Remise du 55ème Prix Littéraire de l’Andouille

Comme chaque année, le concours du prix littéraire, également appelé « le Goncourt de la charcuterie » par Philippe Biette le Grand dépendeur de la confrérie, attire quelques adeptes de la plume, mais le règlement est strict : l’auteur doit écrire sa prose sur du papier d’un boucher dépositaire de la marque « Andouille du Val-d’Ajol » reconnaissable à sa bague.

En prose ou alexandrin ou même en chanson tout est permis, la seule règle est de vanter les mérites de l’Andouille, chose pas toujours facile tant qu’on ne l’a pas dégustée, chaude ou froide, sur une tranche de pain tartinée de moutarde comme casse-croûte, d’autres la préféreront avec une salade de patate, mais toujours accompagnée d’une bouteille de vin rouge ou blanc, seulement la dégustation terminée vous pourrez prendre la plume pour la sublimer.

L’heureuse gagnante de l’édition 2023 est Maryanne Jeandemange pour son écrit sur l’andouille entièrement rédigé en acrostiches.

Cette habitante de Darnieulles, membre de la confrérie d’Épinal et de la fédération régionale des confréries du Grand-Est, a participé au concours « par hasard » en voyant l’annonce sur les réseaux sociaux. Le hasard fait bien les choses.

Marianne André-Durupt a félicité et remis le diplôme à l’heureuse gagnante, qui entre dans la confrérie « des Taste-Andouilles et Gandoyau du Val-d’Ajol » dont voici l’éloge à l’Andouille :

Ah nul autre met mets tu régales,

Nature en tourte, chaude ou froide,

De reconnaissante locale, ta réputation dépasse nos frontières Vosgiennes et même Française,

Ô toi chère andouille du pays Ajolais !

Unique en ton genre, à base de porc, et fumée au feu de bois de hêtre,

Il n’y a que cinq artisans bouchers charcutiers légitimés à te confectionner !

Louis-Philippe, en son temps, a même décidé entériner l’existence de la foire,

La préfecture ayant suivi de peu cette décision, en lui donnant le nom de « Foire aux Andouille ».

Eh bien quel succès tu as connu et connais encore, ô chère Andouille !

Sois louée pour des années encore, Reine des Charcuteries.

Félicitations à l’heureuse intronisée.

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Salon du livre régional

Le salon du livre s’est tenu comme à l’accoutumé le dimanche toute la journée, dans le grand salon de l’hôtel de Ville.

Étienne Curien délégué à l’organisation du salon présentait les auteurs au Président de la confrérie Gérard Vançon, et à Mme le Maire Anne Girardin , ils étaient accompagnés d’élus et de représentants d’associations, ainsi que d’autres membres de confréries amies invités pour les festivités.  

Le salon est réservé aux auteurs de la région Lorraine.

Une vingtaine d’auteurs étaient présents pour présenter leurs ouvrages, conte pour enfants, roman, livre documentaire). Deux auteures vosgiennes se distinguaient pour leur ouvrage original.

Roseline Pagny-Leclerc est une enfant du pays née au Val-d’Ajol, maintenant en retraite, elle est revenue vivre dans son village. Membre du conseil municipal de la commune, et ancienne commissaire divisionnaire, elle présentait son deuxième roman intitulé Dick chien de guerre.

Elle nous emmène sur les champs de bataille de la grande guerre.

« Il ne leur manque que la parole », dit-on souvent en parlant de nos amis les chiens. Roseline a choisi de faire vivre Dick, chien de guerre, dans son deuxième roman. Il raconte lui-même ses aventures. Ce berger malinois, intelligent et observateur, accompagne son maître durant la première guerre mondiale. Il a été recruté comme chien sanitaire en 1916 et participe à de nombreux événements. Il révèle aussi des pans méconnus de ce conflit. Loin d’être triste ou larmoyant, Dick anime le récit en portant un regard aiguisé sur les situations auxquelles il doit faire face.

Ce roman s’inspire, d’une part de ce que les grands-parents de Roseline Pagny-Leclerc ont vécu, (les archives familiales sont éloquentes), et d’autre part de sa connaissance des services rendus par des chiens policiers qu’elle a pu observer tout au long de sa carrière.

 Anne Gérome aide-soignante à l’EHPAD de Cornimont a écrit un ouvrage « EHPAD mon amour » sur l’établissement de Cornimont où elle travaille depuis 1998. Un témoignage fort alors que les conditions de travail et le traitement des résidents ont été au cœur de l’actualité ces derniers mois.

« Lâ patoisant dâ trô R’vères » du village de « Le Girmont-Val-d’Ajol » présentait leurs ouvrages, dont le 3ème livret de « Histouères de Ché Nô, écrit en patois/français.

Les habitués de ce salon étaient présents, satisfaits de l’accueil, et de leur journée passée parmi nous.  

Concours de la Meilleure Tourte à l’Andouille du Val-d’Ajol

 Le concours s’est déroulé en coopération avec l’académie gourmande des Chaircuitiers et de son Président Pascal BATAGNE. Le jury était composé des personnes suivantes Président : M. Jean-Claude AIGUIER – Kévin BATAGNE – Yannick VERNINI – Claude-Louis Contoux- lucas Wucher – Philippe LARUELLE – Michel RENEAUX – Bertrand MUNIER – Loïc FORICHER – Audrey VERNINI.

27 professionnels et 10 amateurs s’étaient inscrits.

 Les lauréats sont :

Catégorie professionnels :

 1er : Arnaud DAVAL ;

 2ème : Jean-Noël PHILIPPOT ;

 3ème : Antoine CARIBEY et Sylvain SANTONAX

 Catégorie amateurs :

1er : Guy ROCHEL ;

2ème : Agnès BARTHÉLÉMY-CLAUDE ;

 3ème : Fabienne HILDENBRAND.

 Félicitations à tous les participants !

Arnaud DAVAL, boucher charcutier au Val-d’Ajol remporte la médaille d’or, du concours de la Meilleure Tourte à l’Andouille du Val-d’Ajol, décernée par l’Académie Gourmande des Chaircutiers de Meurthe et Moselle et la Confrérie des Taste-Andouilles du Val-d’Ajol.

Le secret de sa recette ? Des ingrédients originaux autour de la célébrissime Andouille du Val-d’Ajol : des cèpes et des noix. 

Tous les participants ont été gratifiés.

Marché gourmand

Les 60 exposants installés sous le chapiteau place du Sô,, représentaient toutes les contrées de France. Les visiteurs tout en étant dans un village de moyenne montagne, ont fait un tour de France à pied, pour le plaisir des papilles des produits du terroir, et plus particulièrement une halte en terre Ajolaise, pour déguster, chaude ou froide, la reine du jour « L’Andouille du Val-d’Ajol », accompagné de son ami le Gandoyau, la bande de lard, et autres produits fumés. Les 4 bouchers charcutiers de la commune, seuls détenteurs de la marque déposé, étaient présents pour vanter la spécialité Ajolaise.

Après cette mise en bouche, les restaurateurs et certaines associations proposaient un repas paysan, où l’Andouille se pavanait au centre des assiettes, entourée, d’une salade de patate, ou de frites, couchées sur deux feuilles de laitue.

Nouveauté du jour, l’association des parents d’élèves de l’école Ste Marie, proposait des hamburgers à l’andouille, des gaufres salées aux mini lardons, et autres boissons chaudes ou froides, mais aussi des gaufres traditionnelles cuites au feu de bois sur un fourneau à quatre pots.

Rare sont les personnes qui sont reparties l’estomac dans les talons.

Défilé : Carnaval dans le Monde

Après deux années d’absence le défilé de chars est revenu sur le devant de la scène, de la célébrissime « Foire aux Andouilles » qui se déroule sur trois jours le 3ème lundi de février voici des lustres (quand on aime on ne compte pas) dans la vallée de la Combeauté ajolaise.

Tout au long du parcours la foule a fait une haie d’honneur au défilé. Le thème étant libre les associations ont rivalisé d’ingéniosité, tant au niveau des décors des chars et de leurs costumes.

Ordre de passage des chars réalisés par les associations.

Musique de : Les Grognards  — Le Pouvoir des Fleurs des Patoisants des trois Rivières – Le roi Lion de APEL Ste Marie – Méli-Mélo des Amis du Plateau – Musique les Sonneurs du Lion – Carnaval de la Confrérie des Taste Andouilles– Le Bibendum et les Fantômes des Écoles Publiques – Dansons Disco du Le Comité des Fêtes – Musique l’Avenir de Hadol – Match de Foot du FCA – Rock and Rool de L’harmonie Jeanne d’Arc –Astérix et Obélix du Comité des Fêtes de Vecoux – Musique Sol’surParty Song – Tous unis pour un Collège du Collectif – Les paysans d’antan du Pays du Chello – Ancien camion Les Gros Volants – Musique de Basse sur le Rupt – la FLAC – danses des Berdi Berdo –Autour du Basket du basket – Musique Batucada.

Les photos sont plus parlantes que les mots.

Deuxième album. Suite du défilé

Intronisations et marché aux puces

Voici le début de la 57ème  édition de la célèbre foire aux Andouilles.

Dès le lever du jour les exposants de produits de nos terroirs, s’installaient sous le grand chapiteau place du Sô, tandis que les vendeurs d’objets anciens et autres articles hétéroclites ou dénichés dans les greniers déballaient dans les rues du centre bourg. Les chalands du « bien mangé » ou chercheur d’objets rares pouvaient arriver, tous les attendaient de pied ferme.

C’est entre les badauds que le défilé des 35 confréries, invitées par la confrérie des Tastes Andouilles et Gandoyau du Val-d’Ajol, et, menées par l’Harmonie Jeanne d’Arc du Val-d’Ajol, s’est frayé un passage pour se rendre sur le parvis de la Salle des fêtes, nommée pour la circonstance « place de l’Andouille » en passant sous le chapiteau du marché gourmand.

Les 26 personnes intronisées, ont juré de promouvoir par monts et par vaux, les bienfaits de notre délectable Andouille.

Les confidences de Dick à son retour de la guerre

Roseline Pagny-Leclerc sera présente au salon du Livre qui se tiendra à l’hôtel de Ville du Val-d’Ajol le dimanche 19 février lors de la Foire aux Andouilles.

L’an passé elle présentait son premier roman « Cigognes », lors du salon du livre, organisé par la confrérie des Taste Andouilles durant la foire.

Roseline est une enfant du pays née à Le Val-d’Ajol, après des études de lettres classiques à l’université de Nancy, Roseline s’est tournée vers des études de droit qui lui ont permis de faire toute sa carrière dans la police nationale. Aujourd’hui commissaire divisionnaire honoraire, tout en participant régulièrement à des séminaires de victimologie et de criminologie à Paris, elle renoue avec ses premières amours, l’histoire, la littérature et l’écriture. L’attachement à ses Vosges natales lui a inspiré un premier roman « Cigognes » sur toile de fond historique.

Pour son deuxième ouvrage, Roseline Pagny-Leclerc nous emmène sur les champs de bataille, de la grande guerre.

« Il ne leur manque que la parole », dit-on souvent en parlant de nos amis les chiens. Roseline Pagny-Leclerc a choisi de faire vivre Dick, chien de guerre, dans son deuxième roman. Il raconte lui-même ses aventures. Ce berger malinois, intelligent et observateur, accompagne son maître durant la première guerre mondiale. Il a été recruté comme chien sanitaire en 1916 et participe à de nombreux événements. Il révèle aussi des pans méconnus de ce conflit. Loin d’être triste ou larmoyant, Dick anime le récit en portant un regard aiguisé sur les situations auxquelles il doit faire face.

Ce roman s’inspire, d’une part de ce que les grands-parents de Roseline Pagny-Leclerc ont vécu, (les archives familiales sont éloquentes), et d’autre part de sa connaissance des services rendus par des chiens policiers qu’elle a pu observer tout au long de sa carrière.

Rendez-vous toute la journée au salon du livre régional, en présence d’une vingtaine d’auteurs.

Salon du livre : Photos d’archives.

Un carnaval aux couleurs des pays du monde

Le soleil s’était invité pour la reprise du traditionnel défilé du carnaval de l’école du centre, qui se déroulait dans les allées du jardin de la résidence du « Val de Joye ». la pandémie s’étant éclipsée, les activités ont repris à la satisfaction de tous.

Les parents et amis avaient été invités à venir admirer ce défilé tout en couleurs, en cherchant parmi toute cette horde de joyeux lurons dissipés, leur enfant ou petit enfant..

Les pensionnaires de la Résidence Val de Joye, installés par les animatrices de chaque côté de l’allée principale leur ont fait une haie d’honneur.

Tous ont été ravis de l’après-midi passé en bonne compagnie.

Le thème de cette année était les pays du monde pour leurs us et coutumes, la France en premier avec les petits de la maternelle, venaient ensuite les pays voisins et plus lointains.

Les photos et vidéos vous feront revivre cet agréable divertissement.

Foire aux Andouilles : Une tradition qui perdure

Privé de défilé depuis deux ans pour cause de pandémie, le défilé de chars revient sur le devant de la scène le dimanche 19 février.

Chaque association voulant participer à cette manifestation, prépare son char dans des locaux assez vastes, mis à disposition gracieusement par des entreprises ou des particuliers de la commune.

Le thème de cette année est libre, et ce sera la surprise, pour tous les visiteurs venus des quatre coins de France et de Navarre…

En février 1995, l’office de tourisme innove, le Moyen-âge sera le thème de la foire aux andouilles, en remplacement du gymkhana organisé par les agriculteurs.

Les commerçants avaient été appelés à participer à un concours de vitrine.

31 commerçants avaient répondu à l’appel et ce fût un succès au niveau des décorations.

Les Ajolais étaient invités à se costumer, plus de cent personnes ont défilé le dimanche après-midi en tenue de Gente Demoiselle et de vaillant Chevalier (les chevaux étant restés à l’écurie).

Nous voici en 2023 : le défilé s’est étoffé de chars au fil des ans, un thème défini à l’avance est proposé, et chaque association rivalise de talent dans la présentation de leur œuvre, dont voici quelques anciennes photos retrouvées dans nos archives, en attendant celle de cette année dont le thème est libre.

Les décès du mois de Janvier 2023

avis de décès

M. Daniel ROMARY, le 1er janvier à l’âge de 63 ans, demeurant à Montaigu lieu-dit du Val-d’Ajol.

Mme Simone DESCHASEAUX, Née PETITJEAN, le 02 janvier à l’âge de 92 ans, demeurant à La Combelle lieu-dit du Val-d’Ajol.

Mme Martine XÉMARD, née GALLAIRE, le 11 janvier à l’âge de 66 ans, demeurant au Croc lieu-dit du Val-d’Ajol.

M. Jean DUVAL, le 16 janvier à l’âge de 93 ans, demeurant à Faymont hameau du Val-d’Ajol.

Mme Marie-Claire LAMBOLEY, née DAVAL, le 22 janvier à l’âge de 79 ans, demeurant au Moncel lieu-dit du Val-d’Ajol.

M. Jean-Marie CHASSARD, le 27 janvier à l’âge de 73 ans, demeurant route des Breules au Val-d’Ajol.

M. Jean-François L’HÔTE, le 27 janvier à l’âge de 57 ans, demeurant au Prébosson lieu-dit du Val-d’Ajol.

Nos sincères condoléances.

Marché de Noël du Père Noël de Ô d’Hariol

Après les rocks de l’Avent, voici de nouveau un petit retour aux fêtes de fin d’année, avec le petit marché de Noël du Hariol.
C’est avec plaisir que les bénévoles de l’association Ô d’Hariol, nous ont concocté ce petit marché.
Pour l’occasion, il avait été confectionné des articles en tissus, comme des sacs, des bouillottes, des lingettes démaquillantes, des sacs à tartes, ou encore des éponges écologiques, qui étaient proposés à la vente. Avaient également été crochetés des gants, des bonnets, ainsi que des décorations de Noël. On pouvait également trouver des gravures sur bois, entre encore, beaucoup d’autres choses.
Des artisans étaient également présents, notamment le Fournil Ajolais, la Ruche de Mélie, la Ferme du Haut Salmon, Val Volailles Vincent. En clair, de quoi se régaler durant les fêtes.
Et pour le plaisir des petits, étaient également présentes, la Ferme équestre le Sarcenot, qui proposait des balades à poneys, et Patricia, de l’association Love On The Rocks, qui invitait à venir dessiner sur des cailloux.
Mais la plus grande joie du jour, restera l’arrivée du Père-Noël à cheval. Petits, comme grands étaient heureux de sa venue. De plus, la distribution de ses friandises a ravi les papilles de tous. Le Père-Noël s’est aussi prêté au jeu des photos.
Le froid n’a pas empêché les promeneurs de se rendre sur place. Mais il y avait de quoi se réchauffer, en effet, on pouvait se restaurer avec de bonnes gaufres ou sandwichs de lard, accompagnés de vin chaud ou autres boissons.
Inutile de vous dire que bonne ambiance et bonne humeur ont régné ce jour.

Une Feuillée Nouvelle qui vous dit tout sur son âge. 

Il existe en effet sur la commune deux feuillées très connues qui se font face : la Feuillée Nouvelle et la Feuillée Dorothée.

Si la logique porte à croire que la Feuillée Nouvelle est la petite sœur de l’autre, l’examen des archives démontre que c’est exactement le contraire.

En effet, la Feuillée Nouvelle existait déjà bien avant la révolution au cœur d’une forêt qui appartenait alors à la noblesse comme le reste du Chanot. C’est à l’occasion du tracé d’une nouvelle route devant conduire à Plombières, en 1835, que cette feuillée déjà très fréquentée par les baigneurs va faire une cure de jouvence. Car le préfet des Vosges qui a son hôtel particulier au cœur de la station a sous le coude une enveloppe de 5.000 F qui le démange car elle doit impérativement être utilisée dans les moindres délais sans quoi elle sera perdue. C’est en effet un reliquat d’une dotation particulière attribuée par l’État en faveur du thermalisme mais les projets manquent à l’appel. Dans le même temps, il existe à Plombières un organisme constitué de notables et de commerçants qui se réjouit de la mise en chantier de cette nouvelle route et qui admettrait volontiers que l’ancienne Feuillée qui n’est alors qu’une simple clairière offrant un point de vue magnifique sur la vallée de la Combeauté et ses champs de cerisiers puisse disposer d’un confort amélioré.

Une buvette pourrait avantageusement y être installée.  Ces crédits de l’État sont alors une bénédiction.  La distraction des baigneurs peut en effet être considérée comme une amélioration du thermalisme. C’est donc avec l’insistance du préfet que les notables de Plombières vont demander un réaménagement du site. D’où l’appellation « Feuillée Nouvelle » ou encore « Feuillée Communale ». Formules qui seront de suite adoptées par l’arpenteur Tocquaine mandaté par les Eaux et Forêts de Remiremont. M. Tocquaine dans son plan daté du 28/1/1840 nous donne un aperçu très explicite du site avec des parcelles que la commune met en vente par adjudication. Le percepteur de l’époque, François Fleurot, toujours en quête d’une bonne affaire, fait une offre pour acheter l’une de ces parcelles, la plus proche du site. Elle est actuellement occupée par le Chalet des Amis de la Nature. C’est alors une friche marécageuse de peu de valeur mais l’astucieux percepteur promet d’en faire un Eden avec une buvette naturellement. Enfin une autre parcelle située en aval sera également mise en vente car il est prévu de déboiser toute la partie aval du site. Le percepteur quant à lui devra se désister car il doit rendre des comptes sur une gestion douteuse des finances de la commune alors dirigée par son cousin et il sera muté à Corcieux.

D’autres parcelles seront encore vendues par la commune du Val-d’Ajol vu qu’il lui fallait trouver l’argent nécessaire au financement de ces coûteux travaux de voirie. A rappeler que jusque 1840 environ, le chemin principal conduisant à Plombières et qui partait de la Croix passait par le Grépiné et les Charrières.  Plus connu sous l’appellation de « Chemin des Morts », bordé de profonds ravins, l’agent voyer mandaté par le département le trouva en effet trop dangereux car étroit et trop pentu pour être conservé. Sans doute le chemin de Plombières avait-il acquis une triste réputation suite aux accidents mortels dont il fut trop souvent la cause.

Evidemment pour désaltérer les nombreux visiteurs ainsi que les attelages, il fut jugé nécessaire d’aménager sur le site de la nouvelle Feuillée pas moins de trois fontaines. Hélas, la seule source disponible étant située à une altitude peu convenable et par la force des choses la pente étant trop faible pour amener le précieux liquide dans ces trois fontaines, l’approvisionnement en eau de cette Feuillée fut un casse-tête qui ne fut jamais résolu. Les premiers tuyaux en bois vont en effet rapidement se détériorer car ne supportant les desséchements répétitifs de chaque été. Pas moins de 30 sapins avaient tout de même été sacrifiés pour percer les tuyaux nécessaires. Le remplacement par des tuyaux en grés ne fut pas davantage concluant. Seule la fontaine inférieure dite « Fontaine Siméon » put au final être conservée. L’hôtel qui fut construit en 1904 eut à souffrir des mêmes ennuis. Il fallut l’équiper d’une pompe qui souvent tombait en panne.

Une loge en dur fut rapidement aménagée pour recevoir les visiteurs, leur offrir boissons et produits du terroir. Et surprise, parmi les premiers gérants, apparaît alors le nom d’Amé Lambert. C’est un nom que d’ordinaire nous associons à la Feuillée concurrente. Car il s’agit bien du même homme qui vient de faire l’acquisition de la ferme que Dorothée fut obligée de vendre pour payer ses dettes. Mais contrairement à la légende, le bien acquis par Lambert n’est pas encore un vrai site touristique. Ce n’est qu’une modeste ferme avec vaches et cochons que Dorothée tient en indivision avec ses deux frères et sœurs, tous célibataires, sauf que sa terrasse offre un splendide panorama qui reste cependant à aménager. Lambert qui a sans doute des idées derrière la tête va donc faire ses classes dans la réputée feuillée communale située en face. A la belle saison, il s’y rend chaque jour à cheval pour accomplir son devoir de gérant et il ne tardera pas à demander que la commune lui construise un abri pour son précieux attelage. Mais Lambert se lasse vite de son statut peu reluisant de simple locataire. Son bail court du 1er mai 1891 au 30 avril 1894 mais il va y renoncer par courrier du 30/10/1893. C’est alors une femme, Constance Cholley, qui lui succédera de 1894 à 1897. Elle établira à ses frais un orchestre (sorte de gloriette) qui deviendra propriété communale à la fin de son bail.  Se succéderont sur le site d’autres exploitants locataires tous de Laître comme le restaurateur Albert Parisot, puis le cafetier Albert Grosjean. Ce dernier construira l’hôtel qui fut démoli voici quelles années.  Il y passera une grande partie de sa vie. Car Grosjean contrairement aux locataires qui l’ont précédé a obtenu le bénéfice d’un bail commercial appelé 3-6-9.  Une vie toutefois parsemée d’embûche comme sa mobilisation pour la grande guerre. Son épouse qui se retrouve seule avec de jeunes enfants à charge rame pour honorer le contrat passé avec la commune. Son commerce qui vit essentiellement du tourisme est alors touché de plein fouet.

D’un naturel curieux, Napoléon III se rendra bien sûr aux deux feuillées qui surplombent la vallée lors de ses séjours à Plombières. Mais la presse de ces époques témoigne surtout des grands dîners qu’il organisera plusieurs fois toujours à la Feuillé Nouvelle entouré d’une dizaine de notables avec leurs épouses comme le 1/8/1865.  Après tout, c’est bel et bien grâce à l’argent de l’État que cette feuillée est devenue un site remarquable. Il en est un peu le propriétaire.  Souvent le retour sur Plombières devra se faire à la lumière des chandelles et des torches.

Retour sur les rocks de l’Avent

C’est dans une ville joliment décorée pour les fêtes de fin d’année, que l’association Love On The Rocks, représentée par Patricia, a de nouveau réitéré son évènement « Rocks de l’Avent, au Val d’Ajol ».
L’association était épaulée cette année par de nombreux commerçants et artisans ajolais, afin de pouvoir offrir une trentaine de cadeaux, lors de cette manifestation.
Entre autres, Intermarché, Au Fournil Ajolais, Gaëlle Oika Oika 88, Estelle Secrets de Miel, Épicerie Poulain et 3 Fées Créations, mais pas que, Séverine une habitante ajolaise avait confectionné de ses petites mains de jolis gnomes.
Patricia, aidée de Éliane, Gaëlle, Séverine, Maminou, Valérie, Nathalie, et enfin Brigitte et sa maman, toutes membres des groupes facebook Love On The Rocks Lorraine et Alsace ont dessiné sur des cailloux sur le thème de l’hiver et Noël, afin qu’ils soient cachés sur la période de l’Avent.
La Commune du Val d’Ajol et l’office de tourisme avait de leur côté promotionné l’événement.
Patricia et l’association profitent de cet article pour remercier tous les acteurs qui en ont permis l’organisation.
Patricia est déjà dans la préparation de la prochaine manifestation, sans parler de ses ateliers qui redémarrent en février.

Retour photo ( avec autorisation des parents)

Historique :

Ce phénomène vient d’Angleterre où il est très répandu. Baptisé « Love on the rocks », il est arrivé en France en 2018 où il rencontre depuis un vif succès.

Patricia, une assistante maternelle ajolaise, a découvert le concept le 14 septembre 2019, date à laquelle elle a rejoint le groupe “Love on the rocks Lorraine” sur Facebook (une extension du groupe “Love on the rocks France”)

Au départ, elle a trouvé sympathique de partager l’activité avec les enfants :  trouver de beaux cailloux vierges, décorer les cailloux, se promener pour les cacher afin que d’autres personnes les découvrent. Elle s’est tellement prise au jeu qu’elle a lancé le concept au Val-d’Ajol. Afin de ne pas polluer la nature, il faut dessiner sur les cailloux avec des feutres de peinture acrylique ou des crayons aquarellables (on ne peut pas y ajouter des artifices, comme des paillettes ou autres) et passer une couche de vernis pour qu’ils résistent aux intempéries.

Il faut ensuite faire une petite publication sur le groupe Facebook pour avertir que des cailloux seront cachés.

Les cailloux peints sont déposés au gré des déplacements, dans toute la France et même à l’étranger. Actuellement, les participants ajolais les cachent plutôt sur la commune. Vous pouvez en trouver par exemple à la Feuillée Nouvelle, au Chalet de l’empereur, aux cascades… mais plus souvent au centre du village. Les personnes qui les trouvent peuvent les cacher de nouveau ou les garder. Souvent un petit message est écrit au dos, invitant la personne qui a trouvé le caillou à en faire part sur Facebook sur le groupe “Love on the rocks Lorraine” car les auteurs aiment avoir des nouvelles de leur création.

De cette activité est née l’association Love On The Rocks France.
Son but?
– Organiser divers événements de type  » Chasse aux cailloux », favorisant le contact social et les liens intergénérationnels.
– Organiser des ateliers créatifs
– Faire de la sensibilisation/de la prévention avec des associations telles que la ligue contre le cancer, France Parkinson ou autres…
– Participer à des événements tels que le Théléthon, le Safthon…

Nouvelle activité au « Passe-Temps Ajolais »

L’assemblée Générale du Passe-Temps Ajolais s’est tenue aux Épinettes le jeudi 19 janvier en présence des adhérentes et de Mme le maire, Anne GIRARDIN.

Après les formalités d’usage, la présidente Mme Michèle SIMONIN donne le compte rendu des activités de l’année, (bricolage, cuisine, jeux, accueil d’enfants de l’école publique pendant la semaine du goût, participation à la fête des mères en offrant une serviette brodée à chaque nouveau-né de l’année, échange avec d’autres groupes, marché artisanal…) etc.

Depuis la reprise des activités, un groupe de couturières s’est inséré dans l’association. Adhérentes à la MJC auparavant, celles-ci ont rejoint le groupe du Passe-Temps pour des raisons d’affinités. Les cours de couture sont dispensés le mercredi soir de 20h à 22h. il est conseillé d’avoir une machine à coudre portative pour travailler. Les responsables vous aideront à créer un patron, à couper les tissus et bien sûr à confectionner des vêtements, ou autre travaux, suivant vos désirs et aptitudes.

La trésorière Christiane présente les comptes, qui sont positifs.  La mairie verse une subvention pour l’aide à l’achat de fournitures diverses.

Petit changement Véronique PICARD habile couturière, entre dans le bureau de l’association.

Le bureau se compose ainsi :

Présidente : Michèle SIMONIN ;

Secrétaire : Claudine LAROCHE ; secrétaire adjointe : Véronique PICARD.

Trésorière : Christiane BIETTE ;

Membres du bureau : Ginette LEPAUL ; Yvonne GURY ; Éliane VANÇON.

Avant de partager la galette Mme Le Maire, a complimenté l’ensemble du groupe pour les travaux manuels confectionnés tout au long de l’année.

Le Passe-Temps Ajolais est ouvert à tous, le jeudi de 14h à 17h, sauf vacances scolaires. Inscriptions sur place. Section couture le mercredi soir de 20h à 22h.

Intrusion de neige sur la commune

La neige s’est installée en terre Ajolaise, pour un certain temps suivant la température hivernale du moment.

Bien chaussée et emmitouflée, l’appareil photo en bandoulière, je vous emmène faire un petit tour des alentours du village sans monter sur les hauteurs. Bonne randonnée photo-neige à vous.

 

Vœux chahutés pour l’édile Ajolaise

Il n’est pas coutume de présenter les vœux à la population en extérieur à la mi-janvier, mais dans notre commune « Rock N’ Roll » c’est chose faite.

La pluie du matin s’étant arrêtée, les Ajolais se sont déplacés bien emmitoufflés, pour assister à la cérémonie des vœux sur le parvis de la Mairie.

A la prise de parole de Mme le Maire l’ensemble du collectif « Tous unis pour un collège au Val-d’Ajol » a formé une chaine humaine, et, tourné le dos à leur interlocutrice.

« Après 3 années de crise, 2023 semble commencé sous une meilleure étoile » dira Mme le Maire du Val-d’Ajol, aussitôt hué par le collectif et leurs sympathisants, il faut souligner que celui-ci venait d’apprendre le vendredi 13 janvier, que le collège transitoire tant espéré, pour maintenir les collégiens sur leur territoire avait été refusé par l’académie et les institutions publiques, ainsi que la construction d’un nouveau collège…

Le micro leur ayant été refusé pour s’exprimer, les membres du collectif ont entonné la Chanson « On est les oubliés ».

Présent à la cérémonie, le député Christophe Naegelen a dû patienter quelques minutes pour prononcer son discours.

En solidarité envers le collectif « Tous unis pour un collège » une majorité de commerçants et d’artisans ont boycotté la cérémonie, certains ont accroché sur leur devanture, une banderole noire en signe de deuil.

La cérémonie s’est terminée par la dégustation de la galette des rois, accompagnée d’une boisson chaude, sans heurt ni affrontement, bien qu’un important service de sécurité ait été prévu.

L’avenir du village, sa, vitalité, son dynamiste, la venue de jeunes ménages, semble bien compromise, sans un collège rural….

2023 !!! Meilleure étoile ou étoile meilleure !!!!!………….

Le Val-d’Ajol en cette fin d’année

Pour les fêtes de fin d’année, l’opération « un sapin dans chaque hameau » ou lieu-dit a été reconduite. Les habitants, ont invité les voisins par un petit mot glissé dans la boîte aux lettres, leur donnant rendez-vous pour participer à la décoration du sapin Nordmann installé par le service technique de la commune. Boules guirlandes, crèche et d’autres accessoires de Noël confectionnés maison ont garni l’arbre pour le plaisir de tous, un goûter clôturait l’après-midi. Les gâteaux et boissons chaudes préparés par les pros de la pâtisserie régalaient tous les participants.

Le traîneau du père Noël avait investi le parvis de la Mairie.

Dans l’église la crèche était installée devant l’hôtel.

Décès M. Jean Duval

avis de décès


Nous venons d’apprendre le décès de Jean Duval, 93 ans, à l’Hôpital de Remiremont, où il avait été admis dimanche.

Habitant Faymont, Jean, ancien employé de chez De Buyer, s’est toujours donné pour le bien-être de la communauté paroissiale de Faymont et dans l’animation liturgique du Girmont.

Jean ayant donné son corps à la science, un temps de prière lui sera dédié ce jeudi 19 janvier 2 023, à 10 h 30, en l’église du Val-d’Ajol.

nos sincères condoléances.

Naissances

Plusieurs naissances ont eu lieu ces 4 derniers mois à la maternité de Remiremont, dont voici les noms :

SEPTEMBRE

Ardene fille de JARMAN-FORTIN Robert soudeur, et MACEYAK Bret directrice 88340 Le Val-d’Ajol.

OCTOBRE

Capucine fille de JACQUOT Nicolas agriculteur, et LUANGRATH Keomanouth vendeuse 2 route de la Banvoie 88340 Le Val-d’Ajol.

 Lou fille de REMY Pierre agriculteur, et PAOLETTI Marie sans profession le Dandirand 88340 Le Val-d’Ajol.

NOVEMBRE

 Emy fille de ANCEL Nikolas mécanicien poids lourds, et ANDRE Mélanie secrétaire, Olichamp 88340 Le Val-d’Ajol.

DECEMBRE

Margaux fille de HOURDEQUIN Loïc conducteur d’essais, et SENGER Camille sage-femme la Croisette 88340 Le Val-d’Ajol.

Ambre fille de LAMBOLEY Guillaume technicien bureau d’études, et BONNEFOI Aurore employée de commerce La Croisette 88340 Le Val-d’Ajol.

Rétrospective de l’année 2001/2002

11/07/01 : La ruche de l’association familiale quitte la rue de gare pour s’installer au collège Fleurot d’Hérival.

26/07/01 : Par anticipation, des conduites de gaz naturel à usage domestique ou professionnel sont enterrées avant de procéder à l’aménagement des places et des rues du centre.

13/08/01 : La chaufferie de Faymont Industrie est entièrement détruite par un violent incendie.

21/08/01 : La croix de la Rochotte qui n’avait pas résisté aux bourrasques de l’hiver est de nouveau coiffée de son croisillon.

12/09/01 : A l’occasion du centenaire de la loi 1901, plusieurs associations locales ont vu leurs efforts récompensés par une remise de diplômes.

08/10/01 : Des bénévoles s’affairent autour de la chapelle Mathiot au Moineau pour lui redonner un air de jeunesse.

20/10/01 : Réouverture de la route du Peutet fermée durant plusieurs mois pour élargir la partie de route située sur la commune de Remiremont.

15/10/01 : A l’initiative du curé de la paroisse, une nouvelle croix est installée sur le site de la Feuillée Nouvelle. C’est la croix du Jubilé 2000.

11/12/01 : Pascal RICHARD, commandant le centre de secours Ajolais, reçoit les galons d’adjudant.

29/12/01 : Un enfant du pays, François RÉGENNAS, participe au marathon d’Athènes.

ANNÉE 2002

01/01/02 : Fermeture du café bien connu de ZOUZOU à l’Hôtel Enfoncé où se sont succédés quatre générations de CLOLÉRY.

09/01/02 : Livraison d’un nouveau camion pompe pour le centre de secours Ajolais.

17/01/02 : Dominique ARNOULD remporte pour la 4e fois le championnat de France élite de cyclo-cross.

02/02/02 : Technique de pointe au service du réseau d’égouts. Les canalisations sont rendues étanches au moyen d’un revêtement plastifié.

13/02/02 : Visite du préfet dans les ateliers de la grande cuisine made in Vosges des Ets De Buyer à Faymont.

17/02/02 : La foire aux andouilles connaît un succès grandissant.

09/03/02 : Débat sur les dangers de consommer de la drogue, au collège Fleurot d’Hérival.

14/03/02 : Jérôme DANGEVILLE se distingue au championnat de France des sports adaptés en remportant la première place en ski de fond.

22/03/02 : La voirie rentre dans le domaine des compétences de la communauté de communes.

25/03/02 : La pose des conduites de gaz au centre ville est terminée.

30/03/02 : Le collège Fleurot d’Hérival a fêté à Sigmaringen le 30e anniversaire de son jumelage franco allemand.

5/04/02 : L’aménagement du centre bourg rentre dans sa phase active avec les premiers coups de pelleteuse place des écoles.

9/04/02 : L’Ajolais Mickaël CHAMPENOIS prend ses fonctions d’officier chez les sapeurs pompiers de Remiremont avec le grade de lieutenant.

22/04/02 : Sans doute âgé de plus de 150 ans, le marronnier de la place des écoles avait le tronc creux. Il est abattu par une entreprise spécialisé.

24/04/02 : création d’une commission des jeunes citoyens au sein du conseil municipal.

25/04/02 : le projet de création d’un office de tourisme intercommunal a été débattu.

02/05/02 : Les nouveaux habitants de la commune sont reçus en mairie par la municipalité.

8/05/02 : L’association ADMR s’installe au 45, avenue de la gare.

30/05/02 : En équitation, Elisa Sigrist est déclarée championne des Vosges de sa catégorie.

1/06/02 : Les agriculteurs réunis en mairie font connaissance avec le P.L.U. qui remplace le P.O.S. (plan d’occupation des sols).

4/06/02 : Vanony fait un tabac à la salle des fêtes.

16/06/02 : Les élèves de l’Institut de la Feuillée s’intéressent aux paysages et le font savoir autour d’une exposition.

05/07/02 : Le maire et les architectes invitent les ajolais à débattre de l’avancement des travaux du centre bourg à la salle des fêtes.

08/07/02 : L’office de tourisme du Val-d’Ajol fête ses 40 ans d’existence

12/07/02 : tragique accident de la circulation survenu à St Nabord qui coûte la vie à trois enfants du pays.

13/07/02 : Deux jeunes ajolais, Damien et Julien, se lancent dans la rédaction d’un petit journal baptisé l’Ajolais pour la durée des vacances.

18/07/02 : Inauguration de la fresque « Memoi Art » installée à la maison de retraite.

07/08/02 : La route des Aubeux sera déviée pour contourner la scierie de Faymont qui prévoit le lancement d’importants travaux de modernisation.

12/08/02 : Un nouveau logo a été choisi pour représenter la commune du Val-d’Ajol.

01/09/02 : Luc LIVET prend les fonctions de directeur à la maison de retraite.

02/09/02 : Monsieur Fessler présente la nouvelle chaudière au bois qui équipe désormais Faymont Industrie.

03/09/02 : Frédéric LÉONET s’installe à la tête des services techniques municipaux.

25/10/02 : Hervé De BUYER prévoit l’installation d’une école de cuisine d’ici deux ans à proximité de ses installations à Faymont.

15/10/02 : Inauguration de la semaine du goût avec Alain MADELAINE, président de l’institut de la gastronomie Française.

Diapositives scannées, d’autres seront rajoutées au fur et à mesure de mes recherches…

Décès de Michel Simonin

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C’est une figure bien connue de la commune du Val-d’Ajol qui vient de nous quitter.

Michel, appelé « Mimi » par toutes les personnes qui l’ont côtoyé, est décédé le 16 décembre à son domicile de la rue des Mousses.

Né le 28 juillet 1948, il unit sa destinée à Michèle FAIVRE.

Trois garçons viendront agrandir la famille Laurent, Christophe et Olivier, suivi de sept petits-enfants : Marine, Brandon, Océane, Hugo, Tom, Sarah, et Kayline.

Mimi a fait carrière à la SNCF jusqu’à l’âge de la retraite.

Très impliqué dans le monde associatif, il laissera un grand vide.

Sa plus grande fierté a été de pérenniser au Val-d’Ajol l’amicale des donneurs de sang dont il était le président depuis 1989.

C’était aussi un membre assidu au sein de la confrérie des Taste Andouilles, ainsi qu’à l’association des écoles publiques, et de bien d’autres…

Il a siégé un mandat au conseil municipal de 1987 à 1993.

La cérémonie religieuse a eu lieu le 20 décembre, en l’église du Val-d’Ajol.

Nos sincères condoléances.

Décès de M. Arnaud SIMONIN

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Nicole sa maman ; Christophe, Mathieu leurs conjointes et leurs enfants, ainsi que toute la parenté et les amis, vous font part du décès d’Arnaud, survenu le 14 décembre à l’âge de 47 ans.

 Né le 19 mai 1975 il était le grand-frère de la famille, sa scolarité terminée, il continue des études de comptabilité, et intègre le monde du travail à Paris, ensuite en Alsace, où, il est décédé subitement d’un malaise pulmonaire.

Issu d’une famille de musicien depuis plusieurs générations, Arnaud était un musicien dans l’âme, il jouait de la clarinette depuis l’âge de huit ans au sein de l’harmonie Jeanne-d’Arc, qu’il n’a jamais quittée.

Le Val-d’Ajol était resté son refuge, il aimait la nature et les promenades en forêt.

Son papa Jean est décédé en 1996.

La cérémonie religieuse a été célébrée en l’église du Val-d’Ajol le samedi 17 décembre.

L’harmonie Jeanne-d’Arc lui a rendu un dernier hommage.

Nos sincères condoléances.

Arrivée peu banale de St Nicolas au Val

Les petits Ajolais attendaient impatiemment St Nicolas Place de l’Hôtel de ville au Val-d’Ajol.

Après quelques minutes d’attente père Fouettard et le boucher sont arrivés avec les trois enfants sauvés par le st patron de la Lorraine, mais, St Nicolas se faisait attendre. Mme le Maire Anne Girardin informa la population que celui-ci avait pris l’avion pour arriver à l’heure, mais un incident s’était produit et le grand St homme se trouvait bloquer sur le clocher de l’église. Toutes les personnes présentes se rendirent sur la place du Sô. Effectivement St Nicolas s’apprêtait de descendre en rappel du clocher aidé de quelques escalateurs de l’association du CAPS de la commune.

Après 10 minutes de frayeur et d’efforts le grand St Nicolas retrouvait la terre ferme.

Le défilé eut lieu, suivi de la distribution de friandises par les bénévoles du Comité des Fêtes, sans oublier la séance photo sur le parvis de la Mairie décoré pour les fêtes de Noël.

Bonnes Fêtes de fin d’année à vous.

Les écoliers reçoivent Saint Nicolas

Les enfants de toutes les classes de l’école Primaire du Centre ont reçu St Nicolas et le père fouettard le jour de sa fête le 6 décembre. Comme tous les petits Lorrains connaissent la légende du grand Saint nous ne vous la raconterons pas.

Le saint patron a laissé aux enfants une brioche bonhomme, pour les remercier de leur accueil chaleureux, certaines classes ont chanté, ou récité des poésies, d’autres poser des questions sur son âge, l’endroit d’où il demeurait, et pourquoi son âne ne l’accompagnait pas…

Les plus petits avec l’aide de leurs maîtresses portaient un chapeau identique à ce grand Monsieur, qui, dans les années 50/60 nous apportait un jouet le jour de sa Fête.

Le père fouettard a quand même laissé quelques baguettes pour les élèves un peu dissipés.

Marché de Noël de Rayon de Soleil

L’association Rayon de Soleil était installée sous des chapiteaux vers l’entrée de la Maison de Retraite. La pluie et le froid, non pas refroidi les acheteurs venus nombreux.

Pendant deux jours les clients ont pu choisir dans les objets fabriqués par les résidents, sous la houlette des bénévoles, de jolies décorations de Noël, des cadeaux pour mettre au pied sapin etc… Comme à l’accoutumée, Michel avait déplacé son tour à bois et confectionnait des toupies et autres sujets, quant à Gilles, lui proposait les corbeilles en vannerie et autres accessoires.

Pâtisseries et boissons chaudes à consommer sur place ou à emporter permettaient de se réchauffer tout en dialoguant en amis.

Quelques commerçants ont contribué à l’opération en offrant leurs produits.

Grâce à votre générosité, vous avez participé au bien-être de nos ainés.

Anniversaire de l’Armistice, et Centenaire du Monument aux Morts

Après l’office religieux un cortège s’est formé pour se diriger vers le cimetière militaire, l’Harmonie Jeanne-d’Arc ouvrait la marche en musique suivie du corps des Sapeurs Pompiers, des membres du Conseil Municipal, des représentations d’associations Militaires et autres, et d’Ajolais. Dépôt de gerbe, Hymne Patriotique joué par l’Harmonie Jeanne-d’Arc.

Retour au Monument aux Morts au centre-ville ou la population Ajolaise était présente pour assister à la cérémonie du 104ème anniversaire de l’armistice de la grande guerre. Après les discours officiels et le dépôt de gerbe, les élèves de la classe de M Christophe Colnot de l’École Primaire du Centre, ont chanté le refrain de la Marseillaise, ensuite M Jean-Claude Brignon a relaté la construction du monument qui vient de passer un siècle d’existence.

Inauguré le 27 août 1922 pour honorer les soldats morts sur les champs de bataille pendant la 1ère guerre Mondiale, le Monument aux Morts érigé sous le mandat d’Émile BALANDIER à côté de la Mairie a connu bien des péripéties pendant sa construction.

La date d’inauguration se verra déplacée plusieurs fois, la statue de la victoire n’étant pas posée pour cause des délais trop courts pour sa fabrication et autres problèmes de sécurité et de matériaux.

Il fût inauguré le 27 août sans les grilles d’entourage et les arbustes, (la carte postale de l’inauguration a été prise plus tard, (Comme quoi nos ancêtres aussi trichaient quelquefois).

Henry Vaubourg entrepreneur dans la commune aura le privilège de construire le monument aux morts, sous les directives d’un sculpteur parisien. (Lire article précédent).

Comme d’autres qui sont morts des blessures de la guerre, le nom Henri Vaubourg ne sera pas porté sur le monument qu’il a pourtant façonné de ses mains. Seul le fils du président Doumer qui lui aussi avait été gazé, et qui avait de même choisit de mettre fin à ses souffrances au Val-d’Ajol chez ses amis de la rue des Mousses en 1923, a toutefois bénéficié d’une exception.  A défaut de galons, Henri Vaubourg aura tout de même été décoré de la Croix de Guerre.

L’Ajolais Henri Vaubourg avait un avenir béton

Si depuis la fin des vacances scolaires la population du Val-d’Ajol est en émoi. Son collège constitué d’une ossature métallique, construit il y a un peu moins de 50 ans, menacerait hélas de s’effondrer au moindre souffle. La faute à une dalle en béton qui présente de drôles de fissures. Or, il se trouve que si le Val-d’Ajol s’est fait connaître pour ces goûteuses andouilles depuis une cinquantaine d’années, la technique du béton armé fut aussi une de ses autres spécialités vite oubliées.

En 1912 déjà, lors de la réception des travaux du nouvel hôtel de ville, le jeune architecte chargé de mener à bien le projet piqua une crise de nerfs après avoir eu confirmation que l’entrepreneur Henri Vaubourg n’avait pas suivi ses instructions. Il aurait en effet coulé la dalle du rez-de-chaussée à sa manière sans en avertir son fouette-cul et il s’en expliquera par la suite dans l’un des PV de réception : « J’ai fait à mon idée mais la dalle n’en sera que plus solide ». Il est vrai que la technique utilisée par Vaubourg avait déjà fait ses preuves à maintes occasions. Les fermes reconstruites dans les environs, le plus souvent à la suite d’un incendie, et qui portent encore aujourd’hui sa signature ont passé le siècle sans poser de problème, idem pour les écoles Sainte Marie et Saint Charles construites vers 1910. Enfin Vaubourg, en 1912, lorsqu’il achève la construction de la mairie, est sur le point de signer un livre « Technique du béton armé », ce que le jeune architecte ignore probablement. L’ouvrage sera diffusé par la maison Béranger, un éditeur qui est une référence indiscutable dans les manuels scolaires y compris dans les grandes écoles qui préparent les futurs ingénieurs du génie civil. La première édition parue en 1913 connut un véritable succès comme la seconde édition datée de 1924. A la suite de quoi Vaubourg fit breveter sa technique pour les dalles en « béton Vaubourg ». Une technique qui va connaître un succès fulgurant grâce à la guerre. L’heure est en effet à la reconstruction du pays.  Vaubourg va ainsi, un peu par hasard, se créer une nouvelle activité très lucrative qui va l’occuper à plein temps. Car lorsqu’il vend son brevet à des collègues bâtisseurs, Vaubourg qui a suivi de solides études à Épinal pour ensuite parfaire ses connaissances à l’école supérieure des travaux publics à Paris accompagne toujours ses licences avec des calculs sur la résistance des dalles en question.

Puis arrive la terrible guerre. Vaubourg encore célibataire qui va être mobilisé le 2 août 1914 à l’âge de 32 ans servira durant 3 ans dans le génie. Son travail consistera alors à rétablir, après bombardement et toujours dans l’urgence, les chemins de fer détruits, les gares et les ponts qui sont nécessaires pour approvisionner le front en hommes et en matériel. Et justement ces arrivages de troupes fraîches, puis les évacuations de blessés et parfois de cadavres qui suivront immanquablement quelques jours plus tard l’amènent à se poser des questions.

La guerre terminée et de retour au pays, que pourrait-il raconter à ses copains, à part la pose de rails ?  L’idée que ses amis sur la place du village en viennent à le cataloguer de planqué l’empêche de dormir. Il demande alors sa mutation dans une unité combattante mais c’est un échec cuisant. Car le petit sous-officier, qu’il est et qu’il restera d’ailleurs, jusqu’à l’armistice, car il refuse l’idée d’une promotion quelconque, est capable d’organiser et de commander des chantiers qui mobilisent parfois jusqu’à 200 bonhommes. Il se refuse d’ailleurs à fayoter et ne se prive pas d’une certaine rudesse envers les officiers qui sont bien payés alors que lui a dû abandonner son entreprise. Mais pour l’état-major, c’est un élément précieux qu’il vaut mieux conserver. Vaubourg se souvient alors d’avoir eut recours au piston pour servir dans le génie ferroviaire lorsqu’il avait 20 ans et qu’il habitait en face de la petite gare du Val-d’Ajol. Il va donc à nouveau écrire au député de son arrondissement pour lui faire part de son cauchemar et il s’en explique d’ailleurs sans rien cacher.

Cette fois la demande du petit sous-officier sera exhaussée avec les compliments du ministère de la guerre qui consent volontiers, vu les circonstances, à faire une exception sans passer par la voie hiérarchique. Le sergent-chef Vaubourg Henri va ainsi rejoindre en 1917, dans l’Aisne, le 152e régiment d’infanterie, un régiment aux nombreux faits d’armes et bien connu des Vosgiens.

Mais l’armée, même en temps de guerre, peut rapidement engendrer l’ennui, entre deux batailles. Pas facile pour l’audacieux maçon de rester les bras croisés. Or, l’état-major cherche des volontaires pour commander les fameuses « Compagnies Disciplinaires » tout juste créés, une invention de Pétain qui répugne à fusiller des condamnés. Le système mis en place offre en effet à ces coupables des pires crimes la possibilité de se racheter.  Car les missions qui leurs seront confiées seront des plus périlleuses. Et après un temps variable, les condamnations pourront être levées par le tribunal militaire.  Reste à trouver qui va encadrer ces fortes têtes. L’intrépide sergent-chef Vaubourg lève la main, à la barbe des lieutenants et capitaines incrédules qui découvrent l’oiseau rare venu des Vosges, en faisant la grimace.

De l’action, notre Vosgien va en avoir à la pelle. Comme dans l’Aisne, à Mont-Notre-Dame, le 31 août 1918 exactement, face à la cathédrale sous laquelle un régiment ennemi a pris position dans un sous-sol truffé de galeries.  Alors que son équipe progresse en direction du front avec des rouleaux de fils barbelés, un bombardement intensif cloue toute l’expédition au sol.  La compagnie trouve à se réfugier dans d’anciennes caves de vignerons abandonnées, mais de nombreux hommes de la compagnie seront gravement incommodés par les obus chimiques. Et Vaubourg qui s’imagine, le temps de rassembler son équipage, qu’il a été épargné, sera finalement, lui aussi, évacué comme les copains par le poste de secours. Malgré son transfert dans un hôpital spécialisé du centre de la France, il ne pourra éviter de graves séquelles à savoir une vue déficiente et des poumons brûlés. Déclaré inapte au combat juste à la veille de l’armistice, il retrouve avec une grande amertume les bureaux de son entreprise dont la gestion avait été confiée à sa sœur durant 4 ans. Mais rapidement, il devra convenir que son handicap l’empêche de reprendre son métier d’entrepreneur.  

Or, des villes et villages entiers sont à reconstruire sur tout le nord et l’est de la France. Et Vaubourg qui a déposé un brevet vulgarisera à grande échelle sa technique des dalles en béton. Les licences qu’il propose ne sont pas sans contrepartie puisqu’il établit gracieusement sur demande les calculs de résistance.

En 1924, sa santé qui décline l’oblige à vendre son entreprise de construction à un ouvrier italien installé aux Granges de Plombières. L’ouvrier en question était arrivé au Val après la guerre pour terminer la nouvelle route de Plombières. La guerre avait en effet interrompu les travaux à hauteur du Grand Tournant.

Henri Vaubourg aura tout de même eut le privilège de construire le monument aux morts de sa commune sous les directives d’un sculpteur parisien.  

Vaubourg « retiré » des affaires pourra alors consacrer tout son temps à l’exploitation de son brevet sans avoir à sortir de sa maison. Mais en 1935, de plus en plus souffrant, le brave soldat de 14/18 met fin à ses jours dans son bureau.

Comme d’autres qui sont morts des blessures de la guerre, son nom ne sera pas porté sur le monument qu’il à pourtant façonné de ses mains. Seul le fils du président Doumer qui lui aussi avait été gazé, et qui avait de même choisi de mettre fin à ses souffrances au Val-d’Ajol chez ses amis de la rue des Mousses en 1923, a toutefois bénéficié d’une exception.  

A défaut de galons, Vaubourg aura tout de même été décoré de la Croix de Guerre.

La veuve Vaubourg, une ancienne infirmière militaire rencontrée lors de sa dernière hospitalisation vivra un temps de l’exploitation du brevet. Mais n’étant pas qualifiée pour offrir les calculs sur la conception et la résistance de ces ouvrages de béton armé elle devra embaucher presque à temps plein un huissier. Il sera chargé de débusquer partout en France les fraudeurs qui seront de plus en plus nombreux. Enfin, lorsqu’il faut à nouveau reconstruire après 1945, l’État va s’intéresser de près à l’utilisation de ce brevet mais sans donner de suite. Puis se posera la question de la validité du brevet que certains entrepreneurs mettent en doute. Sauf qu’une loi avait pourtant été votée pour prolonger la durée de ces brevets au motif que la guerre en avait empêché l’exploitation durant 5 ans. La veuve d’Henri Vaubourg croulera alors sous les procès même si dans la plupart des cas elle les gagnera. 

Enfin 70 ans plus tard, dans notre verte vallée de Combeauté, les Ajolais ont encore la dalle !

Des Rocks pour vous sensibiliser

Vous trouverez peut-être, en vous promenant, de jolis cailloux. Vous savez les cailloux que l’on peint, que l’on cache et que l’on fait voyager, estampillés Love On The Rocks.

 Le mois-ci, l’association et les groupes (ainsi que leurs membres) du même nom ont décidé de mettre en avant différentes causes.

 Pour commencer, la campagne octobre rose: Un mois pour sensibiliser au dépistage du cancer du sein. Tous les ans au mois d’octobre, ce sont des milliers de personnes qui se mobilisent pour la lutte contre le cancer du sein. Les membres du groupe LOTR Lorraine (et autres régions), vont l’exprimer à leur façon sur des cailloux.

 Ensuite, l’association se mobilise contre l’abandon des animaux, et cela en collaboration avec l’association Pil’Poil Moustaches. De la même façon des petits cailloux défendant cette cause seront dessinés et dispersés un peu partout en France, mais notamment au Val-d’Ajol.

 Le mois dernier l’association LOTR avait mis en avant le SAFTHON (sensibilisation au syndrome d’alcoolisation fœtale), en plus de leurs cailloux dispersés un peu partout, les membres de l’association avaient organisé un évènement du côté de l’Alsace. Patricia qui représente l’association en Lorraine ne désespère pas d’orchestrer ce genre d’évènement au Val-d’Ajol pour différentes sensibilisations, en plus de sa célèbre chasse aux cailloux de juillet.

 Alors, ouvrez l’œil le mois-ci au Val-d’Ajol et faites voyager ces petits cailloux.

 Et, et… Patricia est en train de vous concocter un petit évènement Halloween. Alors, ce n’est pas qu’un seul œil qu’il vous faudra ouvrir, mais bien les deux et en grand!

 Patricia vous donne rendez-vous sur Love On The Rocks Lorraine pour en savoir plus.

415 paires de jambes à la marche rose

5 ou 10 Km, c’est sur ces deux parcours que les randonneurs venus sur la commune du Val-d’Ajol, ont pu choisir suivant leurs capacités ou leur désir.

La première marche a eu lieu en octobre 2019, sous la houlette de Brigitte ROMARY secrétaire de la ligue contre le cancer des Vosges.

Après ces deux années blanches dues à l’épidémie du Covid, les bénévoles ont œuvré pour organiser cette deuxième manifestation, avec le soutien de la municipalité et les commerçants de la commune.

Divers accessoires étaient proposés à la vente, tee-shirt, socquettes et autres gadgets vendus au profit de la ligue contre le cancer.  

Le bénéfice de cette journée est reversé intégralement pour cette cause.

La ligue contre le cancer rappelle que l’objectif principal d’octobre rose est de mobiliser un maximum de personnes autour du dépistage, et d’inciter les femmes à réaliser une mammographie.

Les randonnées étaient identiques à 2019 mais parcourues dans l’autre sens.

Quelques photos de la 1er Marche Rose organisée en 2019.

c’était une journée ensolleillée avec un nombre de participants plus élevé.