 Km sans difficultés,, ont conduit les randonneurs aux alentours du village, permettant aux jeunes parents avec des enfants de découvrir Plusieurs croix et de passer non loin de la première chapelle construite au-dessus du monticule de la croix dont il ne reste plus aucun vestige apparent de l’extérieur.

Le parcours des 10 Km se dirigeait vers les hauteurs du Val-d’Ajol, avec un contrôle à la Feuillée Nouvelle, pour ensuite continuer sa montée vers l’Hôtel Enfoncé et redescendre par le chemin des morts, pour rejoindre le centre du village.

Au retour, le stand de pâtisseries faites maison, incitait les randonneurs à prendre des calories avant de regagner leur foyer, ainsi qu’une boisson fraîche, attablés avec des amis rencontrés sur le chemin, et acquérir un objet souvenir de leur passage réalisé par les résidents de l’EHPAD Val de Joye, aidés des bénévoles de Rayon de Soleil et du service d’animation de l’établissement.

Un questionnaire était donné au départ pour tester les connaissances des participants, avec à la clé une récompense offerte par l’association Rayon de Soleil.

Les participants ont apprécié les parcours tracés par Michel avec l’aide des bénévoles pour le balisage.

Photos Pascale Tisserand

Des industries dont les traces se croisent dans la vallée de Combeauté

Rédacteur : Daniel GURY

En cette fin de semaine, la société Honoré organise une porte ouverte de l’usine pour célébrer les 150 ans de la chaudronnerie Parisse mais cette fois encore la date servant de référence prête à confusion. Enfin, c’est devenu une sorte de tradition au Val-d’Ajol, les dates sont assez volontiers galvaudées. Rares sont en effet les archives industrielles qui ont été conservées. A priori, celle des de Buyer ont été jetées à la benne lorsqu’il a fallu réaménager les bureaux, celles des Parisse restées à Larrière auraient été vendues à un opportuniste qui m’avait cependant contacté en 2017 pour me les proposer moyennant finances, enfin nous avons sauvé de la benne il y une vingtaine d’années celles des usines Quéval et Baumann de Remiremont et du Val-d’Ajol.

Ainsi sur les murs de l’usine de Buyer comme sur ses véhicules on peut lire « depuis 1830 » mais naturellement c’est faux et les patrons ne peuvent l’ignorer vu qu’ils ont eu entre leurs mains l’ouvrage que j’ai édité il y a quelques années sur l’histoire de cette usine. L’ouvrage qui ne coûte que quelques euros est toujours disponible sur un simple coup de téléphone.

 En 1987, les ouvriers de Buyer avaient fêté les 100 ans de leur usine. Les patrons, c’est-à-dire Hervé et Arnaud de Buyer étaient donc persuadés que leurs ancêtres de la Chaudeau avaient investi à Faymont dès 1887. Et c’est la pure vérité. Mais quelques années plus tard, le PDG Hervé pousse le bouchon un peu plus loin. Il aurait appris que la forge de Faymont aurait été créée en 1830. En fait, il avait demandé à son ancien comptable Aimé Flot de faire des recherches. Hélas, le défunt Aimé qui était un de mes bons amis avait commis une erreur de gamin en lisant un vieil acte notarié au papier jauni. Il avait bien lu en toutes lettres, à la fin d’une ligne, « mille huit cent trente », sauf que la date se terminait à la ligne suivante avec « huit ».

Enfin le 28/12/2002, le PDG Hervé fête ses 70 ans en présence de ses ouvriers. J’avais été invité comme représentant de l’Est Républicain. C’est encore Aimé Flot qui est au micro et un journaliste de rapporter une partie de son intervention : « c’est en 1830 que tout commence. Plusieurs artisans Ajolais se sont unis pour fonder un petit atelier d’articles de ménage sur le site de Faymont… ».

Enfin le 26 janvier 2017, je rends visite à Aimé Flot qui est alors âgé de 92 ans pour mettre au point cette histoire de date qui devient agaçante. Aimé Flot après avoir longuement étudié les actes notariés que je lui demande de relire admettra sans la moindre difficulté qu’il s’est trompé et que le vieux moulin qui avait appartenu à mes ancêtres en 1685 avait bien été vendu à un groupe de courageux investisseurs pour en faire une forge en 1838 seulement et que Parisse deviendra le principal actionnaire de cette forge de Faymont vers 1865 lorsqu’il rachètera aux héritiers Fleurot d’Hérival les actions qui sont mises en vente.

Ainsi se trouvaient résolus simultanément deux litiges sur les dates : 1838 pour de Buyer ; 1865 pour Parisse. Donc à ce jour Parisse existe au Val depuis 160 ans, c’est encore mieux que les 150 annoncés pour l’exploitation d’une chaudronnerie. D’autant plus qu’une telle activité suppose de pouvoir exécuter des soudures à moins que d’utiliser des rivets. Or, le réseau électrique est encore inexistant au Val en cette période.

Il y eut en fait au Val en cette période 1865 une petite ferblanterie avec une poignée d’ouvriers qui disposait tout de même de 10 ateliers séparés et faisait de l’étamage, la maison Germain. Elle avait aussi un atelier plus important à proximité de Melisey qui faisait du tournage. Hélas Germain qui avait commencé très jeune devait décéder subitement à moins de 35 ans et la société fut liquidée.  Il était le neveu du patron du tissage de Méreille, celui-là même où se trouve le nouveau bâtiment de la chaudronnerie Parisse construit en 1965.

Enfin les Parisse après 1887 n’avaient pas complètement coupé les ponts entre Larrière et Faymont. Des passerelles existaient encore au début du siècle dernier comme en témoigne les reliques d’un copieux catalogue commun entre les deux industries avec des centaines de références allant de la petite souricière en bois au gros chaudron en acier galvanisé.

 C’est un ancien dessinateur de l’usine Parisse qui vous l’affirme. Car je suis en effet ce dessinateur recruté par le PDG de l’époque monsieur Ferrand et par mon regretté ami décédé trop jeune, Jean-Claude Lambert, qui parfois trempait aussi le tire-ligne dans l’encre de chine pour dessiner sur le papier calque, étant un peu le polyvalent de l’équipe dirigeante, tantôt dessinateur, ou comptable, ou même VRP. En fait je m’étais proposé de dépanner car Parisse avaient sur les bras une importante commande venant de la SACM de Mulhouse, le grand spécialiste du textile qui faisait aussi travailler COMELOR. La commande sortait de l’ordinaire car Parisse se contentant le plus souvent de commandes de dépannage, c’est à dire à l’unité. Cette fois, il s’agissait de séries nécessitant d’établir des plans pièces par pièces pour chaque poste de travail.  C’était tout un ensemble de « cuisines » à teinture devant s’intégrer dans une chaîne sur plusieurs étages pour de nouvelles usines textiles en cours d’installation en Ukraine, soit des mois et des mois de travail.

 Or, un dessinateur se doit d’être d’une grande précision. Pourtant, lorsque j’ai travaillé au bureau de dessin situé sous les toits de l’ancien tissage de Méreille en 1967, la plupart des bureaux d’études ne disposaient pas encore de calculatrice. Tous les calculs, additions, soustractions ou multiplications devaient se faire à la main. Nous avions toutefois une vieille additionneuse avec des curseurs et une manivelle qui prenait beaucoup trop de temps et ne disposait pas de bande de contrôle.  Je me rappelle aussi de Jacques Wirtz qui avait 15 ans de plus que moi, arrivé vers janvier 1968, au même bureau pour prendre ma succession. Il avait fait partie de la même promotion que Patrice Nosjean qui occupait alors la fonction de directeur technique, les deux étant sortis ingénieurs de l’école supérieure de tissage d’Épinal. Jacques proposait souvent de me faciliter le travail avec sa règle à calcul, ce qui n’était pas toujours très utile, heureusement. Et en matière de précision, c’est un lamentable oubli qui lui a malheureusement coûté sa place.

J’avais, en effet, à la fin de mon contrat travaillé sur un projet de malaxeur pour crème à raser et pommades pour un laboratoire de Besançon. Après mon départ, le marché n’étant pas encore conclu, Jacques a voulu perfectionner ce malaxeur en l’équipant d’un système de fermeture plus élaboré, par autoclave, un domaine qu’il connaissait à la perfection pour avoir travaillé dans une importante chaudronnerie, sauf qu’il avait oublié qu’il y avait au cahier des charges des cotes à ne pas dépasser car l’appareil devait impérativement rentrer dans un ascenseur. Et la hauteur n’avait pas été respectée.

Adage du jour : lorsqu’il s’agit de fêter un anniversaire, une erreur de date peut toujours se rattraper, mais en construction mécanique, la moindre erreur peut être fatale.

Un rendez-vous à la campagne

Certaines associations de conscrits n’attendent pas le changement de décennie pour se retrouver, et c’est le cas pour les conscrits de la classe 1968.

Leur Président Serge HENRY, aidé de quelques membres du bureau organise chaque année une journée retrouvailles chez lui au Motiron.

Ils étaient une trentaine de conscrits et accompagnants réunis dans l’ancien grenier à foin, aménagé pour les réunions de famille ou autres occasions entre amis.

Bien que la journée soit estivale c’est autour d’une bonne choucroute que les invités se sont remémoré les bons moments passés ensemble : sur les bancs de l’école primaire, le travail à la ferme pendant les vacances, et surtout les bêtises faites dans le dos des parents.  

Ensuite les aléas de la vie font que l’on se perd de vue durant des années, et quand l’heure de la retraite sonne, le besoin de se revoir se fait sentir.

Photos souvenir devant le « Chello » de famille.

Rentrée studieuse dès la première heure

La pluie du matin est venue troubler la rentrée scolaire 2025, des élèves de l’école Ste Marie.

Pas de bavardages entre copines et copains dans la cour, les écoliers ont été accueillis par les maîtresses dans leur salle de classe respective pour cette nouvelle année.

Les vacances d’été permettent de réaliser les travaux de rénovation et d’entretien des salles de classe et d’améliorer certains espaces.

La cour sera arborée durant l’année avec quelques aménagements pédagogiques, grâce aux manifestations organisées par l’association des parents d’élèves(l’APEL), et la subvention de la commune.

L’organisation pédagogique se compose ainsi :

Directrice Muriel RICHARD.

PS/MS Aurélie Remaître et Sylvaine Buren

GS/CP Cindy Adam et Vanessa Bailly

CE1/CE2 Isabelle Simon et Rachel Frézier

CM1/CM2 Christelle Demange

AESH Audrey Desoche

Marilou André : agent polyvalent

Forum des associations

Cette année la journée « le forum des associations » a eu lieu à la salle des fêtes sur une matinée le dimanche 31 août.

On dénombre une bonne soixante d’associations sur la commune, le sport tous confondus représente le nombre d’adhérents le plus important, vient ensuite la culture, les écoles, les patriotiques, le patrimoine et diverses entités.

Les associations sportives comme le CAPS, le tir à l’arc et le judo, l’orchestre d’Harmonie Jeanne-d’Arc, initiaient les enfants aux activités de leur club.

Les adeptes du français se sont confrontés à l’as du scrabble duplicate qui est l’ordinateur à 90% le gagnant…, ou pêcher une truite avec le simulateur…pas si facile que l’on croit !!.

Liste des clubs participants : Le CAPS ; le tir à l’arc ; le Judo, l’AAPPMA (la pêche); la MJC (Maison des jeunes et de la culture) ; le Scrabble ; les Amis de la Nature ; Rando Découverte du Pays d’Hérival ; le Volley-Ball ; l’Harmonie Jeanne-d’Arc ; l’Aïkido.

Difficile de prendre une décision hâtive, parmi tous les exposants, alors que toutes les associations n’étaient pas présentes.

Mariage du mois d’Août

mariage val d'ajol

26 Août : Sarah BRAGA Chargée d’affaires professionnelles, et Kévin CREUSOT responsable énergie et sécurité.

30 Août : Camille FERNANDEZ, commerçante, et, Thomas VINCENT, Maire de la commune du Val-d’Ajol, demeurant à Faymont hameau du Val-d’Ajol.

Décès du Mois d’Août.

04 Août : M André MOUGENOT à l’âge de 78 ans, marié à Noëlle BALANDIER, 1 enfant, demeurant à Bouchâtel au Val-d’Ajol.

10 Août : M Jean-Jacques MOUTON à l’âge de 86 ans, marié à Rose MOUTON, 1 enfant, demeurant au Val-d’Ajol.

20 Août : Mme Paule COURROY à l’âge de 96 ans, demeurant au Val-d’Ajol.

21 Août : M Martial VIRY à l’âge de 93 ans, marié à Yvette MATHIOT, 2 enfants, demeurant au Val-d’Ajol.

23 Août : Mme Josiane BECQ née VUILLEMARD à l’âge de 75 ans, marié à André BECQ, demeurant à Hamanxard hameau du Val-d’Ajol.

25 Août : M Roger DEMENGEL à l’âge de 95 ans, marié à Marie-France GREMILLET, 2 enfants, demeurant au Val-d’Ajol.

31 Août : M Francis DURUPT à l’aube de ses 68 ans, 4 enfants, demeurant à Le Champ de Fougerolles (70).

31 Août : M Dominique LAROCHE à l’âge de 67 ans, marié, des enfants, demeurant au Val-d’Ajol.

Les paniers de l’été du mois d’Août

Retour des paniers de l’été, édition 2025.

L’union des commerçants et artisans du Val-d’Ajol et du Girmont-Val-d’Ajol organise depuis une vingtaine d’années, opération les paniers de l’été. Elle se déroule durant les deux mois des vacances d’été sur les deux communes, Ajolaise et Girmontoise.

Le but est de dynamiser les commerces tout été, et de récompenser par leur fidélité, les clients en leur offrant la chance d’être tiré au sort lors du tirage qui a lieu chaque dimanche chez un des commerçants participants, qui sont 22 cette année.

Les modalités :

Chaque dimanche vers midi, un panier préparé par un commerçant participant, d’une valeur de 200€ minimum est tiré au sort.

Les bulletins de participation, sont remis lors d’un achat chez les commerçants participant à l’animation « Les paniers de l’été ».

Panier d’une valeur de 200 euros.

Les heureux gagnants des paniers de l’été du mois d’Août sont :

Dimanche 3 août. Panier réalisé Au Fumoir Vosgien

Mme Georgette LAROCHE le Val-d’Ajol.

Dimanche 10 août. Panier réalisé par Intermarché

Mme Odette HERZOG, Larrière à le Val-d’Ajol.

Dimanche 17 août. Panier réalisé par Marché U.

Mme Nicole GALMICHE, le Val-d’Ajol.

Dimanche 24 août. Panier réalisé par le Bar des Vosges

Mme Virginie VANÇON Courupt à le Val-d’Ajol.

 Samedi 30 août, Panier réalisé par la Boucherie Jean-Luc HUSSON à Faymont

M Philippe BAUMONT Le Val-d’Ajol.

Dimanche 31 août tous les bulletins du mois ont été remis ensemble, et, c’est un panier d’une valeur de 500€ qui a été gagné par : Mme Odette MORVILLE, Le Val-d’Ajol.

Un grand Merci à L’UCAV (l’union des commerçants et artisans du Val-d’Ajol), et à tous les participants.

L’heure de la rentrée a sonné

Rentrée pluvieuse mais heureuse nous l’espérons pour cette année 2025.

Grosse affluence de parents et d’enfants, devant le portail de l’École du Centre située Rue de la Gare, en cette rentrée scolaire sous une météo automnale. Les vacances d’été ne seront plus qu’un souvenir, en attendant place aux livres, cahiers et crayons, changement de classe de prof, mais on garde les mêmes copains et copines dans la cour de récré et les activités diverses.

Quelques jours avant les professeurs avaient fait leur prérentrée pour préparer le programme de l’année scolaire à venir, c’était aussi la présentation de leurs nouveaux collègues suite au départ ou mutation de certains profs.

160 élèves sont répartis dans les 7 classes de l’école.

TPS / PS avec Mme Maure Lisa et Stéphanie Ougier (ATSEM)

MS / GS avec Mme Thiéry Stéphanie et Sandrine Laroche (ATSEM)

GS / CP avec Mme Thiébaux Sandrine et Séverine Bolmont (ATSEM)

CP/ CE1 avec Mme Laurent Elisa

CE2 avec Mme Mangin Adeline et Mr Salquèbre Yann

CE2 / CM1 avec Mmes Mathieu Audrey et Mathieu Bénédicte

CM2 avec Mr Colnot Christophe.

Arrivée d’une nouvelle enseignante remplaçante, Mme Barroué Virginie, et deux AESH (Accompagnant des Elèves en Situation d’Handicap) Mme Aurélie Laroche et Mr Yannick Thiéry.

Cet été, des travaux d’entretien et de réparation ont été réalisés dans les classes. Les projets de cette année seront axés autour de l’école et le cinéma, de la nature avec la poursuite du projet ATE (Aire Terrestre Educative) géré par les élèves de CM1 / CM2.

Camille et Thomas ont scellé leur union.

Construite en 1911, la Mairie de la commune du Val-d’Ajol, vient de célébrer son premier mariage de Maire et conseiller Départemental en exercice.

M le Maire thomas VINCENT et Mme Camille FERNANDEZ ont scellé leur union par le traditionnel « oui » devant M Philippe BIETTE adjoint au Maire qui a célébré la cérémonie en présence des familles et une multitude d’amis des époux.

Camille est la fille Corinne Deschamps et de Noël Fernandez, familles bien connue dans la cité, Thomas est le fils de Martine Durupt et d’Antoine Vincent domicilié à Dommartin- Les Remiremont, mais originaire du Val-d’Ajol.

L’abbé Claude DURUPT a officié la cérémonie religieuse en l’église paroissiale, pour lui c’est aussi une première, de célébrer le mariage du maire de la ville et conseiller Départemental, et peut-être aussi une première pour cet édifice religieux datant du XVI siècle.   

Une fête foraine caniculaire

Chaque année au mois d’août les manèges s’installent sur la place du Sô pendant une bonne dizaine de jours.

Petits et grands enfants ont profité de cette ambiance champêtre, un peu dépassée à l’époque des parcs d’attractions actuels.

Ces enfants devenus parents maintenant, gardent la nostalgie de la fête au village. Après le repas de famille du 15 août, » on allait à la fête », il fallait jouer des coudes pour monter sur les manèges, la chenille ou les autos tamponneuses.

Les forains occupaient tout le centre du village, les parents investissaient les loteries, les tirs et les terrasses des cafés pendant que les enfants s’amusaient.

Robert Meyer dit « Bibi » a 72 ans est issu d’une lignée de forains, lui il vient depuis 1979, et c’est à son tour de passer le flambeau à son fils Mayron pour gérer « le Tokito » nouveau manège composé de wagonnets serpentant sur des rails.

A l’initiative des forains, cette année une soirée bavaroise, choucroute jarret bière, a eu lieu au centre de la fête, animé par un orchestre Bavarois.

L’inauguration 2025 a eu lieu en présence des élus du conseil municipal, de quelques commerçants et les forains.

Le feu d’artifice offert aux Ajolais et vacanciers à la nuit tombée, a été annulé par sécurité suite aux fortes chaleurs et aux risques d’incendies.

Un fleurissement réussi

Le fleurissement est un atout pour notre village, comme l’andouille l’épinette, nos feuillées, nos points de vue, nos sentiers de randonnée, etc, et la liste serait longue à énumérer. Les touristes ne ménagent pas leurs éloges sur notre vallée.

Depuis quelques années par soucis d’économie d’eau, d’entretien et d’argent public, arbustes à fleurs et à feuilles colorées, plantes vivaces remplacent les plantes annuelles gourmandes en eau et en entretien à certains endroits de la commune.

Voici plusieurs décennies que le concours des maisons fleuries existe. Au départ il n’y avait pas d’inscription en Mairie, les quatre membres du jury se déplaçaient dans le village pour noter les habitations fleuries, à ce jour pour la grande commune du Val-d’Ajol la tournée prendrait plusieurs jours et certaines maisons seraient oubliées.

37 candidats se sont inscrits cette année à ce concours. Chaque membre note suivant son appréciation sur le visuel, l’originalité, le choix des plantes annuelles ou vivaces, l’emploi d’eau de récupération de pluie, le pailage des massifs etc…. Le potager lui aussi est visité, la propreté, et la binette appuyée contre un mur indique que le désherbage chimique est passé aux oubliettes.

Remise des prix en septembre.

Accueil des vacanciers du mois d’Août.

En ce dimanche 10 août, le marché dominical et le stand de l’accueil des touristes étaient installés sur la place de l’Hôtel de Ville, tandis que la fête foraine avait investi la place du Sô pour le 15 août, fête patronale dont même les anciens ne se rappellent plus depuis quand elle existe !!!!.

La confrérie des Taste-Andouilles et Gandoyaux du Val-d’Ajol avait invité les touristes en villégiature sur le territoire, à venir découvrir les Vosges Méridionales et ses spécialités gastronomiques.

Les Maires des communes Messieurs Thomas VINCENT et Jean-Marie MANENS maire honoraire du Girmont-Val-d’Ajol, remplaçant Patrick VINCENT excusé, ainsi que l’hôtesse de l’office ont présenté les atouts de leur territoire, après le discours de Gérard VANÇON président de la Confrérie, qui a remonté le temps sur l’origine et la naissance de L’Andouille du Val-d’Ajol et de sa confrérie.

La dégustation de charcuteries locale a été très appréciée, dont la reine des plateaux, était bien-sûr, était l’Andouille du Val-d’Ajol, ainsi que les boissons rafraîchissantes.

L’accueil des vacanciers s’est déroulé dans une ambiance conviviale entre touristes et Ajolais, au son de l’épinette du Val-d’Ajol, jouée par Simone.

Paul le jardinier

Éditeur Armand Dangeville.

23 avril 2021.

Les dernières gelées nocturnes ont rendu l’âme cette semaine et le ciel bleu s’est installé durablement apportant avec lui l’espoir de riches récoltes.

Freiné par la pandémie et un froid persistant dans son désir ardent de bêcher, semer, planter, Paul le jardinier s’est réveillé aux premières lueurs du jour après avoir très soigneusement trié la veille les graines de l’an passé.

Rempli d’enthousiasme et de projets, il s’apprête à rejoindre son Eden quand des bruits peu communs s’élèvent dans la cabane, là, au fond du jardin, où il range ses outils de jardinage. Armé de son sécateur, il s’approche, croyant au passage de Goupil ou de la fouine.

Que nenni. Il s’agit bel et bien d’une dispute à laquelle il prête l’oreille. Il pousse la porte et il est immédiatement pris à témoin.

« Maître, dit la Bêche droite dans ses bottes, admettez avec moi que la bonne récolte me revient. Je plonge dans le sol, le retourne, l’aère, remets en surface les terres fertiles et redonne de la couleur au jardin après le long hiver.

Terres fertiles !!!, lance le Terreau qui a tout entendu depuis le pourrissoir, c’est moi qui fertilise les sols depuis toujours, appuyé par un reste de Fumier de l’an passé qui repose là, dans un coin du jardin. En plus, tu m’enfouis profondément et m’empêche de respirer et de voir le soleil.

« Oui, tu es prétentieuse et méprisante, tu n’es qu’une bêcheuse, voilà !!! lance la Houe. Moi, je prends soin des habitants en grattant le sol et je ne découpe pas les vers de terre qui le nourrissent comme tu le fais !!!!. Les expériences récentes montrent bien qu’il ne faut pas retourner les terres comme tu le prétends, c’est aussi ça la permaculture. C’est l’avenir et toi, tu es le passé !!!! voilà.

« Tu as raison, glisse le Ver de Terre, Tout le monde reconnaît enfin maintenant mon rôle essentiel dans la production végétale. C’est moi qui assure le bon fonctionnement du sol. Aussi, pas de vert sans le Ver ?

« On est d’accord avec toi, le Ver. Mais qui porte le Fumier et le Terreau qui t’accueillent ? C ‘est nous, s’écrient la Pelle et la Fourche !!! Sans nous, pas d ‘engrais et pas de récolte généreuse. C’est nous qui supportons votre poids, ne l’oubliez pas.

—Ne vous fâchez pas, il y a sans doute d’autres raisons pour expliquer une bonne récolte, intervient Paul le jardinier, stupéfait par cette agitation inédite.

—Oui, vous avez raison, Maître, Qui donc vous transporte tous et vous permet de travailler ??? Répondez-moi !!!

C’est moi la Brouette, seule !!! Vous vous amusez beaucoup quand je prends les virages, hein. Sans moi, pas de déplacement donc pas de récolte, Na !!!

—Ha !!!, vous m’amusez beaucoup, soupire la Graine, parler de récolte sans jamais évoquer la semence qui génère la vie, c’est trop fort. La réalité, c’est que sans moi, pas de récolte, vous en conviendrez.

—Là, tu as raison, approuve Paul le jardinier, que serions nous tous sans la semence originelle ??? Mais pour que tu vives, il te faut un support. C’est la Terre !!!!

—AH, AH, AH !!!, lance une voix enjouée qui parvient du jardin. Je suis atterré. Enfin, on admet que c’est moi qui suis à l’origine de tout. Merci Maître, souffle de loin la Terre.

—Puis-je quand même préciser qu’une semence sur le sol ne produit rien et qu’il faut l’enfouir, avance timidement le Plantoir.

—C’est vrai aussi, cela, précise le jardinier, de plus en plus intégré à cette dispute.

—Vous êtes fiers de vous mais nous sommes fiers aussi de donner à votre jardin cette beauté que tous reconnaissent et que vous attendez et sans nous, pas de plaisir de jardiner, ajoutent la Binette et le Râteau.

—Cela ne t’empêche pas de prendre un râteau de temps en temps », glisse perfidement la Bêche sous les rires sarcastiques de l’assemblée des outils.

Paul le jardinier, avec un geste large de la main, calme tout le monde et reprend la parole.

-Avez-vous pensé une seconde à Dame la Pluie qui permet à vous, Semences, de germer, à vous, la Terre, de boire à plus soif.

Avez-vous pensé une seule seconde à celle qui gouverne la nuit, qui, le soir venu, à pleine Lune, veille sur votre jardin, éclaire votre ami le hérisson à la recherche de ses proies et conseille au matin le jardinier sur le temps des semailles ???

Et que dire de celui qui régente le monde, celui qui rayonne au-dessus de nos têtes, qui réchauffe la Terre, qui réchauffe nos cœurs quand navets et carottes, salades et haricots, betteraves rouges et persil percent le sol et lancent leur tête vers notre maître.

—Le Soleil !!!!, s’écrient tous en chœur dans un joyeux tintamarre.

—Et n’oubliez -vous pas quelqu’un qui peut avoir aussi un rôle à jouer dans nos récoltes ???. Avance notre jardinier avec un sourire complice.

Tous s’interrogent du regard pendant quelques instants lorsque le Ver se dresse fièrement et désigne Paul le jardinier sous les acclamations d’un public pressé de se remettre à l’ouvrage après de longs mois de sommeil.

— Au travail, au travail, !!!! lance le Maître des lieux en tapant dans les mains. Bêche et Pelle, Binette et Râteau se lancent dans la Brouette rejoints par le Plantoir et tous s’apprêtent à regagner le jardin qui les attend avec impatience.

— Attendez-moi », s’écrie la fourche qui dans la bousculade générale était encore allongée sur le sol, les jambes en l’air, dans la cabane de PAUL LE JARDINIER…

Un barbecue géant 

L’association du Ô d’Hariol a organisé en ce dimanche 3 août un barbecue sur le site de la chapelle. 

Le chef cuisinier, épaulé par les bénévoles de l’assos, avait préparé pour les réservistes du repas, un menu de gargantua, les assiettes étaient bien garnies, la cuisson des viandes à point, le dessert, tarte aux fruits de saison, le tout dans une ambiance champêtre.

Les heureux gagnants tirés au sort de la tombola, avec le ticket d’inscription étaient satisfaits de leur lot.

Le président a remercié les commerçants pour leur participation aux dons.

L’après-midi, enfants et parents se sont affrontés au tir à la corde, ainsi qu’aux anciens jeux sortis des greniers.

Les bénéfices de cette manifestation permettront la continuité des travaux de la rénovation de la chapelle du Hariol.

Prochain rendez-vous pour la fête d’Halloween. 

La Fête foraine s’installe au Village

Le 15 Août jour de la fête de l’Assomption, c’est aussi la fête du Val-d’Ajol.

Pour la ? année la fête foraine a investi les places du centre du village.

Dès le début de la semaine les habitudes des Ajolais se trouvent perturbées par l’arrivée des camions et l’ecombrement du centre..

L’inauguration aura lieu le samedi 09 août à 18h en présence des élus, forains et commerçants.

Cette année elle sera ouverte du 9 au 17 août.

Journée Alsacienne le 16 août, organisée par les forains, au menu : choucroute, jarret et bière, animée par un orchestre Bavarois, et pour clôturer la soirée à la nuit tombante tirage d’un feu d’artifice. Réservation au 06 07 19 53 18.

https://www.orchestre-bavarois.fr

Décès du mois de Juillet 2025

06 juillet: Monsieur Bernard VIRY à l’âge de 92 ans, résident à l’EHPAD du Val-d’Ajol, marié à Colette, décédée en 2020, 4 enfants habitant au Haut du Seux lieu-dit du Val-d’Ajol.

07 juillet : Madame Marie FRESSE née SIRVEAUX à l’âge de 87 ans, mariée à Denis FRESSE décédé en mars 2025. 3 enfants, demeurant à Outremont, lieu-dit du Val-d’Ajol.

10 juillet : Madame Annie BRICE née BONTEMPI à l’âge de 76 ans, mariée à M BRICE décédé, 2 enfants, résidente à l’EHPAD du Val-d’Ajol.

12 juillet Madame Michèle ANTOINE, à l’âge de 90 ans.

14 juillet : Madame Blanche JEANVOINE née DESSAUX, à l’âge de 87 ans.

15 juillet : Monsieur Christian FRESSE à l’âge de 54 ans, résident au Foyer Tremplin à St Amé.

22 juillet : Madame Jeannine NURDIN née LAMBERT, à l’âge de 93 ans, mariée, 2 enfants, résidente à l’EHPAD du Val-d’Ajol.

29 juillet : Monsieur Olivier BALANDIER à l’âge de 89 ans, marié à Cécile LEUVREY, 3 enfants, résident à L’EHPAD du Val-d’Ajol.

37ème exposition des Artistes de la Combeauté

L’exposition était installée à la maison des associations ‘les Épinettes » à côté de la Mairie.

La présidente de l’association Mme Claudine Girard, a remercié les personnes présentes à l’inauguration, Thomas VINCENT, excusé, Maire du Val-d’Ajol, était représenté par Philippe BIETTE adjoint aux associations, ainsi que les exposants, et le personnel des services techniques.

Durant une semaine les touristes et Ajolais ont visité l’exposition où les artistes présentaient leurs œuvres. Certains exposent depuis plusieurs années, mais présentent de nouvelles réalisations au gré de leur inspiration.

Au fil des ans, de nouveaux artistes viennent exposer dans la cité Ajolaise.

Les créations d’Alain Valentin ont intéressé de nombreuses personnes qui se sont rendues à l’exposition.

Il crée des sujets, avec des composants électroniques récupérés dans des téléphones portables, ordinateurs ou autre matériel ayant ces composants.

Toutes les sculptures, papillons, libellules et autres insectes imaginés sont entièrement réalisées avec des composants électroniques. Les ailes sont découpées dans des feuilles plastique issues d’écrans d’ordinateurs et peintes à l’encre colorée. Le corps est découpé dans des circuits imprimés de téléphone portable ou de carte électronique. Les cadres sont en bois pyrogravés et peints à la peinture acrylique, les caissons sont en carton décorés par du papier imprimé.

L’association Rayon de Soleil installée dans le hall, exposait le travail réalisé par les résidents de l’EHPAD tout au long de l’année.

Un tirage au sort des billets d’entrée vendus tout au long de la semaine, a permis, à quelques personnes, de choisir une des œuvres exposées dans la salle.

Une Journée Bleue pour Sensibiliser à l’Autisme.

Le dimanche 27 juillet, la commune du Val-d’Ajol s’est parée de bleu pour accueillir une grande chasse aux cailloux pas comme les autres. Organisée dans le cadre de l’événement « Tous en bleu », cette journée festive et solidaire avait pour objectif de sensibiliser à l’autisme tout en offrant un moment de partage et de joie à tous les participants.

Dès le matin, le soleil a brillamment accompagné les centaines de chasseurs de cailloux, venus en famille ou entre amis arpenter les rues du village à la recherche de petits trésors colorés. Certains cailloux étaient porteurs de messages bienveillants, d’autres encore permettaient de remporter des lots : friandises, boissons, panier garni et plus d’une centaine de surprises offertes grâce à la générosité des partenaires.

Même un orage, survenu en début d’après-midi, n’a pas réussi à ternir l’ambiance. Bien au contraire, l’enthousiasme des participants et la chaleur humaine ont dominé jusqu’au bout de la journée.

L’événement, imaginé et porté par Patricia Lambert pour la quatrième année consécutive, marque aussi la deuxième édition placée sous le signe de la sensibilisation à l’autisme. Grâce à son engagement sans faille, cette journée a su allier fête, solidarité et transmission de valeurs essentielles.

Une équipe de bénévoles dévoués, composée de membres de sa famille et d’amis proches, a œuvré sans relâche avant, pendant et après l’événement. Leur présence a été déterminante dans la bonne tenue de la journée.

Les membres des groupes Love on the Rocks Lorraine & Alsace ont également largement contribué au succès de l’événement, en apportant des centaines de cailloux peints avec soin, qui ont émerveillé petits et grands.

Un soutien précieux a aussi été apporté par l’association Asperger Vosges, représentée par Edwige et Marina, fidèles au rendez-vous et investies pleinement dans la démarche de sensibilisation.

Les organisateurs tiennent à remercier chaleureusement la Commune de Le Val-d’Ajol pour le prêt du matériel et l’appui logistique, ainsi que les élus venus saluer l’initiative sur place.

Un immense merci également aux partenaires, sans qui cette journée n’aurait pas été la même. Grâce à leur générosité, plus d’une centaine de lots ont pu être distribués aux participants : gourmandises, boissons, panier garni et autres surprises ont fait le bonheur des petits comme des grands. Leur implication a largement contribué à faire de cet événement un moment aussi joyeux qu’inoubliable.

Une mention spéciale est adressée à Piranhate, auteur du « Guide illustré ULTIME de l’autisme », pour avoir autorisé la diffusion d’extraits de son œuvre lors de l’événement.

Les retours du public ont été unanimes : aucun commentaire négatif n’est venu ternir cette journée placée sous le signe de la bienveillance, de la générosité et de l’émotion. Une reconnaissance qui donne tout son sens à l’engagement de Patricia Lambert et de toute son équipe.

Les longs nez font leur show sur deux jours

Le samedi matin les anciens camions au long nez avaient rendez-vous à Plombières avec le rassemblement de Combis Volkswagen, pour retrouver la nostalgie du temps passé des années 1970, et rallier le centre du Val-d’Ajol en passant par Faymont, où La Confrérie des Taste Andouilles leur offrait une dégustation de la célèbre Andouille du Val-d’Ajol, et revenir dans l’allée forestière à l’Hôtel Enfoncé, pour deux jours d’exposition.

 Pour le repas du soir, c‘est sur un air de guinguette, que les convives appréciaient le « steak 2 œufs sur le plat », des routiers sympas.

Ce rendez-vous a attiré un public de connaisseurs d’anciens camions, autocars, de vieux moteurs fumant, et toussant, dans l’allée forestière du bois du Chanot située à l’Hôtel Enfoncé.

Le dimanche les camions sont restés à l’ombre des sapins, les visiteurs ont déambulé dans l’allée forestière toute la journée, les averses de la mi-journée ont juste laissé quelques gouttes de pluie au bout de ces longs nez pétaradants.

C’est à l’abri, sous les chapiteaux que l’on pouvait déguster à toute heure de la journée, le menu du routier « sympa » « steak 2 œufs sur le plat »…

Crédit photos des « Pin-Up » Copiées sur facebook, auteur inconnnu.

Les paniers de l’été du mois de juillet

Retour des paniers de l’été, édition 2025

L’union des commerçants et artisans du Val-d’Ajol et du Girmont-Val-d’Ajol organise depuis une vingtaine d’années, opération les paniers de l’été. Elle se déroule durant les deux mois des vacances d’été sur les deux communes, Ajolaise et Girmontoise.

Le but est de dynamiser les commerces tout été, et de récompenser par leur fidélité, les clients en leur offrant la chance d’être tiré au sort lors du tirage qui a lieu chaque dimanche chez un des commerçants participants, qui sont 25 cette année.

Les modalités :

Chaque dimanche vers midi, un panier préparé par un commerçant participant, d’une valeur de 200€ minimum est tiré au sort.

Les bulletins de participation, sont remis lors d’un achat chez les commerçants participant à l’animation « Les paniers de l’été ».

Panier d’une valeur de 200 euros.

Les heureux gagnants des paniers de l’été du mois de juillet sont :

Samedi 5 juillet. Panier réalisé par La Grange des Breules

Mme Danièle CREVOISIER le Val-d’Ajol.

Dimanche 13 juillet. Panier réalisé par La Boucherie DAVAL

Mme Laurence THIERY, le Val-d’Ajol.

Samedi 19 juillet. Panier réalisé par le Magasin De Buyer.

M Florent GURY, le Val-d’Ajol.

Dimanche 27 juillet. Panier réalisé par Surprise Pâtisserie.

M Georges DUVAL le Val-d’Ajol.

 Dimanche 27 juillet, tous les bulletins du mois ont été remis ensemble, et, c’est un panier d’une valeur de 500€ qui a été gagné par :

M Francis GORNIK de Fougerolles.

Clôture du « Café Tricot » pour l’année 2024/2025

La section Café Tricot fait partie des nombreuses activités proposées par la MJC, dont M Vincent Étienne est le Président

Les adhérentes du Café Tricot, ont rangé laine, aiguilles, gâteaux, tasses et café, pour se retrouver au chalet des amis de la nature, pour un pique-niquer tiré du sac, et quelques jours plus tard, un voyage prévu aux Hospices de Beaune, organisé par la responsable du groupe Janine FRESSE, et les Voyages VANÇON.

Le matin, visite des Hospices de Beaune, commentaires très appréciés de tous, suivi de la pause déjeuner, l’excellent repas a permis de reprendre des forces pour comprendre la fabrication de la moutarde : de la graine à la moutarde, suivi de la dégustation… hélas sans la tranche de steak, n’était pas facile à digérer…

Retour relax dans la cité Ajolaise en promettant de se retrouver en septembre au « Café Tricot » (un gâteau à la moutarde pour la reprise pourrait être servi avec le café)..

Un brin d’histoire. Source site internet des Hospices de Beaune.

Une institution hospitalière originale depuis 1443

L’histoire des Hospices Civils de Beaune a commencé en 1443 par la volonté de Nicolas Rolin et Guigone de Salins de construire un hôpital : l’Hôtel-Dieu. Les fondateurs ont fait œuvre de charité et acte de mécénat, instituant ainsi une tradition qui a permis aux Hospices de Beaune de traverser l’histoire dans des conditions exceptionnelles.

Aujourd’hui, les Hospices Civils de Beaune regroupent le centre hospitalier de Beaune, les hôpitaux d’Arnay-le-Duc, Seurre et Nuits-St-Georges ainsi qu’un institut de formation formant aux métiers d’infirmiers et aides-soignants (subventionné par le Conseil Régional de Bourgogne). Le centre hospitalier Philippe Le Bon est l’établissement support du Groupement Hospitalier de Territoire du Sud Côte-d’Or.

L’originalité de cette institution hospitalière se situe dans l’importance et la nature de son patrimoine constitué d’une part d’un monument historique, l’Hôtel-Dieu de Beaune, qui n’accueille plus de patients ni de résidents âgés depuis le début des années 1980, et d’autre part de deux prestigieux domaines viticoles – le domaine viticole des Hospices de Beaune et celui des Hospices de Nuits, gérés indépendamment, exploitant les meilleures appellations de Bourgogne et dont la production est vendue chaque année aux enchères. Ainsi par son patrimoine exceptionnel, cette institution hospitalière joue également un rôle de premier plan dans les activités majeures du territoire : le tourisme et le vin.

La déconstruction de la piscine en cours

Entrée dans le giron de la CCVM (communauté de communes des Vosges Méridionales) en 1996, la piscine du Val-d’Ajol a été construite en 1976.

Suite à des infiltrations d’eau sur le toit, un dôme en polycarbonate fût ajouté en 1993.

Lors d’un orage de grêle voici quelques années le dôme avait été endommagé. La charpente a souffert de la chaleur et de l’humidité, une réhabilitation devenait éminente.

Les travaux de déconstruction viennent de commencer, ils sont prévus pour une durée de 18 mois.

L’écho des Feuillées suivra l’évolution des travaux,

Une journée sur le site de l’Hôtel Enfoncé

Dès six heures du matin grand Branle-bas dans la grande tranchée les exposants venus d’ici et d’ailleurs ont investi cette grande allée forestière

 Les membres de l’association des parents d’élèves des écoles publiques, organisateurs de cette animation ont géré d’une main de maître le programme du jour.

Au total 350 randonneurs ont foulé les sentiers balisés de la campagne environnante, découvrant des points de vue sur la vallée de la Combeauté, d’anciennes fermes, des « chellos », et croix de chemins rappelant certains événements du passé.

Les chineurs de la bonne affaire ont trouvé l’objet rare recherché parmi les exposants présents sur 1000 mètres de déballage

Après s’être ouvert l’appétit, en marchant ou en chinant les objets sortis des greniers, ou de derrière les fagots, les visiteurs pouvaient se restaurer d’un repas campagnard, ainsi que des sandwichs ou autres victuailles et rafraichissements tout au long de la journée.

l’équipe de cuisiniers des beignets, ont régalé les amateurs de beignets de cerises (de chez nous), le stock cette année étant suffisant, pour satisfaire les gourmets jusqu’en fin de journée.

Moment de détente sur des airs de guinguette, pour les amateurs de musique des années soixante, et des danseurs de tout âge.

Rendez-vous pour la prochaine année.

La nostalgie des voitures des années 60

L’association la Valajolaise était présente sur le marché dominical Ajolais.

Une trentaine de voitures étaient exposées sur la place du Sô, pour le plus grand plaisir des amateurs de ses modèles d’une autre génération.

Plusieurs fois dans l’année, l’association se fait un plaisir de venir exposer leurs voitures, lors de certaines manifestations.