Qui se souvient du curieux fonctionnement des élections municipales jusqu’en 1965 ?

Vous souvenez-vous de cette curieuse loi électorale ? Jusqu’aux élections de mars 1965, la commune, comme d’autres communes dans les Vosges, était « sectionnée ».

Au Val d’Ajol, il y avait cinq sections et chacune d’entre elles ne pouvait élire que ses propres conseillers municipaux ; ainsi pour la 2ème section, sur le bulletin de vote, il n’y avait que trois noms. Nous n’avions pas accès à la liste principale de la 1ère section sur laquelle se trouvait le nom du futur Maire !!!

Voici le résultat des élections de 1965 :

1ère section : Bureau de vote 1 et 2 à l’Hôtel de Ville

Inscrits 1988, 12 sièges à pourvoir. 12 élus au 1er tour : Messieurs Amaury De BUYER, René HERZOG, Louis VOIRIN, Paul BOLMONT, Eugène ANDRÉ, Michel CHEVRIER, André FRENOT, Louis DAVAL, Laurent SIMONIN, Antoine GALLI, René TISSERANT et Bruno BEZOZZI.

Situation géographique : Laître, la Côte (partie), la Chaume (partie), la Chapelle (partie), Courupt (partie), les Champs (partie).

2ème section : Bureau de vote à l’école de Garçons du Centre

Inscrits 519, 3 sièges à pourvoir, 3 élus au 1er tour : Messieurs Bernard PIERRE, Paul DURUPT et Albert GALMICHE.

Situation géographique : La Chaume (partie), les Champs (partie), Hamanxard, Outremont.

3ème section : Bureau de vote à l’École de Courupt

Inscrits 549, 3 siéges à pourvoir, 3 élus au 1er tour : Messieurs Léon DURUPT, Édmond DUVAL et Paul Lambert.

Situation géographique : Courupt (partie), la Chapelle (partie), Bas-d’Hérival, Hérival, le Hariol (partie).

4ème section : Bureau de vote, Foyer rural de l’Hôtel Enfoncé

Inscrits 379, 2 sièges à pourvoir, 2 élus au 1er tour : Messieurs Gérard MOUGENOT et Bernard LEPAUL.

Situation géographique : la Croisette, La Montagne (partie), la Côte (partie), le Hariol (partie).

5ème section : Bureau de vote à l’école du Hariol

Inscrits 405, 3 sièges à pourvoir. 1 élu au 1er tour : M. Georges CHASSARD, 2 sièges en ballotage, 2 élus au 2ème tour : Messieurs Marcel DAVAL et Eugène BALLAND.

Situation géographique : Le Hariol (partie), la Montagne (partie), la Croisette, la Côte (partie).

Les habitants des « écarts » n’avaient donc pas la possibilité de voter pour la liste du futur Maire, mais il y avait un avantage incontestable : nous pouvions nous adresser à notre conseiller qui était de ce faite un voisin… Nul besoin d’aller à la Mairie pour revendiquer pour des broutilles.

De plus ! Curieuse époque où il n’y avait pas une seule femme au Conseil Municipal.

Auteur de l’article : Jean-Marie Des CARRIÈRES

Concert et Cinéma Drive

25 voitures étaient présentes sur la place du Sô pour assister à la séance de Cinéma Drive organisée par la Mairie.

La soirée, débutée par le concert de rock des années 60/70 du groupe BBH de Nancy, s’est donc poursuivie vers 22 h par la projection du film « Yesterday » de Danny Boyle, sur grand écran gonflable installé du côté du jardin de la cure.

Beaucoup de personnes étaient venues sans leur véhicule pour profiter d’une soirée d’été plus propice à un cinéma en plein air qu’assis sur le siège d’une voiture.

Concert

Randonnée sur la trace des grandes processions

Un groupe de randonneurs guidé par Paulette a suivi les pas des pèlerins du XIII siècle, lors des grandes processions.

Un brin d’histoire extrait des cahiers de l’abbé Humbert :

Dans les calamités publiques comme sécheresse, pluies continues, on avait coutume au XIII siècle de faire trois grandes processions.

Le premier jour : après la célébration d’une grand-messe dans l’église paroissiale, de grand matin, on allait aux Granges de Laître, à Larrière, à la Battelieule, derrière le Chanot, puis on descendait par la grande route à l’église de Plombières les Bains où l’on entendait une seconde messe et on laissait les bannières.

Le 2ème jour : on se rassemblait de nouveau dans l’église de Plombières, d’où en suivant la grande route, on parcourait le Hariol, Olichamp, le Haut du Seux, pour aboutir à l’église d’Hérival où l’on entendait une seconde messe et on laissait encore les bannières.

Le 3ème jour : après l’audition de la messe à Hérival, et la reprise des bannières, on montait au Girmont, à Méreille, à Hamanxard, Outremont, Moyemont, Leyval, les Champs, pour aboutir à Laître où l’on entendait encore une messe.

Pendant ces processions, les filles chantaient des cantiques, les hommes, les litanies des Saints et de la Sainte Vierge entremêlées de psaumes, et les femmes récitaient leurs rosaires à deux cœurs.

Et demain nos forêts malades ?

Ce matin aux aurores, le lent travail de coupe des arbres dans la forêt communale sur le secteur de La Chaume a repris. Il s’agit d’abattre les arbres morts du fait des vagues de chaleur croissante et des sécheresses de ces dernières années auxquelles ils n’ont pas résisté.

Sur ces parcelles qui ont déjà fait l’objet de coupes l’été dernier, il ne restera bientôt plus guère de spécimens debout. A la place, comme c’est déjà le cas sur une partie de cette forêt, ne subsistera qu’un amas de troncs plus ou moins gros, de branches, de souches, le tout enchevêtré dans un désordre indescriptible. Force est de constater avec tristesse que la forêt dans laquelle nous avions tant de plaisir à nous balader n’est plus qu’un champ de ruines des plus déprimants.

Lorsqu’autrefois l’on prenait grand soin des forêts, que chaque coupe était effectuée proprement, chaque débris emporté ou détruit – comme le relate l’écrivain vosgien, Pierre Pelot, au travers de quelques uns de ses romans* -, nous avons fait le choix aujourd’hui de couper les arbres morts et d’évacuer uniquement leurs grumes, en laissant derrière nous un territoire exsangue.

Qu’a prévu l’homme pour que cette forêt redevienne aussi belle qu’elle l’était il y a encore quelques années ? Va-t-il la laisser à l’abandon et attendre que la nature décide par elle-même ou va-t-il lui apporter son aide en prenant la décision dans un premier temps d’évacuer la majeure partie des éléments morts, puis de planter de nouvelles espèces capables de résister au changement climatique dont il est responsable ?

J’espère que notre commune aura les moyens de reconstruire ce petit bout de territoire ajolais, traversé de routes et de circuits de randonnées empruntés par les habitants et les touristes.

Catherine Camus

* En particulier : « C’est ainsi que les hommes vivent »

Qui se souvient ??

… de La Combalotte.

Lorsque j’allais à l’école primaire d’Hamanxard en cours de géographie, notre instituteur Mr RULAND nous apprenait le nom de notre belle rivière qui coule dans notre belle vallée : « La Combalotte » qui va se jeter dans la Combeauté. Où avait-il trouvé ce nom ?

J’ai fait des recherches sur d’anciennes carte à l’I.G.N de Paris St Mandé. Sur une carte d’état-major de 1905, on peut voir écrit « Ruisseau de Méreille », il en est de même sur la carte de 1890 de Mr RICHARD. Cette carte est visible dans le bureau de Mr le curé à la cure du Val-d’Ajol.

Alors je vous pose la question : d’où vient ce nom « La Combalotte » ???

Auteur de l’article : Jean-Marie des CARRIÈRES

Il n’y a rien qui ne Val…d’Ajol !

Laurent Bayart avait donné rendez-vous aux Ajolais et vacanciers « Chez Narcisse » samedi matin pour la dédicace de son nouveau livre « Il n’y a rien qui ne Val…d’Ajol ! », accompagné de Florent GURY dont la photo de la place du Sô orne la couverture du livre, et de Simone et Léa venues jouées de l’épinette du Val-d’Ajol pour animer la séance.

Devenu amoureux fou du Val-d’Ajol – tout comme de son épouse née sur le territoire ajolais – Laurent avoue ses deux passions, la gastronomie locale et la musique sous toutes les formes.

Il a publié une soixantaine d’ouvrages dont un certain nombre sur le Val-d’Ajol. En 2017, il a gagné le prix littéraire de l’andouille, qualifié de Goncourt de la charcuterie, une véritable consécration pour lui.

L’humour est le fil rouge de tous ses livres, le titre à lui seul résume toute la passion qu’il a pour ce village des Vosges Méridionales, le seul endroit ou l’on peut passer en quelques heures de l’épinette des Vosges aux sonorités punck-rock de chez Narcisse.

Après le report imposé par la pandémie, il a pu présenter son œuvre à des lecteurs venus à sa rencontre.

Décès de Madame Nelly RICHARD

avis de décès

Bruno et José, ses enfants,

Muriel, sa belle-fille,

Mathilde, sa petite-fille,

Denise, Freddy, Thérèse, son frère et ses sœurs,

Ses neveux et nièces,

Toute la parenté et les amis vous font part du décès de :

            Madame Nelly RICHARD, née Moser

survenu à Gérardmer le 25 juillet 2020, à l’âge de 81 ans.

Ses obsèques ont été célébrés le mardi 26 juillet à 10h30 en l’église de Plombières-les-Bains.

La famille rappelle à votre souvenir son mari André, décédé en 1990.

Nos sincères condoléances.

Décès de Madame Jeanne ROMARY

avis de décès

Le Val-d’Ajol – Plombières-les-Bains – Laxou – Remiremont

Éliane, Pascal et Sylvie, ses enfants et leurs conjoints,

Thibaut, Quentin, Tom, Alfred et Juliette, ses petits-enfants,

Léo, Élisa, Louise, ses arrières petits-enfants,

Bernard et Thérèse, son frère et sa sœur,

Ses beaux-frères et belles sœurs,

Ses neveux et nièces,

Les familles Romary, Arnould,

Toute la parenté et les amis ont la tristesse de vous faire part du décès de :

                           Madame Jeanne ROMARY, née Arnould

survenu le 23 juillet 2020, à l’âge de 84 ans. La cérémonie religieuse a été célébrée le lundi 27 juillet à 10 h en l’église du Val-d’Ajol.

La famille rappelle à votre souvenir son mari François décédé en 2013.

C’est au granges de Plombières qu’est née Jeanne le 27 avril 1936. De son union à François ROMARY en 1959, naquirent trois enfants. La famille s’est agrandie de cinq petits-enfants et trois arrière-petits-enfants.

Jeanne a exercé la profession d’employée de maison et a œuvré pendant plusieurs années comme bénévole au sein des ADMR.

Domiciliée Route des Breules, le jardinage et la couture étaient ses passe-temps favoris. Elle aimait recevoir sa famille et ses amis qui l’ont soutenue dans les moments difficiles.

Nos sincères condoléances.

Décès de Madame Suzanne DAVAL

avis de décès

Girmont-Val-d’Ajol – Saint Bresson

Vincent, Jean-Louis, Chantal, Bruno (DCD), Marie-Jeanne, Dorothée, Rachel, Raphaèle, Bénédicte, ses enfants et leurs conjoints ;

Ses vingt-neuf petits-enfants ;

Ses vingt-cinq arrière- petits-enfants ;

Ses sœurs, neveux et nièces ont la tristesse de vous faire part du décès de : Madame Suzanne DAVAL née Étienne, survenu le 22 juillet à l’aube de ses 90 ans.

Nécrologie de Simone du « Petit journal du Girmont »

C’est avec peine que nous venons d’apprendre le décès, dans sa maison des Haies Vallées, de Suzanne Daval à l’âge de 89 ans.

Née le 9 septembre 1930 à St Bresson, Suzanne Etienne épousera Jean Daval du Girmont le 20 Octobre 1954, et le couple s’installera à la ferme des Haies Vallées. Jean décédera le 8 mai 2015.

Suzanne secondera son mari dans l’exploitation de la ferme, tout en élevant les 10 enfants venus agrandir le cercle familial (Vincent, Jean Louis, Chantal, Bruno (décédé 1998), Marie-Jeanne, Stéphane (décédé 1964), Dorothée, Rachel, Raphaëlle et Bénédicte). Aujourd’hui Suzanne comptait 29 petits-enfants et 25 arrières petits-enfants.

Les accidents de la vie, les chagrins n’ont pas épargné Suzanne. Mais en agriculture, c’est ainsi, il faut savoir rebondir, d’où, avec son esprit très visionnaire, la création du premier gîte des Vosges en 1962, la plantation de bluets et de tabac, et en 1976, l’ouverture de l’auberge Saint Vallier.

La foi était un véritable moteur pour Suzanne, qui, d’une nature très agréable, avenante, ouvrait sa porte à tous ceux qui venaient frapper chez elle, elle hébergeait même.

Suzanne avait fêté ses noces de diamant en 2014.

Si, jusqu’en 2018, Suzanne a toujours été active, elle a perdu peu à peu de sa dépendance. Mais bien entourée par les siens et le milieu soignant, elle est restée un maximum à la maison, elle est même décédée là où elle a passé sa vie, aux Haies Vallées.

Ses obsèques ont été célébrées le samedi 25 juillet, à 10 h, en l’église du Girmont Val d’Ajol.

A toute sa grande famille, nous adressons nos sincères condoléances.

Naissance

Garance de Mathieu SIEGEL, technicien forestier, et d’Hélène DUTRIEUX, technicienne forestière, 4 route de Moyenmont au Val-d’Ajol.

Félicitations aux parents et bienvenue à Garance.

Accueil des vacanciers

Cette année, la Confrérie des Taste-Andouilles et Gandoyaux du Val-d’Ajol, l’association des Amis des Monuments Anciens et le Comité de foire et d’animations avaient donné rendez-vous aux vacanciers en villégiature dans la vallée de la Combeauté, sur la place du Sô le dimanche 19 juillet.

Ce fut le premier bain de foule de Mme le Maire, Anne Girardin, parmi les badauds, les vacanciers et les propriétaires des belles cylindrées des années passées, exposées à l’initiative de l’association Valajolaise, sur le marché dominical.

Gérard Vançon, Président de la Confrérie, a présenté les multiples atouts de notre village des Vosges méridionales blotti au fond de la vallée de la Combeauté, en limite des Vosges Saônoises, rejoint en cela par Mme le Maire, l’office du tourisme de la CCPVM, l’AMAV et la Présidente du Comité de foires et d’animations.

Les points forts de notre commune :

  • Ses animations d’été pour les vacanciers et les Ajolais
  • Sa situation géographique au pied des Vosges, dans un écrin naturel préservé
  • Ses nombreux hébergements pour vacanciers : hôtels, gîtes, chambres d’hôte, camping
  • Ses offres de restauration : cafés, bars, restaurants, pizzerias, plats à emporter
  • Ses commerces : boulangers, bouchers (fabricants de la célèbre Andouille du Val-d’Ajol dont la foire se tient le troisième lundi de février), supérettes, produits du terroir, chocolatier, boutique de vêtements, etc..
  • Ses nombreuses activités de loisir : sentiers de randonnée, circuits VTT, piscine, parcs de jeux pour enfants, tennis, boulodromes, pêche en étangs ou en rivières, etc…

Pour plus d’informations : se renseigner à l’office du Tourisme

Simone et Léa ont interprété plusieurs airs d’épinette, dont la célèbre valse de Dorothée, jouée et chantée par Laure Gravier et sa fille Zouzou au siècle dernier à l’Hôtel Enfoncé sur une hauteur du Val-d’Ajol.

La Confrérie des Taste-Andouilles et Gandoyaux du Val-d’Ajol a clos cette réception en invitant les vacanciers à son traditionnel pot d’accueil.

Lien vidéo

Simone et Léa ont joué un air d’épinette du Val-d’Ajol

Camp de scouts au « Thaloux »

André et Isabelle AIZIER accueillent depuis trois générations des campements de scouts au lieu-dit « le Thaloux » sur les hauteurs de la Commune du Val-d’Ajol, qui offre une vue imprenable sur la vallée de la Combeauté.

La première troupe est arrivée le 4 juillet, d’autres vont se succéder pendant ces deux mois de vacances.

Raphaël GRANGEOT, chef du premier groupe, raconte : « Avec mon frère Gabriel, nous sommes venus à l’âge de 10 ans comme louveteaux pour un camp d’été sur le site. J’ai retrouvé l’adresse par le biais d’internet. Nous sommes très contents d’être là, l’accueil est chaleureux et convivial ».

L’eau et l’électricité, ainsi qu’un repli dans la grange des propriétaires en cas de mauvais temps, sont mis à disposition des campeurs.

Autrefois, la commune a accueilli plusieurs colonies de vacances dont voici la liste non exhaustive.

Au centre, rue de la gare : Lors de l’inauguration du concours agricole au Val-d’Ajol en 1939, le sénateur Barbier, également maire de Darney, dira « A Paris, on parle beaucoup du Val-d’Ajol comme du paradis terrestre » et il ajoute que l’abbé Palerm y a installé une colonie de vacances, « La Providence », pour ses jeunes parisiens. L’abbé Jean-Louis Palerm, vicaire de St Thomas d’Aquin à Paris, avait racheté en 1936 la maison de Victor Collin, ancien notaire et maire.

Après la guerre de 39/45:

Les enfants de Saint Brieuc installés à l’école de Hamanxard ; Les enfants de Frégus à l’école de filles rue de la gare ; Les enfants de l’Essonne ou colonie UFOVAL au Bas d’Hérival aux 36 fenêtres ; Les petits parisiens ou enfants de Paris, ou encore colonie Pablo Picasso au Bol d’Air route des Breules ; Les enfants de Longlaville (54) installés au Girmont ; Les enfants de Reims, centre éducatif installé au Moineau ; Les enfants des usines Lévy (comité d’entreprise des chaussures André) sur le versant Plombières / Ban d’Ajol près du pars Tivoli.

À Larrière (vu sur d’anciens journaux) : Colonie de vacances St Paul de Pavillon-sous-bois, installée dans une ferme qui accueillait 42 petits Parisiens.

La Croisette : Dans une ancienne ferme proche du Chanot, camp de scouts durant quelques années vers 1962.

Les Œuvres : Sous la ferme du Gros Vial, un camp de scouts, depuis l’avant-guerre jusqu’à 1962 environ.

Le Breuil : Camp de scouts garçons et filles jusqu’à la fin des années 90.

En 1939, colonie de vacances à Bussang avec les Cœurs Vaillants et l’abbé Bernard.

Les enfants des écoles laïques allaient en colonie de vacances (UFOVAL) à la mer ou à la montagne.

Félicitations à la famille Aizier de perpétuer cette tradition.

Naissance

Maël, fils d‘Aurélien VINEL, plongeur, et de Béatrice RAPENNE, mère au foyer, demeurant 5 rue du Maquis du Peutet au Val-d’Ajol.

Félicitations aux parents et bienvenue à Maël.

Naissance

Clémence, fille de Xavier FALENTIN, boucher-charcutier, et Anne-Elisabeth BLAISE, mère au foyer, demeurant 19 chemin des Epinettes au Val-d’Ajol.

Félicitations aux parents et bienvenue à la petite Clémence.

Des blaireaux laboureurs

Une horde de blaireaux est venue se délecter de vers blancs cachés sous les gazons de maisons particulières, situées Rue du Pré de la Treille. Des chasseurs ont été mandatés, ils sont venus rassurés les propriétaires des lieux, inquiets des dégâts occasionnés.

« Nous pensions que c‘était des sangliers ou des blaireaux, ces animaux s’enhardissent, ils deviennent de moins en moins sauvages », commente une sinistrée.

Voici quelques jours des sangliers se sont invités dans des champs de pommes de terre et des potagers à la Banvoie, la nuit bien-sûr, comme tout bons chapardeurs, « pas vu pas pris », et ces derniers temps, en fin de soirée, des exploitants agricoles de la Croisette, ont fait une vidéo d’une smala d’une cinquantaine de ces animaux dans un pré au Lambétête.

Nous sommes entrés dans une ère où les hommes et les animaux sauvages devront cohabiter…

Cérémonie du 14 juillet

Fête écourtée cette année : pas de revue du corps et du matériel des sapeurs-pompiers, juste une partie de l’effectif et les récipiendaires, l’Harmonie Jeanne-d’Arc, quelques membres du Conseil Municipal et un public disséminé sur le lieu.

Le lieutenant Damien Mougenot, commandant la caserne du Val-d’Ajol, a présenté les honorés à Mme le Maire Anne Girardin.

Ont été récompensés :

Alexandre Chenal, Élodie Vallé et Lucie Petitjean nommés 1er classe. Ces deux dernières ont également reçu la fourragère tricolore, qui marque leur première année de présence dans ce corps prestigieux et la fin de leur formation initiale.

Félicitations à tous les Pompiers de la caserne du Val-d’Ajol.

Mme Huguette SALADINI fête ses 103 ans

C’est pendant la Grande Guerre, chez Mme et M. Percy négociant en vin, que la petite Huguette a vu le jour le 17 juillet 1917 à St Sauveur dans le département de la Haute-Saône, à côté de Luxeuil-les-Bains.

Les années ont passé avec son lot de bonheur, de joie et de peines.

Elle vient de fêter ses 103 ans, entouré de sa famille et du personnel de l’EHPAD, « Val de Joye » du Val-d’Ajol, où elle réside depuis quelques années.

Elle a épousé en 1940 un Corse, M. Alexandre Saladini, militaire de carrière, qu’elle a suivi dans ses différentes affectations (Allemagne et autres pays). Mère au foyer, elle a élevé ses quatre enfants, Joëlle, Alain, Jean-Luc et Régine. Elle est grand-mère de 9 petits-enfants et de 14 arrière-petits-enfants.

Nous lui souhaitons un Bon Anniversaire et encore de nombreux jours heureux, entourée de sa famille, de tous les résidents et de l’ensemble du personnel de la Résidence Val de Joye.

Jean HINGRAY, nouveau Président de la Communauté de Communes de la Porte des Vosges méridionales

Article de Vosges Matin par Estelle LEMERLE-COHEN

À l’issue de deux tours, c’est Jean Hingray, Maire de Remiremont, qui a été élu président de la communauté de communes de la Porte des Vosges méridionales. Trois candidats au départ, dont Michel Demange, Président sortant, qui a laissé une chance à Anne Girardin, malheureuse.

Des petits bâtons sur un coin de feuille, les élus communautaires l’ont fait ou n’ont pas osé ce mercredi soir lors de l’élection du Président de la communauté de communes de la Porte des Vosges méridionales. C’est le nom de Jean Hingray, Maire de Remiremont, qui est sorti de l’urne à l’issue de deux tours. C’est que le match s’annonçait serré entre les trois candidats au poste : le Président sortant et Maire de Saint-Étienne-lès-Remiremont, Michel Demange, Anne Girardin, Maire du Val-d’Ajol , et Jean Hingray, leur homologue de Remiremont. « J’entame ce mandat avec beaucoup d’humilité », réagit Jean Hingray.

Sale soirée pour Anne Girardin

Il a bien failli passer au premier tour, frôlant la majorité avec 16 voix sur les trente-deux bulletins. Une petite voix manquante qui a conduit à un second tour où Michel Demange, avec seulement 7 voix au compteur, a préféré se retirer au bénéfice d’Anne Girardin, créditée de neuf voix. « Que les voix qui se sont portées sur ma candidature se portent sur Anne Girardin », demande celui qui lâche les commandes après trois ans et demi à la tête de la communauté de communes. Il n’a pas été écouté.

Pas d’égalité parfaite entre les deux prétendants qui aurait profité à la maire du Val-d’Ajol au bénéfice de l’âge. Sale soirée pour elle. Elle s’est même fait couper l’herbe sous le pied pour la vice-présidence au tourisme et à la communication par Ludovic Daval, lui aussi élu au Val-d’Ajol (17 contre 14, 1 blanc à l’issue du second tour). Elle s’accroche et se présente à l’arrache à la neuvième et dernière délégation contre Michel Demange. Elle finit par lâcher prise face aux 16 voix de son adversaire à qui il en manquait une pour décrocher la majorité. Elle décide de laisser sa place, grande perdante de la soirée. Une défaite amère. « Il n’y a pas eu de débat démocratique sur les vice-présidences », peste celle qui fera entendre sa voix à la conférence des maires. Son culot n’a pas payé. « Je suis déçu pour elle », consent Michel Demange.

Petite consolation pour Michel Demange

L’union ne fait pas toujours la force. C’est justement ce que le nouveau Président veut mettre en exergue. « Le travail se fera de manière collective », promet Jean Hingray. Il a déjà ses petites idées. « Il faut rapprocher notre institution de la population, donner la parole aux jeunes, aux aînés, aux personnes qualifiées du territoire », s’attache l’élu, dont le dada reste la recherche de partenaires publics et privés. Il a d’ailleurs tenu à nommer un Vice-Président à la démocratie participative et recherche de partenariats. Petite consolation pour Michel Demange.

Décès de Mme Francine BERNIER

avis de décès

LE VAL-D’AJOL- FOUGEROLLES- LUXEUIL-LES-BAINS

Edwige, Éric et Isabelle, ses enfants, et leurs conjoints,

Stéphanie et Cédric, ses petits-enfants et leurs conjoints,,,

Anna, son arrière-petite-fille,

les familles BERNIER, GUSTIN, RINCK, JAMBEL, et GRANDMOUGIN

ont la tristesse de vous faire part du décès de :

Madame Francine BERNIER née Gustin survenu le 12 juillet 2020 à l’âge de 88 ans.

La famille rappelle à votre souvenir son époux Jean BERNIER.

Retrait des cuves de carburant Grande Rue

Les cuves de carburant de l’ancien « Garage PIERRE » viennent d’être retirées par une entreprise spécialisée dans le dégazage. Elles ont été acheminées dans une usine de recyclage de ce type de matériel.

Un brin d’histoire, tiré des archives

Comme l’indique le cadastre napoléonien, le quincaillier Émile Martin, dont les ancêtres furent parmi les derniers à faire tourner le plus vieux moulin du village, a durant plusieurs décennies fait commerce dans les locaux de l’ancien garage Citroën de la famille Pierre. Il y vend dès 1892 de nombreux articles de ménage en plus des outils agricoles et forestiers.

C’est vers 1931 que Marcel PIERRE, à l’étroit dans son garage sur la place de l’église situė dans la remise à diligences et les écuries de l’hôtel de la Poste, prend possession des anciens locaux du quincaillier DAVAL dans la Grande Rue.

Son fils, prénommé Marcel tout comme lui, a fait perduré l’affaire, suivi par un de ses employés, puis d’un autre locataire jusqu’à la fermeture du garage en 2018.

Les pompes à essence, qui datent des années 60/70, affichaient encore le prix du super carburant de l’époque à 0,675 Francs le litre.

Autre particularité le plus souvent ignorée des Ajolais : Le quincaillier Émile DAVAL fut propriétaire de l’école Ste Marie, proche voisine de son établissement à partir de 1906 environ. Il avait acheté cette propriété au chanoine Thomassin, lequel avait quitté la cure du Val-d’Ajol pour exercer sur la paroisse de Plombières. Le but de cette transaction, réalisée dans la plus grande discrétion, est de contourner la loi interdisant au clergé de diriger les écoles.

Donc le 21 mars 1907, Émile DAVAL loue pour 9 années à la « Société de la Jeunesse Val-d’Ajolaise », dirigée par le Maire Émile BALANDIER : un bâtiment donnant sur la Grande Rue, un autre bâtiment dit de l’école Sainte Marie composé d’une maternelle, de 4 salles de primaire, d’un dortoir, d’un préau…., et des meubles et objets mobiliers dont un inventaire sera dressé.

Moto en flammes

Mardi 7 Juillet vers 14 h rue du Dévau au Val-d’Ajol, une moto s’est embrasée lors de son démarrage. Le sinistre a été rapidement maitrisé par le propriétaire et ses voisins. À l’arrivée de l’agent de police municipale et des pompiers, le feu était éteint, l’engin complètement calciné.

L’incident n’a pas fait de blessé.

Les piscines du Val d’Ajol et de Plombières les Bains

Les piscines de la CCVM sont ouvertes au public pour les vacances avec quelques modifications concernant les plages horaires, le nombre de personnes acceptées sur les sites, les règles sanitaires à respecter par tous suite à l’épidémie du Covid-19.

La piscine du Val-d’Ajol a repris ses activités quelques jours avant les congés scolaires, pour « le rodage des nouvelles dispositions » précise Cécile, maître-nageur sauveteur sur les deux sites.

Pendant cette période de confinement, Cécile, qui est aussi une artiste peintre au talent caché, a travaillé sur la fresque qu’elle a réalisée voici deux ou trois ans sur un mur intérieur de l’édifice. Un galion battant pavillon corsaire est échouė dans un angle du mur, sous le regard surpris des poissons et autres crustacés frétillants, dans les eaux chaudes d’une mer translucide. Privée de natation durant le confinement, c’est au jogging et à la cuisine qu’elle s’est par ailleurs consacrée.

Horaires d’ouverture de la piscine du Val-d’Ajol :

Nombre limité à 100 baigneurs par tranche horaire

Sortie des bassins 15 minutes avant l’heure indiquée

Lundi : FERMÉ

Mardi : 9h30 à 11h30 – Désinfection – 14h00 à 16h00 – Désinfection – 16h30 à 18h30.

Mercredi : 14h30 à 17h30 – Désinfection – 18h00 à 21h00.

Jeudi : 9h30 à 11h30 – Désinfection – 14h00 à 16h00 – Désinfection- 16h30 à 18h30.

Vendredi : 9h30 à 11h30 – Désinfection – 14h30 à 17h30 – Désinfection – 18h00 à 21h00.

Samedi : 9h30 à 11h30 – Désinfection – 14h00 à 16h00 – Désinfection – 16h30 à 18h30.

Dimanche : 9h30 à 11h30 – Désinfection – 14h00 à 16h00 – Désinfection – 16h30 à 18h30.

Horaires d’ouverture de la piscine de Plombières les Bains :

Nombre limité à 50 baigneurs par tranche horaire.

Située aux abords du Parc Impérial, cette piscine de loisirs en plein air est dotée d’un toboggan aquatique, d’une pataugeoire, d’un mur d’eau et nage à contre-courant.

Lundi, mardi, mercredi : 13h30 à 16h30 – Désinfection – 17h00 à 19h45.

Jeudi : FERMÉ

Vendredi, samedi, dimanche : 13h30 à 16h30 – Désinfection – 17h00 à 19h45.

Procession et Messe à la Grotte de Lourdes

Des enfants participant au catéchisme et quelques paroissiens se sont rassemblés autour de la grotte de Lourdes au Val-d’Ajol le lundi 29 juin à 17h30.

L’abbé Claude DURUPT a célébré un office dédié à la Vierge. Cette cérémonie qui se tient habituellement en mai, le mois de Marie, a été ajournée en raison du confinement lié au Covid-19. Il y a quelques décennies les enfants qui faisaient leur Communion Solennelle à la Pentecôte assistaient le lundi à une messe à la grotte en habit de communiants.

Il s’agit évidemment d’une reproduction de la fameuse grotte de Lourdes (Hautes-Pyrénées). Construite en 1950 sur un terrain de la famille BRULTEY, elle est située à flanc de coteau derrière l’hôtel de la Résidence. C’est un lieu qui invite à la méditation. Une pancarte porte le libellé suivant : « De ce coteau ouvert sur la vallée, en promenade ou venant te reposer, tourne à la Vierge ton regard, elle t’invite à la prière avec l’espoir de t’ouvrir un jour la demeure du Dieu créateur. »

Découvert dans les anciennes chroniques paroissiales

Un projet de monument de la Reconnaissance du Val-d’Ajol au Christ Roi,

Une maquette fut présentée au public dans une vitrine de magasin vers 1946. Le projet répondait à un vœu formulé par le curé Aubry sur son lit de mort.

La municipalité de l’époque présidée par Monsieur Jules Joseph VINEL, Maire de la commune de 1945 à 1947, s’était empressée d’offrir ses services en proposant le site communal de la Feuillée Nouvelle et son magnifique point de vue pour y installer le monument en question.

L’architecte parisien SERRAZ, un artiste réputé qui avait fait démonstration de son talent en élevant un monument semblable au Mont Blanc, fut chargé de l’étude du projet.

Voici ce que dit la chronique paroissiale de l’époque de ce monument majestueux :

Il est composé de trois panneaux qui se contrebutent et se consolident mutuellement. Ils concourent ensemble à donner un volume plein en demi cintre. Les espaces évidés pourraient être fermés par des fenêtres mobiles. Cela constituerait une chapelle presque complètement fermée, sauf du côté de la terrasse.

Un panneau central représente le Christ-Roi qui rappelle assez celui des Houches ; le panneau de gauche : l’Ecce Homo ; celui de droite : la crucifixion. Les trois panneaux inférieurs représentent la procession des Rameaux.

Le tout serait exécuté en béton polychromé dans les tonalités du grès des Vosges.

Chronique juillet 1947

Sous le titre et notre monument de la reconnaissance ?

Je ne vous en ai plus parler depuis longtemps parce que tout le monde sait qu’aucune construction, de quelque nature que ce soit, ne peut être entreprise sans autorisation. Les matériaux sont réservés, cela se conçoit, à la réparation des dommages de guerre. Peut-être était-il bon de le rappeler et d’inviter à la patience et à la confiance.

La promesse formulée par M. le chanoine Aubry, de vénérée mémoire, n’est pas oubliée et nous continuons tous de nous associer à sa prière et à son intention d’obtenir du Ciel, par ce vœu, que le Val-d’Ajol soit préservé des horreurs de la guerre.

Chronique Août 1947

 Photo de la statue du Christ Roi dans la vallée de Chamonix.

Juillet 1946

Inauguration au GIRMONT du monument de la reconnaissance au Christ-Roi. Le 17 juin 1946 avec la visite de Monseigneur Foucault…

Chronique de mai 1949

Le monument votif au Christ-Roi a fait l’objet de la délibération des conseilles paroissiaux le dimanche 20 février. Il a été décidé que l’érection de ce monument qui doit dominer notre belle vallée serait remis à des jours meilleurs et d’y intéresser la région et les touristes qui la fréquentent. En attendant, on se propose de construire une grotte de Lourdes, à proximité du centre, dont l’emplacement reste à déterminer.

Le journal le Télégramme du 13/10/1939 page 4 apporte un témoignage trop rapidement oublié. C’est au cours d’une grande messe dite à la mémoire du curé Aubry que le RP DESCHASEAUX dévoilera son dernier vœu. À savoir : si la commune du Val-d’Ajol et ses paroissiens sont épargnés par la guerre, la paroisse devra ériger une chapelle sur une des hauteurs dominant la vallée ou un monument au Christ Roi. 

La grotte de Lourdes fût érigée, mais pas le monument au Christ Roi.

Démolition des HLM à FAYMONT

Après de bons et loyaux services rendus à la population, trois bâtiments viennent de disparaître du paysage de FAYMONT.

Les trois immeubles comprenant 12 logements ont été construits en 1959 pour les familles à revenus modestes, d’où le nom HLM « habitation à loyer modéré ».

A cette époque, FAYMONT était le hameau le plus peuplé de la commune du Val-d’Ajol, le travail ne manquait pas, plusieurs usines fonctionnaient à plein rendement : la Manufacture de FAYMONT, appelée à présent S.A. DE BUYER, fabricant d’ustensiles de cuisine installé depuis 1838 à la place d’un ancien moulin (L’histoire de l’entreprise est relatée dans un livre écrit par Daniel GURY « l’Écho des Feuillées »), la filature de chez TENTHOREY à COURUPT et la scierie de FAYMONT.

Les ouvriers et ouvrières travaillaient à deux pas de leur entreprise, les commerces étaient florissants (épiceries, boucheries, etc…). Deux écoles accueillaient les élèves jusqu’au certificat d’études primaires : une école privée de filles créée par la famille De BUYER et celle de Jules Ferry, communale bien sûr. Une Chapelle, qui date du début du XXe siècle, a d’abord été une salle de patronage avant d’être consacrée en 1937. Elle présente un intérêt historique et patrimonial (Exemple du paternalisme industriel). Le chemin de croix a été façonné par les ouvriers de l’entreprise. Le tout faisait de cet endroit un village à part entière, sans oublier les bistrots où les ouvriers passaient pour se désaltérer et se tenir au courant des derniers ragots du village… Il ne manquait qu’une Mairie.

Aujourd’hui, seule l’usine De BUYER est toujours présente. Elle a développé son activité. Sa renommée est mondiale : les plus grands chefs de la gastronomie se fournissent en matériels de cuisine « made in De BUYER », Le Val-d’Ajol France.

Le bruit des voitures remplace les cris des enfants jouant dans la rue, les cafés et autres commerces ont disparu, seule une boucherie tenue par Jean-Luc Husson, fabricant la fameuse andouille du Val-d’Ajol, tient boutique dans le hameau, et le magasin de l’usine De BUYER qui vend aux particuliers et touristes de passage, toute la gamme de produits de BUYER fabriqués dans l’usine.

Les HLM construits en cette période florissante n’étant plus occupés, et plus aux normes actuelles, ont donc été rasés.

Décès de Pierre VIAIN

avis de décès

Madame Nicole VIAIN, son épouse ;
Marie-Pierre et Jean-François LAIGRE, ses enfants ;
Eugénie et Marion, ses petites-filles ;
Marguerite BERLENDIS, sa sœur ;
Ses beaux-frères et belles-sœurs ;
Ses neveux et nièces ;
Toute la famille et les amis

ont la tristesse de vous faire part du décès de

Monsieur Pierre VIAIN

survenu le 29 juin 2020, à l’âge de 93 ans.

Marié avec Nicole POIROT, le couple a eu une fille, Marie-Pierre qui a uni sa destiné à Mr Jean-François LAIGRE, deux petites-filles sont venues agrandir la famille.

Nos condoléances.